Boussac (Creuse)
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2008-06-30T07:32:11Z
Escarbot
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robot Ajoute: [[pt:Boussac (Creuse)]]
{{Voir homonymes|Boussac}}
{{Infobox Commune de France|nomcommune=Boussac
| image =Blason famille Brosse.svg
|région=[[Limousin]]
|département=[[Creuse (département)|Creuse]]
|arrondissement=[[Arrondissement de Guéret|Guéret]]
|canton=[[Canton de Boussac|Boussac]]<br/>([[chef-lieu]])
|insee=23031
|cp=23600|maire='''Franck Foulon'''
|mandat= [[2008]]-[[2014]]
|intercomm=[[Communauté de communes du Pays de Boussac]]
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'''Boussac''' (Boçac en occitan) est une [[Commune française|commune]] [[france|française]], située dans le [[départements français|département]] de la [[Creuse (département)|Creuse]] et la [[régions françaises|région]] [[Limousin]].
[[Image:PlaceHotelDeVilleBoussac.jpg|thumb|left|250px|La place de l'hôtel de ville]]
==Géographie==
Situé au bord de la [[Petite Creuse]] (affluent de la rive droite de la [[Creuse (rivière)|Creuse]]), Boussac se trouve à 40 km environ au Nord-Est de [[Guéret]].
Les [[Gentilé|habitants]] sont les Boussaquins
==Histoire==
===De lointaines origines===
Boussac tire son nom du latin ''Bociacus/Bociacum'' ("le domaine de Bocius"). On trouve ''Cappella de Bociaco'' (1095), '' Bocac Ecclesiarum'' (1104), ''Botzac las Eglesias'' - écrit en occitan - (1150) ; en 1150 l'apparition des noms ''Castrum de Botzac'' et de ''Cappella de Botzac le Chastel'' attestent l'existence d'une seigneurie. En réalité, celle-ci était établie depuis le milieu du {{XIe siècle}} suivant l'archiviste Eugène Hubert (1931)<ref>Eugène Hubert,'' Cartulaire des seigneurs de Châteauroux (919-1789)'', Châteauroux, Badel, 1931</ref>.
===La postérité de la famille de Brosse <ref>D'après Eugène Hubert, ''ibid.'' ; Gaspard Thaumas de la Thaumassière, ''Histoire du Berry'', Bourges, 1689 (Laffite reprints, 1976).</ref>===
Cette seigneurie appartenait à la famille de [[Déols]] (parfois qualifiée de "princière", ce qui est abusif, sauf si l'on considère qu'en bas latin ''princeps'' peut tout aussi bien signifier "prince" que "seigneur")</ref>) Les descendants d'[[Ebbes I de Déols]](mort vers 935) étaient en effet, à cette époque, les plus puissants [[Féodalité|féodaux]] du [[Berry]]. Au {{s|XII|e}}, une alliance entre deux frères de la famille de Brosse et deux filles d'[[Ebbes III de Déols]], mort sans postérité masculine vers 1256, fera passer la seigneurie de Boussac dans le giron de la famille de Brosse, dont le plus célèbre représentant sera [[Jean de Brosse]], [[maréchal de France]] (1375-1433), compagnon de [[Jeanne d'Arc]].
[[Image:ChateauBoussacSurPetiteCreuse.jpg|thumb|left|350px|Le château de Boussac, dominant la vallée de la Petite Creuse.]]
La seigneurie de Boussac restera dans sa lignée directe jusqu'à [[Jean IV de Brosse]], comte de Penthièvre et duc d'Étampes mort en 1565. Celui-ci fut le très complaisant époux d'[[Anne de Pisseleu]], maîtresse de [[François Ier de France|François Ier]]. Ses domaines, incluant le comté de Penthièvre, passeront ensuite à sa sœur, Charlotte de Bretagne, épouse de Sébastien de Luxembourg, puis à leurs descendants, alliés successivement à la maison de Guise Lorraine, et à César de Bourbon, fils légitimé de [[Henri IV de France|Henri IV]] et de [[Gabrielle d'Estrées]].
Jusqu'à la Révolution, Boussac sera administrée par quatre consuls, nommés chaque année {{citation|par les quatre sortants de charge}}. Autant dire que quatre familles et leurs alliés se partagent la responsabilité des affaire municipales d'une génération à l'autre. Ils doivent notamment veiller à la bonne marche de l'hôpital fondé par [[Louis I de Brosse]],<ref>Mort en 1356 à la [[bataille de Poitiers]]</ref> , situé près du cimetière de la cité.
Dans la seconde moitié du {{s|XVII|e}}, selon l'historien du Berry, [[Thaumas de la Thaumassière]], Boussac se présente comme {{citation|une petite ville d'environ cent maisons, ceinte de murailles flanquées de tours à dix toises (environ 20 mètres) les unes des autres. Il y a un fort château qui joint la ville, bâti sur un rocher presque inaccessible, d'hauteur de plus de quarante piques (...) les murailles en sont très épaisses et munies de tours, l'une desquelles est des plus hautes et des plus belles qui se voient}}. Le pays d'alentour, où abondent les étangs, les bois, les taillis d'églantiers et de châtaigniers, est réputé pauvre, ne produisant que du blé et du seigle. On engraisse pourtant du bétail avec des raves et des châtaignes.
Les foires de Boussac, instituées par [[Jean IV de Brosse]], sont réputées dans tout le Berry et assurent une relative prospérité à ce petit bourg, dont la population dépassera à peine 600 habitants à la veille de la Révolution. Ces foires ont lieu le lundi des [[Rameaux]], le jeudi avant la [[pentecôte]], {{citation|le jeudi avant la décollation de saint Jean-Baptiste}} (en juin), et {{citation|le jeudi avant la décollation de sainte Valérie}} (en décembre).
Echangée par César de Bourbon à un membre de la famille de Loménie, puis vendue à un gentilhomme auvergnat, Jean De Rilhac, la seigneurie de Boussac demeurera dans la postérité de ce dernier jusqu'à la veille de la Révolution. Charles Henri de Carbonnières, son descendant par les femmes, est alors le propriétaire de la seigneurie et du château.
En {{date||décembre|1793}}, le comité de surveillance de Guéret dénonce la mansuétude du comité de Boussac à l'égard de la famille de Carbonnières et ordonne l'arrestation de tous ses membres. Ils seront libérés, semble-t-il, en {{date||mars|1794}} sur l'intervention d'un conventionnel en mission, à l'exception de Charles Henri, transféré à [[Guéret]]. On ne sait rien de son sort, mais sans doute fut-il rendu à sa famille après la chute de [[Maximilien de Robespierre|Robespierre]].
En [[1790]], les limites des communes avaient été généralement calquées sur celle des anciennes paroisses. C'est ainsi que la superficie de Boussac n'excédait pas 150 hectares (hier comme aujourd'hui), alors que Boussac-Bourg (qui comporte deux églises, et qui était sans doute la paroisse désignée en 1150 sous le nom de ''Botzac las Eglesias''), en comptait près de 4000.
=== Le temps de la sous-préfecture ===
La loi du 28 [[pluviôse]] [[an VIII]] ({{date|7|juin|1800}}) créa l'arrondissement de Boussac, composé des cantons de Boussac, [[Chambon]], [[Châtelus]], et [[Jarnages]]. Boussac, jusque là chef lieu de district, devint le siège de la nouvelle sous préfecture, qui fut supprimée, avec d'autres en France, en [[1926]]. Parmi les sous-préfets de Boussac figure [[Joseph Joullietton]], auteur de la célèbre ''Histoire de la Marche et du pays de Combraille''<ref>2 vol., Guéret, [[1814]]-[[1815]]</ref>. Nommé en [[1825]], il resta en fonction jusqu'à sa mort en [[1829]].
Dans les années [[1840]], les avis sont partagés sur le charme de la ville de Boussac. En {{date||juillet|1841}}, [[Prosper Mérimée]], inspecteur général des monuments historiques, qui effectue une tournée dans la région, se montre plus que sévère : {{citation|Boussac est un horrible trou, la plus hideuse sous préfectue de France. Le château n'a même pas le mérite d'avoir la tournure féodale, il ressemble à ces vilains manoirs de la Bretagne, bâtis par des maçons qui n'auraient pas pu gagner leur vie autre part}}. Dans son roman ''Jeanne'' (1836), [[George Sand]] avait pris par avance le contrepied de celui qui fut son éphémère amant ({{citation|J'ai eu Mérimée, c'est bien peu}}) Elle écrit en effet :{{citation|La ville de Boussac peut être considérée comme une des plus chétives et des plus laides sous-préfectures du Centre. Ce n'est pas l'avis du narrateur de cette histoire. Jeté sur des collines abruptes, le long de la Petite Creuse, au confluent d'un ruisseau rapide, Boussac offre un assemblage de maisons, de rochers, de torrents, de rues mal agencées et de chemins escarpés qui lui donnent une physionomie très pittoresque}}. Plus loin, elle décrira le château comme {{citation|irrégulier, gracieux et coquet dans sa simplicité}}.
=== Le château ===
Construit au {{XVe siècle}}, le [[château de Boussac]] a été remanié aux {{sp|XVI|e|et|XVII|e|s}}. ({{Coord|46|20|53|N|2|12|40|E|region:FR_type:landmark}})
Cédant aux objurgations de la société populaire de [[Lépaud]], relayée par l'administration du département, la municipalité de Boussac, sans enthousiasme, avait décidé le démantèlement du château en avril 1794. L'adjudicataire, pour une somme de 8400 livres (payables en assignats ?), y procèda à partir du mois de juillet : il combla les fossés, rasa le donjon, ainsi que les toitures "orgueilleuses" des tours, abattit le portail, etc. Le corps principal de bâtiment restait pourtant à peu près intact. Sa porte d'entrée comporte encore aujourd'hui, au dessus du linteau, les armes de la famille de Brosse (trois "brosses") sculptées dans la pierre.[[Image:PICT0287.JPG|thumb|200px|Cour intérieure du château de Boussac]]
Vendu en 1833 à la municipalité de Boussac par Pauline de Carbonnières, fille de Charles Henri, devenue comtesse de Ribereix, racheté par le département, le château abrita, à partir de 1838, le siège de la sous-préfecture de Boussac, puis, après 1926, une caserne de gendarmerie. Il a été acquis au début des années 1960 par M. et Mme Blondeau qui l'ont superbement restauré et meublé (se renseigner pour les horaires de visite). Il se compose d'un bâtiment rectangulaire flanqué d'une grosse tour ronde. Côté rivière il présente un façade sévère flanquée de deux tours rectangulaires. Au deuxième étage on peut voir la chambre que [[George Sand]] occupa à plusieurs reprises, notamment pendant une épidémie qui l'obligea à s'éloigner de Nohant.
Contrairement à des légendes bien établies, le prince turc [[Djem]] ("Zizim") n'a jamais séjourné à Boussac ; à plus forte raison, il n'est pour rien dans la confection des tapisseries dites de "La Dame à la licorne".
=== Les célèbres tapisseries ===
La salle des gardes du château abrita, à partir du {{XVIIIe siècle}}, les six tapisseries de "[[La Dame à la licorne]]". Exécutées dans les Flandres entre 1484 et 1500, ces tapisseries s'inspiraient d'une légende allemande du {{XVe siècle}}. Commandées par Jean Le Viste, président de la Cour des Aides de Lyon, elles parvinrent à Boussac à la suite d'héritages successifs, des Le Viste aux La Roche-Aymon, puis aux Rilhac, barons de Boussac, et enfin aux Carbonnières, propriétaires de Boussac à la veille de la Révolution. Elles demeurèrent dans le château à la suite de la vente de celui-ci. La municipalité de Boussac les céda pour la somme de 25.000 francs-or en 1882 à un riche collectionneur, M. [[Du Sommerard]], qui les exposa dans son [[hôtel de Cluny]], à Paris. Ces spendides tapisseries figurent aujourd'hui parmi les pîèces majeures du Musée du Moyen Âge (ancien hôtel de Cluny, légué par Du Sommerard à la Ville de Paris avec les collections qu'il y avait amassées).
Le produit de la vente des tapisseries permit de paver la place de l'actuel Champ de foire, qui en avait sans doute bien besoin, d'autant qu'elle attirait des foules importantes les jours de marché et de foire aux bestiaux ; le solde, dit-on, servit à ériger en 1903 la statue de [[Pierre Leroux]] et à aménager le square qui porte aujourd'hui son nom.
==Administration et pouvoir politique==
===La région===
[[Image:Logo région Limousin 2007.PNG|75px|right]]
Le '''Limousin''' est une des 26 [[régions françaises]] composée des trois [[Département français|départements]] [[Corrèze (département)|Corrèze]], [[Creuse (département)|Creuse]] et [[Haute-Vienne]]. Situé presque en totalité sur le [[Massif central]], au {{1er janvier}} [[2005]], il regroupait {{formatnum:724243}} habitants sur près de {{formatnum:17000}} km². Ses habitants sont appelés les Limousins.
[[Jean-Paul Denanot]] est Président du [[Conseil régional du Limousin]] depuis 2004.
=== La circonscription ===
Boussac appartient à la '''2{{e}} circonscription'''de la Creuse. Celle ci est composée des [[Canton français|cantons]] de : [[Canton d'Ahun|Ahun]], [[Canton d'Aubusson|Aubusson]], [[Canton d'Auzances|Auzances]], [[Canton de Bellegarde-en-Marche|Bellegarde-en-Marche]], [[Canton de Boussac|Boussac]], [[Canton de Chambon-sur-Voueize|Chambon-sur-Voueize]], [[Canton de Châtelus-Malvaleix|Châtelus-Malvaleix]], [[Canton de Chénérailles|Chénérailles]], [[Canton de la Courtine|La Courtine]], [[Canton de Crocq|Crocq]], [[Canton d'Évaux-les-Bains|Évaux-les-Bains]], [[Canton de Felletin|Felletin]], [[Canton de Gentioux-Pigerolles|Gentioux-Pigerolles]], [[Canton de Jarnages|Jarnages]], [[Canton de Pontarion|Pontarion]], [[Canton de Royère-de-Vassivière|Royère-de-Vassivière]], [[Canton de Saint-Sulpice-les-Champs|Saint-Sulpice-les-Champs]].
Le député de cette circonscription est M. [[Jean Auclair]] de l'[[Union pour un mouvement populaire|UMP]]. Il est par ailleurs [[Maire]] de [[Cressat]] et Membre du Conseil général de la Creuse, (Canton d'[[Ahun]]).
===Le département===
[[Image:LogoCG23.gif|75px|right]]
Le département a été créé à la [[Révolution française]], le [[4 mars]] [[1790]] en application de la loi du [[22 décembre]] [[1789]], essentiellement à partir de l'ancienne [[Anciennes provinces de France|province]] de la [[Comté de la Marche|Marche]]. Ses habitants sont appelés les Creusois.
Les conseillers généraux sont élus dans le cadre des cantons pour une durée 6 ans. En Creuse, il y a 27 cantons et donc 27 conseillers généraux. Ces derniers élisent en leur sein le Président du Conseil Général de la Creuse. Depuis 2001, c'est [[Jean-Jacques Lozach]], conseiller général de Bourganeuf, qui en est le Président.
===La commune===
A l'issue des élections municipales de mars 2008 Franck Foulon a été élu maire de la commune<ref>[http://www.creuse.pref.gouv.fr/creuse/sections/stokage_documents/prefecture/annuaire_des_commune/downloadFile/attachedFile/mairie%20pdf%20site%20prefecture%2027-03-07.pdf?nocache=1175081012.25 Source : préfecture de la Creuse]</ref> par le nouveau conseil municipal.
{{ÉluDébut |Titre= Liste des maires successifs}}
{{Élu |Début= mars 2008 |Fin= |Identité= '''Franck Foulon''' |Parti= |Qualité= }}
{{Élu |Début= mars 2001 |Fin= 2008|Identité= '''Jean-Claude Devilard''' |Parti= [[Parti socialiste (France)|PS]] |Qualité= }}
{{ÉluDonnées}}
{{ÉluFin}}
==Démographie==
{{Démographie|
1962= 1514|
1968= 1557|
1975= 1933|
1982= 1852|
1990= 1652|
1999= 1602|
source=[[Institut national de la statistique et des études économiques|INSEE]]|
sansdoublescomptes= 1962}}
==Économie==
==Personnalités liées à la commune==
[[Image:LerouxPierreStatueBoussac.jpg|thumb|right|200px|La statue de Pierre Leroux]]
* [[Jean Debourges]], né le [[10 février]] [[1747]] à Boussac, mort en [[1834]], est un homme politique [[France|français]].
* [[Jean Desaincthorent|Jean-Gabriel-Théophile Desaincthorent]], né le [[15 février]] [[1795]] à Boussac, mort le [[22 mai]] [[1878]] à La Vaufranche (Creuse), est un homme politique français. Il est le fils de [[François-Godefroy Desaincthorent]].
* [[Pierre Leroux]] ([[1797]]-[[1871]]): philosophe, ami de [[George Sand]] fut maire de Boussac en [[1848]], député de Paris (juin 1848-2 décembre 1851). Son frère Jules (1805-1883), fut député de la Creuse (mai 1849-1851).
* [[George Sand]] ([[1804]]-[[1878]]), y situa en partie l'action de son roman champêtre : ''Jeanne'' (1836).
* [[Victor Judet|François Victor Judet]], né le [[30 avril]] [[1871]] à [[Lavaufranche]] ([[département de la Creuse|Creuse]]), mort le [[14 octobre]] [[1938]] à [[Saint-Georges-Nigremont]] (Creuse), est un avocat et un homme politique [[France|français]]. Fils de [[Jean Judet]], il fait des études à l'[[École centrale Paris|École centrale]] et obtient les diplômes d'ingénieur des Arts et Manufactures, avant de devenir avocat à la [[cour d'appel de Paris]]. Le [[7 mai]] [[1907]], son père meurt. Les sièges de maire de Lavaufranche et de député de Boussac étant laissés vacants par sa disparition, Victor Judet lui succède.
* [[Albert Rivière]] est un homme politique [[France|francais]]. Il est né le [[24 avril]] [[1891]] au [[Grand-Bourg]] ([[Creuse (département)|Creuse]]) et il est décédé le 23 juin [[1953]] à [[Boussac (Creuse)|Boussac]]. Ancien [[député]] socialiste ([[Section française de l'Internationale ouvrière|SFIO]]) de la [[Creuse (département)|Creuse]] (1928-1942). Ministre dans plusieurs gouvernements.
* [[Roger Cerclier]] est né le [[5 février]] [[1899]] à Boussac et il est décédé de manière accidentelle le [[15 novembre]] [[1950]] à [[Guéret]]. Il fut Membre de la première et de la seconde Assemblée nationale constituante et député de la Creuse de 1946 à 1950.
==Pour approfondir==
=== Bibliographie sommaire ===
* Henri Aucapitaine, ''Notes historiques sur la ville, le château de Boussac et la famille de Brosses'' (sic), Paris, Dumoulin, 1853
* [[Henri de Lavilatte]], ''Esquisses de Boussac'', Paris, Emile Paul, 1907
* [[Gilles Rossignol]], ''Le Guide de la Creuse'', Lyon/Besançon, La Manufacture 1996.
* Voir la bibliographie de l'article "[[Jean de Brosse]]"
===Liens internes===
* [[Communes de la Creuse]]
===Liens externes===
* [http://www.ign.fr/affiche_rubrique.asp?rbr_id=1087&CommuneId=24386 Boussac sur le site de l'Institut géographique national]
=== Notes et références ===
<references /> <!-- aide : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Notes et références -->
{{Villes Limousin}}
{{Pays de la Creuse}}
{{Portail|Creuse|Limousin|Massif central|Châteaux de France}}
[[Catégorie:Commune de la Creuse|Boussac]]
[[ceb:Boussac, Creuse]]
[[en:Boussac, Creuse]]
[[es:Boussac]]
[[it:Boussac (Creuse)]]
[[nl:Boussac (Creuse)]]
[[pl:Boussac (Creuse)]]
[[pt:Boussac (Creuse)]]
[[sr:Бусак (Крез)]]
[[vo:Boussac (Creuse)]]