Capital social (sociologie)
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Le '''capital social''' possède plusieurs définitions largement différentes. Quelques scientifiques politiques emploient le terme en tant qu'identique à l'idée de société civile et confiance. À d'autres, le capital social a une signification séparée.
Dans ''Les formes de capital'' (1986) [[Pierre Bourdieu]] distingue trois formes de capital : capital économique, capital culturel et capital social. Il définit le capital social comme « agrégat des ressources réelles ou potentielles qui sont liées à la possession d'un réseau durable de plus ou moins de rapports institutionalisés de la connaissance et de l'identification mutuelles. » (Bourdieu, 1983:249)
Selon [[Robert Putnam]], auteur de ''Bowling Alone: The Collapse and Revival of American Community'' (2000) et le principal partisan du concept (mais non son créateur), le capital social « se réfère à la valeur collective de tous les "réseaux sociaux" et les inclinations qui résultent de ces réseaux pour faire des choses l'un pour l'autre ». Selon Putnam et ses disciples, le capital social est une composante clé de l'établissement et du maintien de la démocratie. Putnam indique que le capital social diminue aux Etats-Unis. Ceci se remarque à la baisse de la confiance dans le gouvernement et à celle de la participation civique. Putnam indique également que la télévision et la déshérence des centres urbains ont joué un rôle significatif en éloignant les américains les uns des autres.
[[Nan Lin]] a une approche plus individualiste du concept de capital social : C'est l'« Investissement dans des relations sociales avec des retours prévus dans le marché ». Ceci peut englober les concepts de certains autres tel que Bourdieu, Coleman, Flap, Putnam et Eriksson (Lin, 2001).
[[Francis Fukuyama]] décrit le capital social comme existence d'un certain importance placée dans des cérémonie, valeurs ou normes mises en commun entre les membres d'un groupe qui permettent la coopération entre eux.
[[Patrick Hunout]] et la Fondation Capital Social ont suggéré que le capital social est un ensemble d'attitudes et des dispositions mentales qui favorisent la coopération dans la société, et qu'en tant que tel, le capital social est sémantiquement équivalent à l'esprit de la communauté.
Nahpiet et Ghoshal dans leur examen du rôle du capital social dans la création du capital intellectuel, suggèrent que le capital social devrait être considéré selon trois faisceaux : structural, apparenté et cognitif.
[[Carlos García Timón]] écrit que les dimensions structurales du capital social se relient à une capacité individuelle d'établir des interactions faibles et fortes avec d'autres dans un système. Les différences entre les interactions faibles et fortes sont expliquées par Granovetter (1973). La dimension apparentée se concentre sur le caractère du raccordement entre les individus. Ceci mieux est caractérisé par la confiance de d'autres et leur coopération et l'identification qu'un individu a dans un réseau. Hazleton et Kennan (2000) ont ajouté un troisième angle, celui de communication. La communication est nécessaire pour accéder et employer au capital social en échangeant l'information, pour identifier des problèmes et des solutions et pour contrôler le conflit. Selon Boisot (1995) et Boland et Tensaki (1995), la communication signicative exige au moins un certain contexte de partage entre les parties à un tel échange.
Selon le capitaliste social [[Caira Nakasone]], l'ambiguïté qui sous-tend la définition du capital social ne réside pas dans la définition de « social » mais dans le doute sur « capital ». C'est dans le causal et plus la nature « efficace » d'excédent des réseaux sociaux qui empêche l'accord au-dessus d'une forme concrète et mesurable de la théorie
== Utilisation originale par Coleman et Bourdieu ==
Bourdieu a été présenté comme l'origine de l'utilisation contemporaine de la limite (Everingham, 2001). Bourdieu place la source de capital social, pas simplement dans la structure sociale mais dans les raccordements sociaux. Le capital social est selon lui, « l'agrégat des ressources réelles ou potentielles qui sont liées à la possession… de l'adhésion dans un groupe » (Everingham, 2001). Son traitement du concept est instrumental, se concentrant sur les avantages aux propriétaires de capital social et la « construction délibérée de sociabilité afin de créer cette ressource » (A. Portes, ''Social Capital: its origins and applications in modern sociology'' 1998).
Le capital social est défini par Coleman fonctionellement comme « une variété d'entités avec deux éléments en commun : ils tous se composent d'un certain aspect de la structure sociale, et ils facilitent certaines actions des acteurs… dans cette structure » (Portes, 1998) qu'est, le capital social est quelque chose qui facilite l'action individuelle ou collective. Une définition fonctionnelle du capital social, cependant, le rend impossible de séparer ce qu'il est de ce qu'il (?). En effet, Portes déclare ce Coleman inclus en vertu de la condition les mécanismes qui ont produit de elle, les conséquences de la posséder et « organisation sociale appropriable qui a fourni le contexte pour les deux sources et effets pour matérialiser » (Portes, 1998). Les mécanismes qui ont produit du capital social étaient : réseaux des rapports ; réciprocité ; confiance ; et normes sociales. Dans la conception de Coleman, le capital social est une ressource neutre qui facilite n'importe quelle façon d'action, mais si la société est meilleure outre de l'en conséquence dépend entièrement des différentes utilisations auxquelles elle est mise (Foley et Edwards, 1997).
L'utilisation de Bourdieu de la limite est plus étroite que Coleman, voyant l'effet du capital social à un niveau individuel seulement. Mais dans son travail il avait l'habitude le terme pour expliquer des phénomènes sociaux particuliers, tels que la façon dont quelques personnes de privilège parvenues pour accéder dans des positions puissantes par leurs raccordements sociaux. Ainsi tandis qu'il maintient la neutralité de Coleman des ressources elles-mêmes, il montre comment elle peut être employée pour créer l'inégalité.
== Utilisation courante ==
[[David Halpern]] argue du fait que la popularité du capital social de limite avec des gouvernements est parce que « pour beaucoup de décisionnaires la limite capture le zeitgeist politique de notre temps : il a une sensation économique dur flairée tout en redisant l'importance du social " et pour des chercheurs dus à la large gamme des résultats qui peuvent être expliqués en utilisant le capital social (Halpern 2005 : 1-2)
Bien que Putnam ait fait attention au début à arguer du fait que le capital social était une notion neutre, l'énoncé « si [] partagé sont précieux est, naturellement, une entièrement autre matière » (Edwards et Foley, 1997), son travail sur la société américaine a ajouté la valeur morale et morale au concept. Il voit le capital social en tant que producteur « de l'enclenchement civique » et également d'une large mesure sociale de santé communale (Alessandrini, 2002). Il transforme également le capital social d'une ressource possédée par des individus à un attribut des collectives, se concentrant sur des normes et la confiance comme producteurs de capital social à l'exclusion des réseaux. Ceci rétrécit le concept, cependant, et on devrait être prudent au sujet d'ignorer l'effet du capital social à un niveau individuel, et particulièrement abstraction faite de l'importance des réseaux des rapports comme source en avant de capital social.
Edwards et Foley, comme rédacteurs d'une édition spéciale de Comportementaliste américain sur la société capitale et civique sociale et la démocratie contemporaine notez que la dépendance de contexte du capital social provoque au moins deux facteurs non évidents en littérature récente. Premier, le capital social n'est pas également disponible à tous, plus ou moins de la même façon ce que d'autres formes de capital sont différent disponibles. Accès géographique et social de limite d'isolement à cette ressource. En second lieu, non tout le capital social est égale créée. La valeur d'une source spécifique de capital social dépend dans aucune petite partie de la position socio-économique de la source avec la société. Sur ceci, Portes (1998) a identifié quatre conséquences négatives de capital social : exclusion des étrangers ; réclamations d'excès sur des membres de groupe ; restrictions à la liberté individuelle ; et normes de mise à niveau de haut en bas. Il croit que ces conséquences, et la nature inégale de l'accès au capital social doivent être équilibrées contre la vue optimiste si le capital social est d'être utile comme outil pour l'analyse et la transformation sociales.
== Formes de capital ==
Le terme « capital » est employé par analogie avec d'autres formes de capital économique, car le capital social est discuté pour avoir (bien que moins mesurable) les avantages semblables. Cependant, l'analogie avec le capital est fallacieuse dans la mesure où, à la différence des formes traditionnelles de capital, le capital social n'est pas épuisé par utilisation, mais en fait épuisé par non-usage (« utilisation elle ou le perdent »). À cet égard, il est semblable au concept économique maintenant bien établi de capital humain.
Les sociologues Karl L. Bankston et Zhou minimum précisent que le concept du capital social est basé sur une métaphore imprécise. Ils observent que le capital social ne se compose pas des ressources tenues par des individus ou des groupes, mais de processus d'interaction sociale menant aux résultats constructifs.
Cependant, le capital social a été également défini comme ressources disponibles à chacun par les réseaux qu'ils tiennent.
== Aller à la rencontre des autres ==
Dans son étude pilote, ''Bowling Alone: The Collapse and Revival of American Community'' (Simon et Schuster, 2000), le scientifique politique de Harvard Robert D. Putnam a écrit : "Le conseil d'Henry Beecher d'il y a un siècle « multiplions les pique-niques » n'est pas entièrement ridicule aujourd'hui. Nous devrions faire ceci, ironiquement, non pas parce que ce sera bon pour l'Amérique - ça le sera - mais parce que cela sera bon pour nous. » Putnam ne suggère pas ici que nous devions augmenter un niveau déjà stable de gestion de réseau et d'interaction civile : Il a observé un déclin global du capital social en Amérique au cours des cinquante dernières années, une tendance qui peut avoir des implications significatives pour la société américaine.
Putnam parle de deux composants principaux du concept : capital social collant et jeter un pont sur le capital social, la création dont crédits de Putnam à Ross Gital et Avis Vidal. La liaison se rapporte à la valeur assignée aux réseaux sociaux entre les groupes de personnes homogènes et jetant un pont sur se rapporte à cela des réseaux sociaux entre les groupes socialement hétérogènes. Les exemples typiques sont que les troupes criminelles créent le capital social de liaison, tandis que choeurs et les clubs de [[bowling]] (par conséquent le titre, car Putnam a déploré leur déclin) créent jeter un pont sur le capital social. Jetant un pont sur le capital social est discuté pour avoir une foule d'autres avantages pour des sociétés, des gouvernements, des individus, et des communautés ; Putnam aime noter que celui qui rejoint une organisation diminue de moitié la chance de son décès durant l'année suivante.
La distinction est utile en accentuant à quel point le capital social peut ne pas toujours être salutaire pour la société dans l'ensemble, bien que ce soit toujours un bénéfice pour les individus et groupes impliqués. Les réseaux horizontaux des différents citoyens et groupes qui augmentent la productivité et la cohésion de la communauté seraient les capitaux sociaux positifs tandis que les groupes exclusifs égoïstes et les systèmes hiérarchiques de patronage conçus selon une mauvaise évaluation des intérêts peuvent être considérés comme des fardeaux d'influence négative sur la société.
== Mesure ==
Il n'y a pas de consensus sur la façon dont mesurer le capital social, qui est l'une de ses faiblesses. On peut habituellement intuitivement sentir le niveau/quantité de capital social actuels dans un rapport donné (indépendamment du type ou de la balance), mais sa mesure quantitative s'avère compliquée. Ceci a eu comme conséquence l'établissement de mesures différentes pour différentes fonctions : Pour mesurer le capital social politique, il est commun de prendre la somme de l'adhésion de la société à ces groupes. Les groupes avec une adhésion plus élevée (comme les partis politiques) contribuent plus à la quantité de capital que les groupes avec une adhésion inférieure, bien que beaucoup de groupes avec une faible adhésion (telle que les communautés) produisent souvent un capital social de meilleure qualité. Tandis qu'il peut sembler que ceci est limité par la population, ce besoin être le cas comme les gens joignent les groupes multiples. Dans une étude faite par Yankee City (1963), une communauté de 17.000 personnes s'est avérée avoir plus de 22.000 groupes différents.
Le niveau de cohésion d'un groupe affecte également son capital social.{{citation nécessaire}} Cependant, là encore, il n'y a aucune véritable manière quantitative de déterminer le niveau de la cohésion. Celui-ci est entièrement subjectif. Comment un groupe rapporte au reste de la société également affecte le capital social, mais d'une façon différente. Les interactions internes fortes peuvent dans certains cas affaiblir le capital du groupe dans les cas où celui-ci est appliqué au crime, à la méfiance, l'intolérance, la violence ou la haine vers autre. Le [[Ku Klux Klan]] et la [[Mafia]] sont deux exemples de ce genre d'organismes.
== Voir aussi ==
* [[Pierre Bourdieu]]
* [[Laura Pappano]]
* [[Robert Putnam]]
* [[Patrick Hunout]]
* [[The Social Capital Foundation]]
* [[Société civile]]
* [[Liberal democracy]]
* [[Reed's law]]
* [[Guanxi]]
== References ==
*Alessandrini, M. (2002). ''Is Civil Society an Adequate Theory?''
* {{cite book | author=Becker, Gary S.|year= 1996| title=Accounting for Tastes|publisher = Part I: Personal Capital; Part II: Social Capital. Cambridge, MA: Harvard University Press| id = ISBN 0-674-54357-2}}
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*Edwards, B. & Foley, M. W. (1998). ''Civil society and social capital beyond Putnam''
*Everingham, C. (2001). ''Reconstituting Community''
*Fine, Ben. (2001). ''Social Capital versus Social Theory: Political Economy and Social Science at the Turn of the Millennium''. London: Routledge. ISBN 0-415-24179-0.
*Foley, M. W. & Edwards, B. (1997). ''Escape from politics?''
*Granovetter, M. S. (1973). "The Strength of Weak Ties," ''American Journal of Sociology'' 78 (6), pp 1360 - 1380.
*Harriss, J. (2001). ''Depoliticizing Development: The World Bank and Social Capital''. Leftword/Anthem/Stylus.
*Lin, Nan (2001). ''Social Capital'', Cambridge University Press
*Loury, Glenn (1977). A Dynamic Theory of Racial Income Differences. Chapter 8 of ''Women, Minorities, and Employment Discrimination'', Ed. P.A. Wallace and A. Le Mund. Lexington, Mass.: Lexington Books.
*Portes, A. (1998). ''Social Capital: its origins and applications in modern sociology'' Annual Review of Sociology, 24, 1-24.
*W. Lloyd Warner, J.O. Low, Paul S. Lunt, & Leo Srole (1963). ''Yankee City''. New Haven, CT: Yale University Press
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==External links==
* [http://www.socialcapitalgateway.org/ Social Capital Gateway, Resources for the study of social capital]
* [http://www.gnudung.com Social Capital Theory] - Detailed review of social capital, particularly social capital for social action.
* [http://www.ksg.harvard.edu/saguaro/primer.htm Saguaro Seminar primer on social capital]
* [http://www1.worldbank.org/prem/poverty/scapital/home.htm World Bank's PovertyNet page on social capital]
* [http://www.insna.org/Connections-Web/Volume22-1/V22(1)-28-51.pdf Lin N., 2001, ''Building a Network Theory of Social Capital'']
* [http://www.socialcapitalinc.org/ Social Capital Inc., an organization dedicated to increasing social capital in local communities]
* [http://lists.repec.org/mailman/listinfo/nep-soc New Papers on Social Capital, a Newsletter edited by the RePEc Project]
*[http://www.openbc.com/net/socialcapital Social Capital & Collective Intelligence Forum at openbc] — moderated by George Pór, Carlos García Timón, Fernanda Ibarra and John Lindsay.
*[http://www.japanesestudies.org.uk/articles/Bassani.html Social Capital Theory in the Context of Japanese Children], article by Cherylynn Bassani in the ''[[electronic journal of contemporary japanese studies]]'', [[8 May]] [[2003]].
* [http://www.social-capital.net/ Assist Social Capital, Working to Promote Best Practice in the Development of Social Capital]
*[http://www.npc.umich.edu/publications/workingpaper06/paper12/working_paper06-12.pdf Can Social Capital Explain Persistent Poverty Gaps?] from the National Poverty Center
*[http://www.bristol.ac.uk/sociology/leverhulme/conference/conferencepapers/dwyer.pdf Ethnicity as Social Capital]
*[http://demography.anu.edu.au/Publications/ConferencePapers/TASA/PaperGiorgas.pdf Social Capital within Ethnic Communities]
* [http://www.socquit.net Social capital, quality of life, and Internet and mobile phone use]
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<!--Traduction assistée par ordinateur de la page d’origine : [[:de:Soziales Kapital]]
Avec cela sociologique Notion Capital social désigne Pierre Bourdieu (1983) la totalité des actuels et des potenziellen Ressourcesqui avec celui participe Réseau de relations sociales connaître et reconnaître mutuels on relie pouvoir. Contrairement Capital humain le social se réfère Capital pas personnes physiques en réalité, mais sur les relations entre eux.
Le capital social offre pour ceux Individus un accès aux ressources de la vie sociale et sociale comme un soutien, l'aide, une reconnaissance, le savoir et des relations jusqu'trouver des lieux de formation et de travail. Il produit et se reproduit aussi sur des relations d'échange, comme des cadeaux, Gefälligkeiten, visites mutuels et semblable.
La différenciation celui Structure sociale Classes devient avec la disposition de ceux trois places des capitaux capital économique, capital culturel et capital social et par des différences dans le goût et Style de vie définit. À cela s'ajoute cela capital symboliquecelui que la reconnaissance et le prestige prêtent. Des individus et des classes combattent dans le cadre de leurs Habitus- et dotation en capital autour de la position dans la société.
A utilisé pour la première fois Lyda Judson Hanifan la notion du capital social en 1916. Il est devenu en 1939 Norbert Elias et plus tard des représentants celui École de Francforten particulier Theodor W. Adorno utilise. 1950 le terme a été repris vers par John Seeley. Dans les années 60 jusqu'à aujourd'hui, beaucoup d'autres auteurs ont suivi. Quelques connus sont : Jane Jacobs (1961), Glenn C. Loury (1977), Pierre Bourdieu (1983), Robert D. Putnam (en 1993, 2000), La P. de James. Coleman (1987), Thomas Faist (1995) ainsi que Nan Lin (2001) et Patrick Hunout (2003-2004).
Définition ==
Dans la sociologie nord-américaine, le concept début des années 1990er est devenu James Samuel Coleman et Robert D. Putnam pris et capital social comme caractéristique clée Communautés caractérise. Le capital social naît de disposition des citoyens (Acteurs) coopérer ensemble. Il nécessite une base de la confiance (Confiance sociale), sur lesquel lui Coopération et un soutien mutuel développer pouvoir. Dans un climat de la confiance, la disposition peut également naître à se fier à d'autres, étrangers, surtout à aussi, sans devoir supposer immédiatement une réciprocité. La confiance n'est pas non plus simplement un produit Possibilités de sanction et la crainte avant punition. Un exemple souvent énoncé de la présence ou absence d'un climat de confiance comme mesure capital social, est ce qui suit : Une mère fait-elle jouer seulement son enfant dans un parc, ou n'ose-t-elle pas cela et l'accompagne-t-elle ou le fait-elle accompagner ? En outre il y a une approche qui place des réseaux sociaux dans le centre du concept dans la littérature sociologique nord-américaine (voir p. ex. Nan Lin).
L'importance « nord-américaine » social capital dans quelques points importants la présentation dévie toutefois des Bourdieus.
Dans la littérature nord-américaine, le consensus règne de plus en plus que le capital social est basé au niveau de la conception sur des réseaux sociaux. Tandis que Robert Putnam souligne la valeur collective de réseaux sociaux, on se base Nan Lins Concept du capital plus social au niveau d'acteur individuel : Il définit un capital social comme les ressources qui peuvent être mobilisées sur des relations sociales. Pour pouvoir atteindre ces ressources, doit « investi » dans les relations sociales.
Derrière la notion, la dynamique sociale connaître et reconnaître, est ici comme elle par exemple dans les clubs du Golfe (aussi dans toutes les autres connaissancesréseaux) il faut observer : De cela Connaître des personnes, une avance d'information (par exemple le savoir autour d'un nouvel emploi qui n'est pas encore mis en adjudication officiellement) qui peut alors aussi devenir umgemünzt » dans une avance de confiance « peut naître (si le candidat invoque par rapport au chef de personnel des connaissances communes comme source d'information).
Effets sociaux ==
Pour ceux Société le capital social réduit sociaux Frais de mesure, comme les aides et le soutien dans le cadre sont fournis à celui réseaux d'installation. (, Sur le public décalés « externalisierten ») les frais pour soutien et l'aide pour des patients, des personnes âgées, des handicapés et des personnes d'une autre manière entravées augmentent inversement dans la mesure, comme moderne Sociétés dans le train celui Individualisation et montées Mobilité Réseaux d'installation comment Proximités, Milieux d'amis, Structures d'association etc. ne saisir plus.
Dans une société avec un faible capital social, la force de police et légale à la protection de la propriété et la régularisation nationale d'une plus grande importance est, parce que la confiance et la volonté de coopération n'existent pas suffisamment lors de la solution des problèmes et des conflits. Ainsi, la tendance existe que pour des problèmes d'action collectifs comme p. ex. pour des problèmes Protection de l'environnement aucune solution concertée être trouvée ne peut. Problèmes d'intégration immigré Des populations ne peuvent être maîtrisées également que difficilement, puisqu'ils ne peuvent pas purement régulateur être résolus. Réussi 'Intégration's'appellerait, groupes immigrés un accès au capital social (p. ex. par une formation scolaire) ouvrir développe qu'être assez doit, pour porter cette performance d'abord supplémentaire.
L'ampleur du capital social existant dans une société est encore à la croissance ou une chute d'un Économie politique associé : Relations commerciales, transactions économiques et Investissements il être été plus incertain dans un manque de climat de confiance (« frais de projet calculés élevés ») et on traite moins risikofreudig et rapidement. Ils nécessitent largement plus de dépense à une préinvestigation de problèmes apparaissant, protections juridiques, de plus longues négotiations de traité, négociations des exigences de garantie pour des contrats non observés etc. Le faible capital social augmente ainsi ceux Frais de transaction et celui réduit potentiellement Productivité. Le capital social dans le sens positif possède des conséquences économiques Allocation (Politique d'emplacement), Croissance et Emploi.
Parent thèmes ==
* Fonction honorifique
* Empowerment
* Inégalité sociale
* Égalité des chances
* Confiance sociale
Littérature spécialisée ==
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l'autre littérature ==
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Weblinks ==
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* L'article d'aperçu des Nan Lin
* Capital social, qualité de la vie et IuK-Nutzung (Internet et radiotéléphonie mobile)
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* Gradinger, Sebastian (2006): Service Clubs - zur Institutionalisierung von Solidarität und Sozialkapital, Universität Trier.
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* Levi, M. (1996). `Social and unsocial capital: a review essay of Robert Putnam's Making Democracy Work', Politics and Society, 24(1), 45-55.
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* [[Robert D. Putnam]] (1993): ''Making Democracy Work: Civic Traditions in Modern Italy'', Princeton University Press.
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* Schechler, Jürgen M. (2002): ''Sozialkapital und Netzwerkökonomik'', Frankfurt a.M.
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*van Oorschot, Wim and Arts, Wil (2004): The social capital of European welfare states: the crowding out hypothesis revisited, in: Journal of European Social Policy; Vol 15(1).
*Täube, Volker G. (2002):''Zur Messung des Sozialkapitals von Akteuren mit Einfluß in empirischen Netzwerken'', Frankfurt a.M.: Peter Lang Verlag.
*Tarrow, Sidney, 1996: Making Social Science Work across Space and Time. A Critical Reflection on Robert Putnam’s Making Democracy Work, in: American Political Science Review, Vol. 90, Nr2: 389-397.
== weitere Literatur ==
* Vance, Jack (1975): ''Die Mondmotte''. - eine S.F.-Geschichte über eine interessante Abart von Sozialkapital bzw. symbolischem Kapital
* Faist, Thomas, : The Volume and Dynamics of International Migration and Transnational Social Spaces. Oxford: Oxford University Press, 2000
==Weblinks==
* [http://www.soziologie.uni-rostock.de/sozialstruktur/tagungen/sektion/netzwerke/praes/Landhaeusser_Micheel_Netzwerke_Vortrag_Nov_2005.pdf Landhäußer Sandra/ Micheel Heinz-Günter: Kollektives Sozialkapital als individuelle Ressource?]
* [http://www.socialcapitalgateway.org/ Social Capital Gateway, Resources for the study of social capital]
* [http://lists.repec.org/mailman/listinfo/nep-soc New Papers on Social Capital, a Newsletter edited by the RePEc Project]
* [http://www.insna.org/Connections-Web/Volume22-1/V22(1)-28-51.pdf Überblicksartikel von Nan Lin]
* [http://www.socquit.net Sozialkapital, Lebensqualität und IuK-Nutzung (Internet und Mobilfunk)]
* [http://www.umweltnet.at/article/archive/7804 Österreichisches Umweltministerium im Rahmen der "Nachhaltigkeitsdebatte"]
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=== Source ===
<small>{{Traduction/Référence|en|Capital social}}</small>
== Voir aussi ==
*[[Capital social]]
{{portail sociologie}}
[[Catégorie:Concept sociologique]]
[[ca:Capital social]]
[[cs:Sociální kapitál]]
[[da:Social kapital]]
[[de:Soziales Kapital]]
[[en:Social capital]]
[[es:Capital social]]
[[et:Sotsiaalne kapital]]
[[he:הון תרבותי]]
[[hu:Társadalmi tőke]]
[[id:Modal sosial]]
[[ja:社会資本]]
[[nl:Sociaal kapitaal]]
[[pl:Kapitał społeczny]]
[[pt:Capital social]]
[[simple:Social capital]]
[[sv:Socialt kapital]]
[[vi:Tài nguyên xã hội]]