Charles-de-Gaulle (porte-avions) 52052 31735387 2008-07-20T17:14:58Z 83.141.144.166 /* Essais et problèmes techniques */ {{Voir homonymes|Charles de Gaulle (homonymie)}} {{Infobox navire de guerre | nom = Charles-de-Gaulle | image = Gaule96.jpg | légende = Photographie de 1996 | autres noms = ''Bretagne'' (1975) puis ''Richelieu'' (1986) et ''Charles-de-Gaulle'' (1987) | type = [[Porte-avions]] | flotte = {{Marine française}} | commanditaire = | commandé = | quille = [[25 novembre]] [[1987]] | lancement = mai [[1994]] | armé = [[18 mai]] [[2001]] | voyage inaugural = | statut = En entretien (30 juillet 2007-début 2009) | longueur = 261,5 mètres (hors-tout) | largeur = 65 m (pont) - 31,5 m (flottaison) | tirant d'eau = | tirant d'air = 75 m | déplacement = 42.000 tonnes pleine charge | port en lourd = | tonnage = | propulsion = Deux réacteurs nucléaires à eau pressurisée K15 | puissance = 80 000 ch (56 000 kW) | vitesse = 27 [[Nœud (unité)|nœuds]] | rayon d'action = illimité - 45 jours de vivres | équipage = 1 200 marins, 600 aériens, 100 état-major aérien | blindage = | armement = 4x lance-missiles SYLVER ([[Aster (missile)|MBDA Aster 15]], 8 tubes chacun) ; 2x Sadral (8x [[Mistral (missile)|Mistral]], 6 tubes chacun) ; 8x canons Giat 20F2 20 mm | aéronefs = 40 aéronefs ([[Dassault Rafale|Rafale]], [[Dassault Super-Étendard|Super-Étendard]], [[E-2 Hawkeye|E-2C Hawkeye]], [[Panther (hélicoptère)|SA365 Panther]]) | électronique =[[Liaison 16]] | chantier = [[DCNS|DCN]], [[Brest (France)|Brest]] | port d'attache = Toulon | indicatif = R91 }} Le '''Charles-de-Gaulle''' est l'unique [[porte-avions]] de la [[Marine nationale (France)|Marine nationale française]] actuellement en service. Il est également le premier [[navire|navire de surface]] à [[propulsion nucléaire]] [[France|français]]. Il remplace le porte-avions [[Porte-avions Clemenceau|''Clemenceau'']] arrivé en fin de carrière. Actuellement en travaux<ref>{{fr}}Dossier du ministère de la Défense français {{lire en ligne|lien=http://jdb.marine.defense.gouv.fr/tag/IPER%20Charles%20de%20Gaulle}}</ref>, il sera probablement rejoint d'ici 2015 par un second porte-avions, le [[PA 2]], remplaçant le [[Porte-avions Foch|''Foch'']]. == Caractéristiques == Le ''Charles-de-Gaulle'', immatriculé R91, est un bâtiment relativement petit en comparaison des [[Porte-avions de l'US Navy|porte-avions américains]]. Il mesure 261,5 mètres de long, 64,36 m de large, et 75 m de haut. Avec une masse de près de {{formatnum:40600}} tonnes, il peut embarquer environ {{formatnum:1950}} personnes à son bord, avec un supplément de 800 militaires en [[transport de troupe]]s. La surface du pont d'envol atteint les {{formatnum:12000}} m² et dispose d'une surface de hangars aéronefs de {{formatnum:4600}} m². Le ''Charles-de-Gaulle'' est équipé d'une propulsion nucléaire et peut effectuer {{formatnum:1150}} nautiques par jour sans limitation de durée. Son autonomie en vivres est de 45 jours. Il a été conçu pour partir un an en mer (avec seulement des ravitaillements en vivres). ===Armement=== [[Image:FS Charles De Gaulle's Rafales, Super-Etendards and Hawkeye.jpg|thumb|left|Deux [[Dassault Rafale|Rafale]], deux [[Dassault Super-Étendard|Super-Étendard]] et un [[E-2 Hawkeye|''Hawkeye'']] du ''Charles-de-Gaulle'' (12 avril [[2007]])]] Son parc aérien atteint les 40 aéronefs de type : :– [[Dassault Rafale|Rafale]] Marine ; :– [[Super-Étendard]] modernisé ; :– Avion de surveillance aérienne et de commandement aéroporté [[E-2 Hawkeye|Hawkeye]] ; :– Hélicoptère [[Panther (hélicoptère)|Panther]]. La capacité maximale aérienne est de 100 vols par jour pendant 7 jours. Le Charles-de-Gaulle peut catapulter un avion toutes les 30 secondes À noter que vu que les [[Catapulte (avion)|catapultes]] avant et latérale débordent sur la piste oblique, l'appontage et le catapultage simultanés sont impossibles. Il peut emporter 500 tonnes de [[munition]]s. <br clear="left"> ===Système d'armes=== Le ''Charles-de-Gaulle'' dispose d'un ensemble de capteurs radars de veille à courte et moyenne portée. Ses armes d'autodéfense mettent en œuvre des [[Guerre électronique|contre-mesures électroniques]], mais aussi des [[missiles sol-air]], en particulier le SAAM (système d'armes antimissiles) constitué de missiles [[Aster (missile)|Aster]]-15 . Il dispose de la liaison de données tactiques [[liaison 16|L16]]. Il participe au réseau en tant que centre de contrôle et de commandement (C2). Il peut à ce titre prendre le contrôle de chasseurs, leur envoyer ses détections radar et leur assigner diverses missions. ===Électronique=== * Radar de Veille Air Tridimensionnel '''DRBJ-11B''' (bande S) ; * Radar de Veille Air Lointaine '''DRBV-26D''' (bande L;portée 360Km) ; * Radar de Veille Combinée Surface-Air Basse Altitude '''DRBV-15C''' ''Sea Tiger Mk2'' (bande S; portée avion 100km, missile 50Km) ; * Radar de Conduite de Tir '''ARABEL''' (bande X) ; * 2 Radars de Navigation '''DRBN 34A''' Radal-Decca ; * Veille infrarouge Vampir '''DIBV-2''' ; * Leurre Anti missile '''Sagaie''' ; * Leurre anti torpille '''SLAT''' ; * Suite de guerre électronique (Détecteur Radar '''ARBR-21'''/ 2 Brouilleurs Radar '''ARBR-33'''/ Intercepteur COMINT '''ARBG-2''') ; * Système de transmission par satellites '''Syracuse III''' ; * Système de combat '''SENIT8''' (Links 11,14,16). == Histoire == === Contexte === Le porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' remplaça le [[Porte-avions Clemenceau|''Clemenceau'']], un porte-avions à propulsion conventionnelle en [[2001]]. Le [[Porte-avions Clemenceau|''Clemenceau'']] et son ''sistership'' le [[Porte-avions Foch|''Foch'']] furent armés respectivement en 1961 et 1963 ; le besoin d'un remplacement avait été identifié en 1973<ref>Décision du Conseil supérieur de la Marine nationale du 27 novembre 1973</ref>. === Construction === La construction du ''Charles-de-Gaulle'' a débuté le [[25 novembre]] [[1987]]. La structure fut assemblée en avril 1989 aux chantiers navals de la [[DCNS|DCN]], à [[Brest (France)|Brest]]. Le porte-avions fut achevé en mai 1994 et, avec 42&nbsp;500 tonnes, il était le plus grand vaisseau de guerre lancé en [[Europe de l'Ouest]] depuis le HMS ''Ark Royal'' en [[1950]]. Le navire fut baptisé ''[[Richelieu (homonymie)|Richelieu]]'' en 1986, en mémoire du célèbre homme politique français Armand-Jean du Plessis, duc et [[cardinal de Richelieu]] (un nom traditionnel pour les navires importants dans la Marine française), mais il a été rebaptisé ''Charles-de-Gaulle'' l'année suivante par le Premier ministre de l'époque, [[Jacques Chirac]]. La construction du ''Charles-de-Gaulle'' aura coûté 3 milliards d'euros (20 milliards de francs). === Espionnage === En [[1993]], un groupe d’officiers du [[MI6]] qui s'étaient fait passer pour des ingénieurs fut surpris en train d'inspecter le vaisseau en construction. On pense qu’ils étaient en train d’expertiser les équipements d’écran des réacteurs nucléaires {{référence nécessaire}}. === Essais et problèmes techniques === Les premiers essais en mer du ''Charles-de-Gaulle'' en janvier [[1999]] permirent d'identifier la nécessité d'allonger la piste d'atterrissage pour permettre l'appontage des ''E-2C Hawkeye'' avec des configurations dégradées des brins d'arrêt (en effet, le porte-avions était à l'origine dimensionné pour accueillir le [[F/A-18]] Hornet américain, avion aux caractéristiques différentes du [[Dassault Rafale]] Marine finalement retenu). Cette opération fut mal perçue par la population française, alors que les mêmes travaux avaient dû être réalisés sur le ''Foch'' et le ''Clemenceau'' quand l'avion [[Vought F-8 Crusader|''F-8 Crusader'']] a été mis en service, et alors que les cinq millions de francs pour l'allongement ne représentaient que 0,025 % du budget total du projet ''Charles-de-Gaulle''. Le 28 février 2000, l'essai d'un réacteur nucléaire provoqua la combustion d'éléments isolants, provoquant l'émission d'une épaisse fumée. Durant la nuit du 9 au 10 novembre [[2000]], alors que le porte-avions croisait en Atlantique ouest, vers [[Norfolk (Virginie)|Norfolk]], en [[Virginie (État)|Virginie]], l'hélice de bâbord se brisa, et le navire dut retourner à [[Toulon]] pour remplacer l'élément défectueux. L'enquête qui suivit mit en évidence que les hélices de remplacement comportaient les mêmes défauts de structure : des bulles (soufflures survenant lors du refroidissement du métal coulé dans le moule) près du centre des hélices (réalisées d'une pièce dans un alliage cuivre-aluminium); ce défaut est dû au fournisseur Atlantic Industrie <ref>{{fr}} [http://frenchnavy.free.fr/ships/aircraft-carrier/charles-de-gaulle/enquete-qualite.rtf Rapport d'enquête de la DGA en 2001]</ref>, qui avait effectué des compressions de son personnel le plus expérimenté. Avant leur dépose en décembre [[2007]], les hélices moins perfectionnées du ''Foch'' et du ''Clemenceau'' ont été utilisées, ce qui devait limiter la vitesse maximale à 25 nœuds, au lieu des 27 nœuds prévus (cela ne gêne pas les opérations aériennes). Elles sont remplacées fin mai [[2008]] par deux hélices [[Rolls-Royce plc|Rolls-Royce Naval Marine]] de 20 tonnes et 6 mètres de diamètre, fabriquées aux [[États-Unis]]. Le 5 mars [[2001]], le ''Charles-de-Gaulle'' reprit la mer avec deux anciennes hélices, et réalisa des pointes de vitesse à 25,2 nœuds en essai. Les hélices spécifiques ne seront indispensables qu'à partir de l'arrivée, prévue en [[2008]], des [[Dassault Rafale|Rafale]] de nouvelle génération, dont l'appontage requiert un porte-avions voguant à 27 nœuds. Entre juillet et octobre, le ''Charles-de-Gaulle'' dut à nouveau être remis en état à cause de bruits atteignant 100 dB à proximité de l'hélice tribord, ce qui rendait la poupe inhabitable. Le 18 mai [[2001]], le ''Charles-de-Gaulle'' fut officiellement armé. === Service actif === ==== Remise en état ==== Le 16 septembre 2001, la presse française rapporta que des niveaux de radioactivité largement anormaux avaient été mesurés à bord du ''Charles-de-Gaulle''. Cet incident est probablement dû à une isolation défaillante (ou à une erreur d'interprétation des médias, provenant de la décision de mettre en conformité la protection radiologique avec les dernières normes en vigueur, ce qui a nécessité des modifications des protections radiologiques). Alors que les États-Unis préparaient leur riposte au [[11 septembre 2001]] sous la forme de l'opération ''[[Enduring Freedom]]'', les médias français se plaignaient du manque de puissance militaire déployable. À la même époque, la Commission de la Défense rapportait que la maintenance de la flotte était de mauvaise qualité. Dans ce contexte, le ''Charles-de-Gaulle'', alors en réparations, était à nouveau l'objet de critiques. L'ancien président [[Valéry Giscard d'Estaing]] parla d'un ''« demi porte-avions »''. ==== Liaison 16 ==== [[Image:FS CDG bridge3.jpg|thumb|right|290px|Passerelle du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'']] Le 11 octobre 2001, la frégate [[Cassard (frégate)|Cassard]], quatre avions [[Système de détection et de commandement aéroporté|AWACS]] et le ''Charles-de-Gaulle'' participèrent à un essai de ''[[Liaison 16]]''. Le réseau permit une surveillance en temps réel de l'espace aérien du Sud de l'Angleterre jusqu'à la [[mer Méditerranée]]. Les données collectées furent aussi retransmises en temps réel vers le ''[[Jean Bart (bâtiment de ligne)|Jean Bart]]'' via l'ancien système ''[[Liaison 11]]''. ==== Incident au gaz ==== Le {{Date|8|novembre|2001}}, un marin qui réalisait une opération de maintenance de routine d'une vanne liée aux cuves à eaux usées perdit connaissance à cause d'une fuite de gaz toxique. Un officier-marinier tenta spontanément de le secourir et s'évanouit à son tour. Ils furent immédiatement secourus par l'équipe médicale de bord et envoyés à l'hôpital de Toulon. Tous deux ont survécu. ==== Afghanistan : ''Mission Héraclès'' ==== Le 21 novembre 2001, la France décida d'envoyer le ''Charles-de-Gaulle'' dans l'océan Indien pour soutenir les opérations de l'[[Organisation du traité de l'Atlantique Nord|OTAN]] en [[Afghanistan]]. La ''Task force 473'', avec 2&nbsp;900 hommes sous le commandement du contre-amiral François Cluzel appareilla le 1{{er}} décembre. La ''task force'' comprenait le porte-avions nucléaire ''Charles-de-Gaulle'', les frégates ''[[La Motte-Picquet (frégate)|La Motte-Picquet]]'', ''[[Jean de Vienne (frégate)|Jean de Vienne]]'' et ''Jean Bart'', le sous-marin d'attaque nucléaire ''[[Classe Rubis|Rubis]]'', le ravitailleur ''[[La Meuse (pétrolier)|La Meuse]]'' et l'[[aviso]] ''[[Commandant Ducuing]]''. La force aérienne comprenait 16 [[Dassault Super-Étendard|Super-Étendards]], un [[E-2 Hawkeye|E-2C Hawkeye]], deux [[Dassault Rafale|Rafale]] et plusieurs hélicoptères. Le 17 décembre 2001, la ''task force 473'' fut intégrée dans une force internationale, à côté des groupes navals américains du ''Theodore Roosevelt'' et ''[[USS John C. Stennis (CVN-74)|John C. Stennis]]'', et du ''[[:it:Giuseppe Garibaldi (C 551)|Giuseppe Garibaldi]]'' italien. La force incluait plus de cent navires, français, américains, canadiens, britanniques, allemands, italiens, néerlandais, australiens, espagnols et japonais sous un commandement centralisé inter-allié à [[Bahreïn]]. Les [[Super-Étendard]] exécutèrent leurs premières missions sur l'Afghanistan le 19 décembre, réalisant des missions de reconnaissance et de bombardement, couvrant plus de 3&nbsp;000 kilomètres. Au total, ils réalisèrent 140 missions, 12 par jour en moyenne, échappant à cinq missiles [[FIM-92 Stinger|Stinger]]. Le 18 février 2002, un satellite d'observation [[Satellite Helios|Helios]] repéra des activités anormales près de Gardez. Le lendemain, après que des membres des forces spéciales américaines dans la région aient confirmé ces observations, le ''Charles-de-Gaulle'' lança deux Super Etendards de reconnaissance. Le 20, des forces britanniques et américaines entrèrent dans la vallée, et le 2 mars, l'[[opération Anaconda]] débuta. En mars, des Super-Étendard et six [[Mirage 2000]] prirent en charge des attaques aériennes contre des cibles d'[[Al-Qaida]]. Quelques cibles proposées par les forces américaines furent refusées, de peur d'atteindre des civils. Pourtant, le président américain [[George W. Bush]] se félicita de l'engagement de la France, citant : ''« notre fidèle alliée, la France, qui a déployé un quart de sa marine de guerre dans l'[[opération Enduring Freedom]]»''<ref>{{en}} [http://www.whitehouse.gov/news/releases/2002/03/20020311-1.html ''President Thanks World Coalition for Anti-Terrorism Efforts'', Communiqué de presse de la [[Maison Blanche]] du 11.03.02]</ref>. À cette époque, la force aérienne française avait été portée à 16 Super Etendards, 6 Mirage 2000 D, 5 Rafale, deux ravitailleurs aériens KC-135, et deux AWACS Hawkeye. À partir de février, le ''Charles-de-Gaulle'' et le [[USS John C. Stennis (CVN-74)|USS John C. Stennis]] échangèrent quelques avions de façon à resserrer les liens entre alliés. [[Image:USS Enterprise FS Charles de Gaulle.jpg|thumb|right|290px|Le ''Charles-de-Gaulle'' (à droite) et l'''[[USS Enterprise (CVN-65)|USS Enterprise]]'', le premier porte-avions à propulsion nucléaire]] Le 2 mai, le ''Charles-de-Gaulle'' arriva à [[Singapour]] pour une escale, et repartit vers [[Oman]] le 18. À la même époque, la tension commençait à monter sur la question de l'Irak ; le vice-amiral François Cluzel déclara à la presse : ''« La France s'oppose à toute action contre l'Irak. Si quelque chose est entrepris, nous ne prendrons probablement pas part à la coalition »''. ==== Mission de sauvetage ==== Le 9 octobre, le ''CrossMed'' ([[Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage]] en Méditerranée) reçut un appel de détresse du ''Babolin'', un huit-mètres dont la coque prenait l'eau. Le ''Charles-de-Gaulle'', en manœuvres dans le secteur, envoya un hélicoptère qui treuilla l'équipage de trois hommes, malgré un vent de 35 nœuds, une mer agitée et une mauvaise visibilité. == Anecdote == * Le ''Charles-de-Gaulle'' apparaîtra dans ''[[Gemo 13]]'', un film français d'action et d'espionnage. {{clr}} ==Galerie== {{Images | align = center | bordure= white | titre = Photos du ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CDG1.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG2.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG3.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG4.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG5.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG6.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG7.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG8.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG9.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG10.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG11.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS CdG12.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:FS GdG13.jpg|Le ''Charles-de-Gaulle'' à quai à Toulon | Image:Pano.jpg|Panorama du porte-avions à quai au Havre ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CDG bridge.jpg|La passerelle du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CDG bridge2.jpg|La passerelle aviation du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CDG bridge3.jpg|La passerelle du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CDG aster.jpg|Les 16 silos de missiles antiaériens Aster du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CdG Optics.jpg|L'optique d'appontage du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CdG Dauphin.jpg|Un hélicoptère ''Dauphin'' « Pedro » sur le pont d'envol du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CdG Rafale.jpg|Le Rafale n°9 sur le pont d'envol du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CdG Super Etendard.jpg|Un ''Super-Étendard'' dans le hangar aviation du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' | Image:FS CdG Super Hawkeye.jpg|Un avion d'alerte radar E-2C Hawkeye sur le pont d'envol du porte-avions ''Charles-de-Gaulle'' }} {{message galerie}} ==Références== <references /> ==Liens connexes== * [[Porte-avions]] * La [[Marine nationale (France)|Marine nationale française]] * [[Liste des navires de la marine française]] == Liens externes == {{Commons|Charles_de_Gaulle_(R91)}} * [http://www.defense.gouv.fr/marine/decouverte/equipements/batiments_de_combat/charles_de_gaulle/charles_de_gaulle_r_91 Le porte-avions français ''Charles-de-Gaulle''] sur le site officiel de la Marine nationale française * [http://www.defense.gouv.fr/marine/decouverte/equipements/maintenance/le_charles_de_gaulle_au_bassin/ Le Charles de Gaulle au bassin] Site officiel de la Marine - L'Iper du Charles de Gaulle * [http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/cdg Le blog du Charles de Gaulle] * [http://www.netmarine.net/bat/porteavi/cdg/ Porte-avions français ''Charles-de-Gaulle'' sur le site de l'association netmarine] * [http://www.alabordache.com/marine/espacemarine/marine/charlesdegaulle/index.php/ Le site interactif sur la Marine nationale et le porte-avions nucléaire Charles-de-Gaulle ''Charles-de-Gaulle''] * [http://www.netmarine.net/bat/porteavi/cdg/ Un autre site à propos du porte-avions français ''Charles-de-Gaulle''] * [http://www.vodeo.tv/2-95-1386-Le-Charles-de-Gaulle.html Documentaire vidéo sur le ''Charles-de-Gaulle''] * [http://frenchnavy.free.fr/ships/aircraft-carrier/charles-de-gaulle/cdg_fr.htm Porte-avions français ''Charles-de-Gaulle'' sur le site French Fleet Air Arm] {{marine nationale}} {{Portail|histoire militaire|maritime}} <!-- liens catégories --> [[Catégorie:Porte-avions de la marine française]] [[Catégorie:Nom de bateau]] [[Catégorie:Bateau des années 1990]] [[Catégorie:Charles de Gaulle]] <!-- liens interwikis --> [[de:Charles de Gaulle (R 91)]] [[en:Charles de Gaulle (R 91)]] [[et:Charles de Gaulle (lennukikandja)]] [[fi:FS Charles de Gaulle]] [[he:נושאת המטוסים שארל דה גול]] [[it:Charles de Gaulle (R 91)]] [[ja:シャルル・ド・ゴール (空母)]] [[lb:Charles de Gaulle (R91)]] [[nl:MN Charles de Gaulle]] [[no:«Charles de Gaulle» (R 91)]] [[pl:Charles de Gaulle (R 91)]] [[pt:FS Charles de Gaulle]] [[ru:Шарль де Голль (авианосец)]] [[sv:Charles De Gaulle (R91)]] [[zh:戴高樂號航空母艦]]