Charles Louis d'Autriche 521203 31024820 2008-06-26T11:10:24Z BOTarate 319493 robot Modifie: [[hu:Habsburg–Toscanai Károly Lajos főherceg]] {{Voir homonymes|Charles}} [[Image:archdukecharles1.jpg|thumb|right|200px|Charles Louis d'Autriche]] '''Charles Louis d'Autriche''' ([[5 septembre]] [[1771]] – [[30 avril]] [[1847]]), archiduc d'Autriche, duc de [[Cieszyn|Teschen]] (en [[allemand]] : ''Erzherzog Karl von Österreich, Herzog von Teschen'', connu aussi sous le nom de ''Karl von Österreich-Teschen''), grand maître de l’[[ordre Teutonique]] ([[1801]]-[[1805]]), fils de [[Léopold II du Saint-Empire|Léopold II]], empereur du Saint Empire ([[1747]]-[[1792]]) et de son épouse [[Marie-Louise de Bourbon (1745-1792)|Marie-Louise de Bourbon, infante d'Espagne]]. C'est aussi le frère de [[François Ier d'Autriche|François I{{er}}]], empereur d'Autriche. Bien qu'[[épilepsie|épileptique]], Charles fut très respecté en tant que commandant et réformateur de l'armée autrichienne. ==Jeunesse et carrière militaire== Grâce à une généreuse décision de son père, Charles est adopté et élevé à [[Vienne (Autriche)|Vienne]] et à [[Bruxelles]] par sa tante [[Marie-Christine de Habsbourg-Lorraine|Marie Christine d'Autriche]] et son mari [[Albert de Saxe-Teschen]], tous deux sans enfant et gouverneurs des [[Pays-Bas autrichiens| Pays Bas]]. À la mort de son oncle ([[1822]]), Charles hérite du duché de [[Teschen]]. Sa jeunesse se passe en [[Toscane]], à [[Vienne (Autriche)|Vienne]] et aux [[Pays-Bas autrichiens]], dont il devient [[Liste des gouverneurs des Pays-Bas espagnols#Pays-Bas autrichiens|gouverneur]] de [[1793]] à [[1794]]. Il reçut de bonne heure une éducation distinguée qu'il fortifia sans relâche par de sérieuses études. Le [[maréchal de Bellegarde]] lui enseigna les premiers éléments de la stratégie. Les événements qui agitaient l'[[Europe]] offrirent bientôt au jeune prince l'occasion d'en faire l'application sur les champs de bataille. Il commence sa carrière militaire en combattant contre la [[Révolution française]]. L'[[Autriche]] et la [[Prusse]] venaient de former la première coalition contre la [[France]]. À peine âgé de 21 ans, le prince Charles reçut le commandement de l'avant-garde de l'armée autrichienne sous les ordres du [[prince de Cobourg]]. Il commande une brigade à la [[bataille de Jemmapes]], et dans la campagne de [[1793]] se distingue à la [[bataille d'Aldenhoven]] et la [[bataille de Neerwinden (1793)|bataille de Neerwinden]], où il cueillit ses premiers lauriers militaires.Son frère, l'empereur [[François Ier d'Autriche|François]], le nomma Grand-Croix de [[Marie-Thérèse]] et "Statthalter" (gouverneur) des [[Pays-Bas autrichiens|Pays-Bas]] et l'élève à la dignité de ''Feld-Marschall'', promotion bientôt suivi de celle de ''Feldzeugmeister''. Pendant le reste de la guerre dans les [[Pays-Bas autrichiens|Pays-Bas]], il obtient des commandements importants, et il est présent à [[bataille de Fleurus (1794)|bataille de Fleurus]]. Il est alors âgé que de 23 ans. Dans la seconde campagne, le jeune prince seconda avec talent les opérations du général [[Clairfayt]]. C'est surtout dans la [[campagne du Rhin]], en [[1796]], qu'il déploya les grandes qualités qui l'ont placé au premier rang des hommes de guerre de l'époque. En [[1795]] il sert sur le [[Rhin]], et les années suivantes, il est commandant en chef de toutes les forces autrichiennes sur ce front. Il conduit les opérations contre [[Jean-Baptiste Jourdan|Jourdan]] et [[Jean Victor Marie Moreau|Moreau]] en [[1796]], qui lui valent d'être considéré comme l'un des plus grands généraux en Europe: Au début, se repliant avec prudence et évitant de prendre une décision, il lance finalement la marche, laissant un simple écran devant [[Jean Victor Marie Moreau|Moreau]]. Tombant sur [[Jean-Baptiste Jourdan|Jourdan]] il le bat dans les batailles de [[Amberg]] et [[Würzburg]], le repoussant au delà du [[Rhin]] et lui infligeant de lourdes pertes. Il se tourne alors sur l'armée de [[Jean Victor Marie Moreau|Moreau]], qu'il défait et expulse d'[[Allemagne]]. L'[[Autriche]], délivrée de la crainte de l'invasion, la [[Bavière]] ramenée sous ses lois, la guerre reportée au frontières de la [[France]], la prise de [[Kehl]] et d'[[Huningue]], tels furent les résultats obtenus par la tactique d'un général de 25 ans. Reçu triomphalement à [[Vienne (Autriche)|Vienne]], le prince Charles fut nommé [[généralissime]] des armées autrichiennes. ==Guerres napoléoniennes== Il rencontra bientôt un redoutable adversaire. Le général [[Napoléon Bonaparte|Bonaparte]],son cadet de deux ans, victorieux en [[Italie]], allait franchir les [[Alpes noriques]] et se précipiter sur [[Vienne (Autriche)|Vienne]]. En [[1797]] il a été envoyé pour arrêter la marche victorieuse de [[Napoléon Bonaparte|Bonaparte]] en [[Italie]]. Le prince Charles, marchant à sa rencontre, engagea avec lui sa première bataille sur les rives du [[Tagliamento]], le [[16 mars]] [[1797]], et lui opposa une résistance vigoureuse. Peu de jours après, au combat livré sur le [[col de Larvis]], le prince affronta la mort avec un courage héroïque, et ne céda devant [[André Masséna|Masséna]] qu'après les efforts les plus opiniâtres. Le général [[Napoléon Ier|Bonaparte]] offrit la paix à son rival par une lettre célèbre qui témoigne de son admiration pour le prince. Quelques mois après, la [[paix de Campo-Formio]] était signée. L'[[Europe]] fut de nouveau mise à feu et à sang. Rentré en campagne, le prince Charles battit le général [[Jean-Baptiste Jourdan|Jourdan]] à [[bataille d'Osterach|Osterach]] et à [[bataille de Stockach (1800)|Stokach]] en [[Souabe]] : dans ce dernier combat, on le vit mettre pied à terre et charger lui-même à la tête de ses grenadiers. Passé en [[Suisse]], il fit assaut de manœuvres et d'audace avec [[André Masséna|Masséna]]. Il revint bloquer [[Philippsburg]], et remporta, le [[22 novembre]] [[1798]], la [[bataille d'Heingheim]]. Il est à l'apogée de sa gloire lorsqu'il envahit la [[Suisse]] et vainc [[André Masséna|Masséna]] pendant la [[première bataille de Zurich]], après quoi il rentre en [[Allemagne]] et repousse une fois de plus les Français au-delà du [[Rhin]]. À la fin de cette campagne, écoeuré de voir ses plans militaires sans cesse contrariés par le [[conseil aulique]], le [[17 mars]] [[1800]] en désaccord avec la politique menée à [[Vienne (Autriche)|Vienne]], il cède le commandement à son frère l'archiduc [[Jean-Baptiste d'Autriche|Jean-Baptiste]], et se retire en [[Bohême]]. Les victoires françaises le firent bientôt rappeler au commandement de l'armée autrichienne, qui se trouvait alors désorganisée. Le général [[Moreau]] était à 30 lieues de [[Vienne (Autriche)|Vienne]]! La [[bataille de Hohenlinden]] oblige l'archiduc vaincu à demander l'armistice à [[Steyr (ville)|Steyr]], le [[25 décembre]], et fut suivi par la [[paix de Lunéville]]. Sa popularité est maintenant telle que la diète de [[Ratisbonne]], réunie en [[1802]], propose d'ériger une statue en son honneur et de lui donner le titre de ''sauveur de la patrie'', mais Charles refuse ces preuves ostentatoires de reconnaissance. L'[[Autriche]] tira de nouveau l'épée contre la France. Le prince Charles, qui s'était prononcé contre la guerre, et qui ne fut point consulté sur les plans de la campagne, reçut le commandement de l'armée réunie en Italie sur l'[[Adige]]. Durant la courte et désastreuse guerre de [[1805]], l'archiduc Charles commande ce qui devrait être l'armée principale en Italie, mais les évènements font de l'Allemagne le théâtre principal des opérations, et les défaites successives sur le [[Danube]], neutralisent le succès obtenu par l'archiduc sur [[André Masséna|Masséna]] dans un combat désespéré à la [[bataille de Caldiero]] où il déploya toutes les ressources de son talent, et ramena intacte l'armée qui lui avait été confiée. Après la [[Traité de Presbourg|Paix de Presbourg]], il fut nommé ''Chef du Conseil Aulique de guerre et Généralissime des Armées''. En [[1805]] [[François Ier d'Autriche|François II]] (devenu François I{{er}} d'Autriche) le nomme ''Generalfeldmarschal'', commandant en chef de l'armée autrichienne, président du Conseil de la guerre. Profitant de son prestige - il le seul général s'étant montré capable de battre les armées Françaises - il lance des réformes de grande envergure qui remplacent les méthodes désuètes de {{s|XVIII|e}}: Il profite de la paix pour commencer un travail de réorganisation de l'armée, supprimant le service militaire à vie, instituant la conscription, interdisant le châtiment corporel, adoptant les tactiques françaises de combat. La nouvelle armée est surprise, en pleine réorganisation, par la guerre de [[1809]]. [[Image:Johann_Peter_Krafft_003.jpg|thumb|250px|L'archiduc Charles d'Autriche à la [[bataille d'Essling]] (21-22 mai 1809)]] Il reprit les armes en [[1809]], et soutint contre les armées de [[Napoléon Ier|Napoléon]] une lutte glorieuse. Au combat sanglant d'[[bataille d'Essling|Aspern]], son courage fut admirable: chaque fois qu'il voyait ses soldats fléchir, il sautait à bas de son cheval, saisissait un drapeau et les ramenait au combat. Les premiers succès sont neutralisés par les revers des la bataille d'[[bataille d'Abensberg|Abensberg]], [[Bataille de Landshut|Landshut]] et [[Bataille d'Eckmühl|Eckmühl]]. Après l'évacuation de [[Vienne (Autriche)|Vienne]], ont lieu les terribles batailles d'[[bataille d'Essling|Aspern-Essling]] et [[bataille de Wagram|Wagram]], à l'issue desquelles les Autrichiens, bien que vaincus, infligent à [[Napoléon Bonaparte|l'empereur des Français]] une perte de plus de 50 000 hommes. [[Klemens Wenzel von Metternich|Metternich]] convainc alors l'Empereur de signer le [[traité de Schönbrunn|paix de Schönbrunn]] La nouvelle armée autrichienne a montré qu'elle était un adversaire plus redoutable que l'ancienne, face à l'armée, maintenant trop hétérogène de [[Napoléon Bonaparte|Napoléon]]. Elle ne succombe qu'après une lutte désespérée. Cependant à la fin de la campagne, Charles, désavoué, renonce à toutes ses charges militaires. Sa dernière bataille fut celle de [[Wagram]]. Il vécut dans la retraite, emportant avec lui le renom d'un grand capitaine. Comme son illustre rival [[Napoléon Ier|Napoléon]], il a retracé avec la plume les grandes choses qu'il avait exécutées avec l'épée, en consacrant une partie de ses loisirs à la composition de plusieurs ouvrages militaires fort estimés. Le prince Charles qui, mandataire de l'Empereur des Français, avait conduit à l'autel sa nièce, la jeune archiduchesse [[Marie-Louise d'Autriche]] devenue l'épouse de Napoléon, servit de guide et de protecteur au fils du grand homme qu'il avait combattu. Il entoura de soins et de conseils le [[duc de Reichstadt]] qui lui témoignait les sentiments d'une affection toute filiale. ==Vie civile== [[Image:archdukecharles2.jpg|thumb|right|250px|L'archiduc Charles en famille]] En [[1796]], il fut question de marier le jeune archiduc à sa cousine [[Marie Thérèse de France]],fille des défunts [[Louis XVI]] et [[Marie Antoinette]].Récemment libérée de la [[prison du Temple]] à [[Paris]], (échangée contre des soldats Français détenus par l'[[Autriche]]), après trois ans de captivité, ayant vu périr sa famille, la jeune princesse déclara avec noblessse qu'elle ne pouvait épouser un homme ''"ennemi de son pays"'' Charles passa le reste de sa vie dans le retirement, exception faite, pour une courte période en [[1815]], quand il fut nommé ''"gouverneur de la ville de [[Mayence]]"''. En [[1822]], la mort de son oncle le fait duc de [[Teschen]] (cf.ci-dessus). L'archiduc Charles épouse en [[1815]], la Princesse Henriette de [[Nassau-Weilburg]] ([[1797]]-[[1829]]). Ils ont sept enfants : * [[Marie-Thérèse de Habsbourg-Lorraine-Teschen]] ([[31 juillet]] [[1816]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[8 août]] [[1867]] Abano). Épouse en [[1837]] [[Ferdinand II des Deux-Siciles|Ferdinand II de Bourbon]], [[liste des rois de Sicile|roi des deux Siciles]]. * [[Albert de Teschen]] ([[3 août]] [[1817]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[18 février]] [[1895]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]]), duc de Teschen, deviendra un des plus célèbres généraux d'Europe. * [[Charles-Ferdinand de Teschen]] ([[29 juillet]] [[1818]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[20 novembre]] [[1874]] Groß Seelowitz) * Frédéric-Ferdinand ([[14 mai]] [[1821]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[5 octobre]] [[1847]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]]) * Rodolphe ([[25 septembre]] [[1822]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[11 octobre]] [[1822]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]]) * Marie-Caroline ([[10 septembre]] [[1825]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[17 juillet]] [[1915]] [[Bade]]). Épouse en [[1852]] son cousin Rainier de [[Habsbourg-Lorraine]], * Guillaume ([[21 avril]] [[1827]] [[Vienne (Autriche)|Vienne]] - [[29 juillet]] [[1894]] Weikersdorf). Grand maître de l’[[ordre Teutonique]] [[1863]]. Charles décède à [[Vienne (Autriche)|Vienne]] le [[30 avril]] [[1847]]. Il est inhumé dans la tombe 122 de la crypte impériale de [[Vienne (Autriche)|Vienne]]. Une statue équestre est érigée en son honneur, sur la [[Heldenplatz]] en [[1860]]. ==Évaluation== Ce n'est que lorsque la situation l'exige que l'archiduc fait la démonstration de ses travaux stratégiques. Son éducation [[catholique]] le portant naturellement en faveur de la défensive, il est en même temps capable de déployer une stratégie agressive des plus audacieuses. Sa compétence tactique dans la manoeuvre des troupes, dans les mouvements de rotation larges, par exemple à [[Würzburg]] et à [[bataille de Zurich|Zurich]], ou dans les masses, comme à bataille d'[[bataille d'Essling|Aspern-Essling]] et la bataille de [[bataille de Wagram|Wagram]], est certainement égale à celle de n'importe quel chef de son temps. Sa campagne de [[1796]] est considérée comme presque parfaite. Qu'il ait subit une défaite en [[1809]] était dû en partie à la supériorité numérique des Français et de leurs alliés, et de l'état de ses troupes trop fraîchement opérationnelles. Six semaines d'inaction après la victoire d'Aspern, déchaîne les critiques défavorables et souvent injustes. En tant que stratège, ses positions dans l'évolution de l'art de la guerre sont très importantes. Il aimait répéter le conseil suivant : "''rien ne doit être risqué si votre propre armée n'est pas en sécurité''". Une règle qu'il oublia pourtant avec de brillants résultats en [[1796]]. Il disait''" les points stratégiques (et non la défaite de l'armée ennemie) décide de l'avenir de son propre pays, ils doivent donc rester de façon permanente à l'attention du général"'', une maxime qui s'est montrée erronée durant la guerre de [[1809]]. L'éditeur des travaux de l'archiduc ne peut opposer qu'une faible défense face au reproche de [[Clausewitz]] qui arguait que Charles attachait plus de valeur au terrain qu'à la destruction de l'ennemi. Dans ses écrits tactiques le même esprit est présent. Sa réserve pendant les batailles sert à couvrir la retraite. En fait, Charles se montrait économe du sang de ses hommes. [[Image:Archduke_Charles_Statue.jpg|thumb|350px|right|Statue de l'archiduc Charles sur l'[[Heldenplatz]] à Vienne]] L’influence des ces principes humanistes mais bientôt dépassés est clairement démontrée lorsque l’armée autrichienne préfère se maintenir à [[bataille de Sadowa|Königgrätz-Josefstadt]] en [[1866]], considéré comme un emplacement stratégique, plutôt que de battre séparément les armées prussiennes, ainsi que dans les plans étranges produits à Vienne pour la campagne de [[1859]], et l’inintelligible [[Bataille de Montebello (1859)|bataille de Montebello]]. La théorie et la pratique de l’archiduc Charles forment un contraste saisissant, unique dans l'[[histoire militaire]]. La première semble angélique mais la seconde déploie une activité qui fait de lui l'un des meilleurs opposants à Napoléon. Sur le champ de bataille, il est juste de dire, que Charles avait des compétences comparables à celles du duc de [[Arthur Wellesley de Wellington|Wellington]], qui, bien que tout à fait conservateur n'en demeurait pas moins excessivement compétent. Que [[Arthur Wellesley de Wellington|Wellington]] ait joui d'une réputation supérieure est probablement dû au fait qu'il n'eut à faire face à [[Napoléon Bonaparte|Napoléon]] qu'une seule fois. Encore n'était il que co-commandant d'une force alliée. En revanche Charles a été confronté à [[Napoléon Bonaparte|Napoléon]] plus que n'importe quel autre commandant. Lors de ces face-à-face, la tactique fiable et imaginative de Charles était insuffisante (sauf à [[bataille d'Essling|Aspern-Essling]]) pour battre Napoléon. Néanmoins Charles est considéré comme membre d'un Panthéon réunissant les plus célèbres figures militaires de son époque, incluant [[Napoléon Ier|Napoléon]] lui-même, [[Louis Nicolas Davout|Davout]], [[Karl Philipp de Schwarzenberg]], [[Alexandre Souvorov]], [[Gebhard Leberecht von Blücher]] et le sus-mentionné [[Arthur Wellesley de Wellington|Wellington]]. {{commons}} == Voir aussi == * [[Liste des grands maîtres de l'ordre Teutonique]] * [[Liste des gouverneurs des Pays-Bas espagnols et autrichiens]] == Publications == * ''Principes de stratégie'', Vienne, [[1814]] * ''Campagne d'Allemagne et de Suisse en [[1799]]'', Vienne, [[1819]] ==Sources== * {{1911}} * {{Mullié}} {{Début dynastie}} {{Insérer dynastie|couleur1=#aaaaaa|couleur2=#ffffff|couleur3=#aaaaaa | avant = [[Maximilien François d'Autriche]] | nom = [[Image:Blason ordre teutonique.png|thum|64 px]]<br />[[Liste des grands maîtres de l'ordre Teutonique|Grand maître de l’ordre Teutonique]]<br/>[[1801]]-[[1804]] | après = [[Antoine Victor d'Autriche]] }} {{Fin dynastie}} {{Dynastie|couleur1="#ffaaaa"|couleur2="ffffaa"||avant=[[Albert de Saxe-Teschen]] et [[Marie-Christine de Habsbourg-Lorraine|Marie-Christine d'Autriche]]|nom=[[Liste des gouverneurs des Pays-Bas espagnols et autrichiens#Pays-Bas autrichiens|Gouverneurs des Pays-Bas autrichiens]]<br>[[1793]]-[[1794]]|après=(fin des [[Pays-Bas autrichiens]])}} {{Portail|Révolution française|Cliopédia}} [[Catégorie:Dynastie de Habsbourg-Lorraine]] [[Catégorie:Histoire de l'Autriche]] [[Catégorie:Histoire de Belgique]] [[Catégorie:Gouverneur des Pays-Bas autrichiens]] [[Catégorie:Naissance en 1739]] [[Catégorie:Décès en 1823]] [[Catégorie:Ordre teutonique]] [[ca:Carles Lluís d'Àustria (duc de Teschen)]] [[de:Karl von Österreich-Teschen]] [[en:Archduke Charles, Duke of Teschen]] [[es:Carlos de Austria-Teschen]] [[hu:Habsburg–Toscanai Károly Lajos főherceg]] [[id:Charles dari Austria]] [[it:Carlo d'Austria-Teschen]] [[ja:カール・フォン・エスターライヒ=テシェン]] [[nl:Karel van Oostenrijk-Teschen]] [[pl:Karol Ludwik Habsburg]] [[ru:Карл-Людвиг-Иоанн]] [[sr:Надвојвода Карло од Аустрије]] [[zh:查理大公]]