Albert Caquot
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2008-06-29T17:58:54Z
Badmood
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{{Infobox biographie
| nom =Albert Caquot
| nomofficiel =
| surnom =
| datedenaissance =1er juillet 1881
| lieudenaissance =[[Vouziers]], [[Ardennes (département)|Ardennes]] [[France]]
| datededeces =28 novembre 1976
| ageaudecès =95
| lieudedeces =[[Paris]], [[France]]
| nationalite ={{France}}
| metier =savant et ingénieur
| occupation =
| hommage =[[Liste des grands-croix de la Légion d'honneur|Grand-Croix de la Légion d’Honneur]] <br> [[Croix de guerre 1914-1918]]
| formation =[[École polytechnique (France)|X 1899]] <br>[[Ponts et Chaussées]]
| autresfonctions =
| note =
| image = caquot.jpg
| légende =''Photo d'Albert Caquot''
| tailleimage(en px) =150
}}
'''Albert Caquot''' ([[Vouziers]] ([[Ardennes (département)|Ardennes]]), {{1er juillet}} [[1881]] - [[Paris]], [[28 novembre]] [[1976]]) fut considéré comme « le plus grand des [[ingénieur]]s français vivants »<ref> Notice nécrologique par Maurice Roy, comptes-rendus de l'[[Académie des sciences (France)]], numero 193398-77, séance du [[19 janvier]] [[1977]].</ref>. pendant un demi-siècle. [[Croix de guerre 1914-1918|Croix de guerre]] [[1914]]-[[1918]], membre de [[Académie des sciences (France)|l'Académie des sciences]] ([[1934]]-[[1976]]), [[Liste des grands-croix de la Légion d'honneur|Grand-Croix de la Légion d’Honneur]] ([[1951]]) et titulaire de nombreuses décorations étrangères (notamment [[DSO]] et [[Ordre de Saint-Michel et Saint-Georges]] britanniques et [[Distinguished Service Medal (États-Unis d'Amérique)|Distinguished Service Medal]] des [[États-Unis]]).
Doté d’une faculté d’invention féconde et variée, son génie mécanicien et visionnaire s’appliqua aussi bien à la construction aéronautique naissante qu’à la réalisation d’ouvrages en [[béton armé]], avec plus de 300 [[ponts]] et [[barrages]] de tous types, dont plusieurs furent des records du monde, et des oeuvres de [[génie civil]] les plus variées.
Il est un exemple des premières décennies du vingtième siècle qui virent de jeunes intelligences issues d’un milieu modeste manifester la volonté de s’élever dans la société en s’illustrant dans les sciences s'appliquant à l’art de construire.
==Biographie==
===Enfance et formation===
Ses parents, Paul et Marie-Irma Caquot tenaient une exploitation agricole familiale à [[Vouziers]] dans les [[Ardennes (département)|Ardennes]]. Son père ouvrit au modernisme cette exploitation, en installant chez lui l'électricité et le téléphone dès [[1890]]. Un an seulement après sa sortie du lycée de [[Reims]], Albert Caquot est reçu à dix-huit ans à [[École polytechnique (France)|l'École polytechnique]] (promotion 1899) et en sort dans le corps des [[Ponts et Chaussées]].
===Le savant et bâtisseur===
De [[1905]] à [[1912]], il fut Ingénieur des [[Ponts et Chaussées]] dans l’[[Aube (département)|Aube]], à [[Troyes]], et se fit remarquer par les mesures d’assainissement importantes qu’il développa. Celles-ci sauvèrent de nombreuses vies humaines et protégèrent la ville de la grande [[crue de la Seine de 1910]].
En [[1912]], il rejoint comme associé le bureau d’études de béton armé d’[[Armand Considère]] ([[1840]]-[[1914]]) où il donnera libre cours à son talent de concepteur d’ouvrages d’art. En 1914, après la mort d'Armand Considère, le bureau devient ''Pelnard-Considère & Caquot''. C’est dans ce même cadre qu’il œuvrera de [[1919]] à [[1928]], de [[1934]] à [[1938]], puis à partir de [[1940]].
Ses brillantes recherches, Albert Caquot ne les a entreprises qu’en vue des applications qu’elles trouvent dans les ouvrages d’art. Ses travaux de recherches les plus connus concernent :
* le [[béton armé]], avec la résistance des matériaux. En [[1930]], il définit la [[courbe intrinsèque]] et explique pourquoi la théorie de l’[[Déformation élastique|élasticité]] n’est plus suffisante pour le calcul des ouvrages modernes.
* le critère de Caquot pour les solides rigides plastiques en [[Mécanique des milieux continus|mécanique des milieux continus]].
[[Image:Pont haubans donzere 1952.jpg|300px|thumb|right|Premier [[pont à haubans]] en [[béton armé]], [[Donzère Mondragon]], [[1952]].]]
* la [[mécanique des sols]], alors naissante, et le calcul des fondations. Il énonce le théorème des états correspondants. Ses publications en [[1933]] sur la stabilité des [[massifs pulvérulents ou cohérents]] font l’objet d’un rapport admiratif de [[Académie des sciences (France)|l'Académie des sciences]], où il est élu membre de la section de mécanique le [[12 novembre]] [[1934]]. En [[1948]], avec [[Jean Kerisel]] ([[1908]]-[[2005]]), son gendre et disciple, il présente un nouveau mode de calcul des [[équilibres de poussée-butée]] dans les ouvrages de soutènement avec une [[surface de rupture logarithmique]]. Ce principe est appliqué depuis partout dans le monde.
* le renouveau des [[Pont à haubans|ponts à haubans]] grâce au béton armé ([[Donzère Mondragon]], [[1952]], première réalisation au monde de ce type) qu’il voyait dépassant de grandes portées et franchissant la [[Manche (mer)|Manche]] en quelques bonds. En [[1967]], il propose pour cela un projet de pont avec des portées de 810 m et deux étages de 25 m de large pour 8 chaussées, 2 voies de chemin de fer et 2 voies d’aérotrain.
* la « [[méthode rationnelle]] » pour l'écoulement des débits de ruissellement, utilisée notamment en [[assainissement]] urbain.
Au cours de sa vie, Albert Caquot enseigna longtemps la résistance des matériaux dans les trois [[Ecole nationale superieure des mines de Paris|Écoles nationales supérieures des Mines]], des [[École nationale des ponts et chaussées|Ponts et Chaussées]] et de [[École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace|l’Aéronautique]].
[[Image:Pont de la caille.jpg|200px|thumb|right|Le [[pont de la Caille]], [[1928]].]]
Au cours de sa carrière, habile dessinateur et infatigable calculateur, il réalisa plus de 300 ouvrages de génie civil de toutes sortes dont plusieurs furent des records du monde, notamment :
* le pont de la Madeleine, à [[Nantes]] ([[1927]]-28), un cantilever franchissant la Loire,
* le pont [[Gilbert du Motier de La Fayette|Lafayette]] franchissant les voies de la [[gare de l'Est]] à [[Paris]] (1927-28) (pont à poutre treillis en béton armé où l’on utilisa pour la première fois des vibrateurs à air comprimé),
* le [[pont de la Caille]] (1927-28), sur le [[ravin des Usses]] au nord d’[[Annecy]] (arc de 140 m de portée en béton fretté sans armatures longitudinales,
* le [[môle-escale]] du [[Verdon (Dordogne)|Verdon]] ([[1931]]), à l'embouchure de la [[Estuaire de la Gironde|Gironde]],
* la grande forme de [[radoub]] [[Jean Bart (bâtiment de ligne)|Jean Bart]] à [[Saint-Nazaire]] ([[1935]]), qui révolutionna les procédés de [[construction navale]],
[[Image:Barrage de la Girotte.jpg|200px|thumb|right|La [[barrage de la Girotte]]]]
* le [[Barrage de la Girotte|barrage de La Girotte]] ([[1944]]-49) de haute montagne au pied du [[Mont Blanc]] en béton non armé et celui en terre d’[[Arzal]] ([[1965]]-[[1971]]) sur une grande épaisseur de vase dans l'estuaire de la [[Vilaine]],
* l’[[écluse fluviale]] de [[Bollène]] du [[barrage de Donzère-Mondragon]] sur le [[Rhône]] ([[1950]]), record mondial de dénivelée entre [[biefs]],
* le [[tunnel]] sarrois de [[Bildstock]] ([[1953]]-[[1955]]), en zone d'affaissements miniers,
* la plus grande [[Usine marémotrice de la Rance|usine marémotrice ]] du monde sur la [[Rance (fleuve)|Rance]] en [[Bretagne]] ([[1961]]-[[1966]]). Agé de 80 ans, Albert Caquot apporte à [[Électricité de France]] une contribution déterminante dans la construction de ce barrage. Il conçoit une enceinte pour construire l'usine à l’abri des courants violents et marées considérables (14 m d'amplitude) de l’embouchure de la Rance.
Deux prestigieuses réalisations contribuent à sa renommée internationale : la structure interne en béton armé de la grande statue du [[Statue du Christ Rédempteur|Christ rédempteur sur le Mont Corcovado (1931)]], à [[Rio de Janeiro]] ([[Brésil]]) (hauteur de 30 m et 1.145 t de poids) et le [http://www.glasgow.gov.uk/en/Visitors/Architecture/Bridges/georgethefifthbridge.htm pont George V] à [[Glasgow]] (Ecosse) sur la [[Clyde]] pour lequel les ingénieurs écossais demandèrent son aide.
A la fin de sa vie, il étudie un immense complexe devant capter l’énergie des marées dans la baie du [[Mont Saint-Michel]] (projet d’usine marémotrice de la baie du [[Cotentin]]).
===Le constructeur aéronautique===
Il consacra sa vie à l’[[aéronautique]] et au génie civil par périodes alternées au rythme imposé par les Première et Deuxième Guerres Mondiales. Les apports d’Albert Caquot à l’aéronautique sont inestimables, de la mise au point du [[moteur à hélice]] et l’ouverture du Ministère de l’Air aux innovations techniques, à la fondation des premiers Instituts de Mécanique des Fluides. [[Marcel Dassault]], qui fut chargé par Albert Caquot de construire un prototype du programme de trimoteurs postaux, a écrit de lui : «C'est un des meilleurs techniciens que l'aviation ait jamais connu. C'était un visionnaire qui, dans tous les domaines, abordait l'avenir. Il était en avance sur tout le monde».
[[Image:Saucisse caquot 1972.jpg|thumb|200px|right|Ballon captif d'observation appelé "Saucisse Caquot" ([[1ère Guerre Mondiale]]).]]
Dès [[1901]], déjà visionnaire, il effectue son service militaire dans un bataillon d’aérostiers.
Au début de la [[Grande Guerre]], il retrouve un bataillon d’[[aérostation|aérostiers]] comme capitaine. Il met en évidence la grande instabilité du [[ballon sphérique]] dont sont dotées les unités pour une vitesse de vent supérieure à 22 km/h et, en [[1915]], il réalise un modèle de [[ballon captif]] fuselé et équipé de stabilisateurs arrières, permettant l'observation par des vents de 90 km/h. L’atelier aérostatique de [[Chalais-Meudon]] se met alors à fabriquer des [[Caquot|"ballons Caquot"]] pour toutes les armées alliées. Le treuil à couple de freinage constant qu'il crée lui permet d'adapter ses ballons aux flottes alliées (conduite de tir et détection de [[sous-marins]]) et de leur faire supporter des vents de 125 km/h. Également appelé "saucisse", ce ballon captif donne à la [[France]] et à ses [[alliés]] un avantage stratégique majeur. En janvier [[1918]], [[Georges Clemenceau|Clemenceau]] le nomme directeur technique de l’[[aviation militaire]]. Grâce à Caquot, la France et ses alliés obtiendront en [[1918]] la maîtrise de l'air qui contribuera largement à leur victoire finale.
En [[1919]], Albert Caquot est à l’origine de la création du musée de l'air français (aujourd’hui le [[Musée de l'air et de l'espace|Musée de l’Air et de l’Espace]] du Bourget). C’est le plus ancien musée aéronautique du monde.<br>
En 1935 Construction d’un hangar à double auvent de 120 m de long, 60 m de largeur sur 9 m de hauteur libre et ses annexes pour environ 10.000 m2 à [[frejus]] sur la base aéronavale. Ce hangar est toujours en activité.<br>
En [[1928]], il devient le directeur général technique du [[ministère de l'Air]] nouvellement créé. Il pratique une politique de recherche, de prototypes et de production en séries qui redonne à la France l’industrie qu’elle mérite. Il lance aussi :
* des initiatives de formation en mécanique des fluides, avec la construction en [[1928]] de l’[[École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace|Ecole Nationale Supérieure d’Aéronautique]] (Sup’Aero), qui va garantir l’excellent niveau scientifique de l’aviation française et prépare la naissance d’institutions comme l’[[ONERA]] (Office National des Etudes et Recherches Aérospatiales) en [[1946]], dont il demeurera Président du Comité Scientifique jusqu’en [[1961]], et le [[CNES]] (Centre National d’Etudes Spatiales) en [[1952]].
* la construction de laboratoires de recherche sur l'endurance des matériaux aux efforts alternés et d’une soufflerie géante à Chalais-Meudon en [[1929]]<ref>La grande soufflerie de recherche de Meudon, S1Ch, http://www.onera.fr/meudon/histoire/aviation.php.</ref> (120 m de longueur et 25 m de hauteur ) permettant de tester un avion réel, avec moteur en route et pilote à bord. Cette soufflerie était la plus grande du monde et elle a servi à tester le [[Mirage III]], la [[Caravelle (aviation)|Caravelle]] et le [[Concorde]], mais aussi des [[voitures]] (la [[4 CV]] et la [[Volkswagen Coccinelle|Coccinelle]]).<br>
En [[1934]], les moyens lui étant refusés pour poursuivre, il préfère se retirer et se consacrer de nouveau au génie civil.
En [[1938]], sous la menace de la guerre, Albert Caquot est rappelé pour assurer la présidence commune de toutes les sociétés nationales d’aéronautiques. En juillet [[1939]], il reprend aussi le rôle de directeur général technique du ministère de l'Air mais, bien qu'ayant spectaculairement redressé la production d'avions, les obstacles qu’il rencontre de la part de l'état-major et la direction du Contrôle le conduisent à offrir sa démission en [[1940]].
===L’homme===
[[Image:Inauguration barrage rance 1966.jpg|thumb|250px|Albert Caquot coupant le ruban de l'[[usine maremotrice]] de la [[Rance (fleuve)|Rance]], [[1966]].]]
Son action a toujours été animée d’une grande indépendance d’esprit et d’un immense désintéressement. Les nombreuses distinctions honorifiques de tout pays qui lui furent décernées, entre autres la dignité de [[Liste des grands-croix de la Légion d'honneur|Grand-Croix de la Légion d’Honneur]] ([[1951]]), ont rendu hommage à ses mérites exceptionnels. Il présida de nombreuses organisations scientifiques françaises pendant plus de vingt ans, comme le [[CNISF|Conseil National des Ingénieurs Français]] et la [http://www.industrienationale.fr Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale] et fut administrateur d’[[Électricité de France]] pendant plus de dix ans. Il siégea 41 ans à l’Académie des Sciences et en fut le président en [[1952]]. En [[1961]], à 80 ans, Albert Caquot se démit volontairement de toutes les présidences qu’il avait toujours assurées bénévolement. Chaleureux, attentif et disponible, il était très épris du cadre familial.
==Hommage==
[[Image:timbre albert caquot.jpg|thumb|200px|left|[[Timbre postal|Timbre]] français émis en [[2001]].]]
Le [[2 juillet]] [[2001]], un [[Timbres de France 2001|timbre de 4,50 FRF]] et 0,69 € est émis pour le 120{{e}} anniversaire de la naissance et le 25{{e}} anniversaire de la mort de l'ingénieur Albert Caquot. Son portrait y voisine avec deux de ses créations : le [[Aérostation|ballon captif]] « saucisse » et le [[pont de la Caille]]<ref>D'après un [http://www.timbresponts.fr/ponts_et_hommes/pts_et_hommes_2.htm site philatélique] sur la thématique des ponts </ref>. Dessiné et gravé par Claude Andréotto, le timbre est imprimé en taille-douce en feuille de quarante et fut diffusé à 4,37 millions d'exemplaires.
Depuis [[1989]], le [[Prix Albert Caquot]] est décerné chaque année par l'[[Association Francaise de Génie Civil]] à un ingénieur pour l'ensemble de sa carrière, en particulier pour ses travaux scientifiques et techniques et pour ses projets et ses réalisations, mais aussi pour ses qualités morales et son rayonnement dans le monde de la construction. Une année sur deux, il est remis à un ingénieur francais membre individuel de l'AFGC et, l'année suivante, à un ingénieur étranger. [[:en:Fritz Leonhardt|Fritz Leonhardt]] (1909-1999), [[:en:T.Y. Lin|Tung-Yen Lin]] (1912-2003) et [[Jean Muller]] font partie des récompensés.
==Notes et références==
<references />
==Pour en savoir plus==
===Biographies===
* [http://www.amazon.fr/Albert-Caquot-1871-1976-Savant-b%C3%A2tisseur/dp/2859783431/ref=sr_1_5/403-1332083-2062068?ie=UTF8&s=books&qid=1173998005&sr=1-5, ''"Albert Caquot 1881-1976 - Savant, soldat et bâtisseur"''], Jean Kérisel - Août 2001
* [http://www.sabix.org/bulletin/sabixb28.htm Bulletin de la SABIX, numero 28 special sur Albert Caquot], juillet 2001
* ''"250 ans de l'Ecole des Ponts en cent portraits"'', sous la direction de Guy Coronio, Presses de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, février 1997
* ''"L'art de l'ingénieur de Peyronnet à Caquot, l'innovation scientifique liée à la pratique"'', Presses de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, octobre 2004
* Le Curieux Vouzinois, ''"Hyppolyte Taine et Albert Caquot"'', par Jean Kerisel, Vouziers (Ardennes), 25 mars 2001
* Sciences Ouest, numero 112, ''"L'Ecole Polytechnique et la Bretagne. Le barrage et l'usine maremotrice de la Rance"'', juin 1995
* L'Union, ''"Une journée particulière en hommage à Albert Caquot"'', Vouziers (Ardennes), 25 mars 1995
* La Jaune et la Rouge, ''"Albert Caquot (X 1899)"'', par Robert Paoli (X 1931), novembre 1993
===Articles connexes===
* [[Aérostation]]
* [[Académie des sciences (France)|Académie des sciences]]
* [[École polytechnique (France)|École polytechnique]], France
* [[Ponts et Chaussées|Corps des Ponts et Chaussées]]
* [[Musée de l'air et de l'espace|Musée de l'Air et de l'Espace, Le Bourget]]
===Liens externes===
* [http://www.carnetdevol.org/ballons-captifs/grande-guerre.html Les Ballons d'Observation pendant la Première Guerre Mondiale]
* [http://www.industrienationale.fr La Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale]
* [http://www.enpc.fr/fr/enpc/historique/bio_caquot.htm Biographie sur le site de l'École Nationale des Ponts et Chaussées]
* [http://www.annales.org/archives/x/caquot.html Biographie sur le site de l’École Nationale Supérieure des Mines de Paris]
* [http://fr.structurae.de/persons/data/index.cfm?ID=d000005 Biographie dans la base de données Structurae]
* [http://www.ville-vouziers.fr/page2.asp?rec=156 Biographie sur le site de ville de Vouziers]
* [http://www.planete-tp.com/jsp/room.jsp?PEGA_HREF_3194877_0_0_showArticle=showArticle&PEGAHTML_TEXT_NAME_22222222222222222_attribute=mainArticle_ARTICLE_222%7c%7challFolder_TOPIC_102%7c%7chall_TOPIC_248%7c%7croom_TOPIC_326%7c%7croom_ARTICLE_null Biographie sur le site planete-TP]
* [http://www.timbromania.no-ip.com/?p=3&c=1&t=A&idd=153&id=u6l4r0d95a3at73tl1de5cva22 Étude du timbre émis le 2 juillet 2001]
* [http://www.afgc.asso.fr/v3/home.html Liste des recipiendaires du prix Albert Caquot de l'AFGC depuis 1989]
{{Portail|architecture}}
{{DEFAULTSORT:Caquot, Albert}}
[[Catégorie:Polytechnicien]]
[[Catégorie:Ingénieur français]]
[[Catégorie:Ingénieur du Corps des Ponts et Chaussées]]
[[Catégorie:Architecte français]]
[[Catégorie:Membre de l'Académie des sciences (France)]]
[[Catégorie:Grand-croix de la Légion d'honneur]]
[[Catégorie:Titulaire de la Croix de guerre 1914-1918]]
[[Catégorie:Naissance en 1881]]
[[Catégorie:Décès en 1976]]
[[de:Albert Caquot]]
[[en:Albert Caquot]]