Coccinelle asiatique 322814 31634682 2008-07-16T19:16:47Z Vincnet 13549 /* Voir aussi */ {{Taxobox animal | Coccinelle asiatique | Harmonia axyridis 2005.07.03 10.10.21.jpg | ''Harmonia axyridis'' }} {{Taxobox phylum | Arthropoda }} {{Taxobox sous-embranchement | Hexapoda }} {{Taxobox classe | Insecta }} {{Taxobox ordre | Coleoptera }} {{Taxobox famille | Coccinellidae }} {{Taxobox sous-famille | Coccinellinae }} {{Taxobox genre | Harmonia }} {{Taxobox binomial animal | Harmonia axyridis | ([[Peter Simon Pallas|Pallas]], [[1773]]) }} {{Taxobox commons|Harmonia axyridis}} {{Taxobox fin}} La '''coccinelle asiatique''' (''Harmonia axyridis'') est une espèce de [[Coccinellidae|coccinelle]] [[aphidiphage]] (qui se nourrit de pucerons), originaire de [[République populaire de Chine|Chine]]. Dès le début du siècle, mais surtout plus massivement, vers la fin des années 1980 elle a été importée en [[Europe]] et aux [[États-Unis]] pour la [[lutte biologique]]. Mais son comportement, sa prolificité et sa voracité l'ont rendue hors de contrôle, et elle est désormais considérée comme une espèce [[nuisible]] pour de nombreuses espèces de coccinelles autochtones qu'elle tend à éliminer. ==Description== * Morphologie : le mâle est plus petit que la femelle, avec des tailles variant<ref>Kuznetsov VN. 1997. Lady beetles of Russian Far East. Gainesville, FL: Memoir Seis Editor, CSE</ref> de {{formatnum:4.9}} à {{Unité|8.2|mm}} de long et de {{formatnum:4.0}} à {{Unité|6.6|mm}} de large. * Motifs et coloration : Cette coccinelle présente une large gamme de coloris, allant du rouge à points noirs au noir à points rouges, en passant par de nombreuses nuances de jaune. Les [[élytres]] sont ornés de zéro à 19 points. * [[Autécologie]] : Elle se nourrit de [[puceron]]s, de [[psylle]]s et de [[Cochenille (insecte)|cochenille]]s, avec une voracité plus importante que celle les espèces autochtones utilisées jusqu'alors, surtout aux stades larvaires 3 et 4.<br />Dans le cadre des importations dans les pays occidentaux pour la lutte biologique, il s'est avéré qu'elle s'attaquait également aux autres coccinelles locales, à d'autres insectes et aux fruits (?) des vergers. * '''Reproduction''' : Prolifiques, les femelles de cette espèce peuvent pondre jusqu'à 2500 œufs durant leur vie, et même en laboratoire jusqu’à {{formatnum:3819}} oeufs à un taux de 20 à 30 œufs/jour (25,1 oeufs par jour en moyenne)<ref>Hukusima S, Kamei M. 1970. Effects of various species of aphids as food on development, fecundity and longevity of Harmonia axyridis Pallas (Coleoptera: Coccinellidae). Research Bulletin of the Faculty of Agriculture, Gifu University 29: 53-66.</ref>, mais Stathas (2001) estime la fécondité normale plus basse (moins de 1700 oeufs)<ref>Stathas GJ, Eliopoulos PA, Kontodimas DC, Giannopapas J. 2001. Parameters of reproductive activity in females of Harmonia axyridis (Coleoptera: Coccinellidae). European Journal of Entomology 98: 547-549.</ref>. * Stades de développement : Les oeufs fraîchement pondus sont jaune pâle et ovales et ils mesurent 1,2 millimètre de long. Ils deviennent jaune plus foncé avec le temps.<br />Au '''premier stade''', la larve mesure de {{formatnum:1.9}} à {{Unité|2.1|mm}} puis grandit jusqu’ à {{formatnum:7.5}} à {{formatnum:10.7mm}} dans le quatrième instar (Sasaji, 1977), parfois moins<ref>El-Sebaey IIA, El-Gantiry AM. 1999. Biological aspects and description of different stages of ''Harmonia axyridis'' (Pallas) (Coleoptera: Coccinellidae). Bulletin of the Faculty of Agriculture, Cairo University. 50: 87-97</ref> puis gris-noirs environ 24 h avant d’éclore<ref>He JL, Ma EP, Shen YC, Chen WL, Sun XQ. 1994. Observations of the biological characteristics of Harmonia axyridis (Pallas) (Coleoptera: Coccinellidae). Journal of the Shanghai Agricultural College 12: 119-124</ref>.<br />Les larves sont ornées de nombreux spicules<ref>Savoiskaya GI, Klausnitzer B. 1973. Morphology and taxonomy of the larvae with keys for their identification. In: Hodek I, editor. Biology of Coccinellidae, 36-55. The Hauge, Holland: Dr. W. Junk N. V., Publishers</ref> dont les fonctions ne sont pas connues. Sur l'abdomen, les spicules dorsaux se terminent en une triple fourche , alors que les spicules des côtés ( dorso-latéraux) sont doubles. La coloration de la larve change à chaque stade larvaire, passant d’une couleur généralement noirâtre foncée pour les premiers stades <ref>Rhoades, MH. 1996. Key to first and second instars of six species of Coccinellidae (Coleoptera) from alfalfa in Southwest Virginia. Journal of the New York Entomological Society 104:83-88</ref>, bien que EL-Sebaey et EL-Gantiry<ref>El-Sebaey IIA, El-Gantiry AM. 1999. Biological aspects and description of different stages of Harmonia axyridis (Pallas) (Coleoptera: Coccinellidae). Bulletin of the Faculty of Agriculture, Cairo University. 50: 87-97.</ref> (1999) citent une tache rouge au centre du sixième segment abdominal.<br />Au '''second stade''', les côtés (zone dorso-latérale) sont ornés d’une tache orange ou les 1ers et seconds segments abdominaux (selon Sasaji et Rhoades déjà cités).<br />Au '''3{{e}} stade''', la coloration d'orange couvre les domaines latéraux dorsaux et dorsaux du premier segment abdominal et des domaines latéraux dorsaux des deuxièmes à cinquièmes segments abdominaux<ref>El-Sebaey IIA, El-Gantiry AM. 1999. Biological aspects and description of different stages of Harmonia axyridis (Pallas) (Coleoptera: Coccinellidae). Bulletin of the Faculty of Agriculture, Cairo University. 50: 87-97.</ref>.<br />Le '''4{{e}} stade''' présente les mêmes taches orange sur fond noirâtre qu’au 3{{e}} stade, mais les spicules des secteurs dorsaux des quatrièmes et cinquièmes segments abdominaux sont également orange (Sasaji, déjà cité).<br />Comme souvent chez les [[Coccinellinae]], la [[chrysalide]] est accrochée à une feuille ou branchette sans être protégée du soleil, des intempéries ou [[prédateur]]s. Les restes d’[[exuvie]] du 4{{e}} stade sont attachés à l'extrémité postérieure de la chrysalides, au point d’attache sur le substrat<ref>Savoiskaya GI, Klausnitzer B. 1973. Morphology and taxonomy of the larvae with keys for their identification. In: Hodek I, editor. Biology of Coccinellidae, 36-55. The Hauge, Holland: Dr. W. Junk N. V., Publishers</ref>. <gallery> Image:Harmonia axyridis.jpg|''Harmonia axyridis'', dont la couleur et la forme des points sont fortement variables Image:Harmonia axyridis larvae 3.jpg|Larve se nourrissant de pucerons. Les couleurs indiquent que la larve est à son 4{{e}} stade de développement Image:H-axyridis LMd 19 pupa.jpg|[[Pupe]], dernier stade de transformation de la larve, fixé au feuillage ou à un tronc, équivalent au stade ''« chrysalide »'' des papillons Image:Harmonia axyridis Coccinelle asiatique Pupes.jpg|Pupes sous une grosse branche de charme Image:Pupe de Harmonia axyridis.jpg|Périodiquement, la pupe fixée par l'arrière sur le substrat est animée d'un mouvement brusque. Elle se dresse une ou quelques secondes puis reprend sa position Image:Harmonia axyridis very young.jpg|Les élytres de la jeune coccinelle encore accrochée aux restes de sa pupe, sont jaunes. Seule la tête est colorée. Les taches apparaitront progressivement dans les premières heures de sa vie d'adulte. Image:Harmonia axyridis young 0.jpg|Alors que des taches apparaissent - à peine visibles - sur les élytres, les ailes commencent à apparaitre sous les élytres Image:Harmonia axyridis young.jpg|Au stade suivant les ailes se déplient et se forment. La coccinelle doit les sécher durant plusieurs heures. Leur couleur jaune signale aux prédateurs une toxicité ou un mauvais goût Image:Harmonia axyridis apparition taches.jpg|Les taches apparaissent plus nettement Image:Harmonia axyridis taches et W frontal.jpg|La jeune coccinelle a acquis sa coloration définitive. Noter ici un acarien visible sur son pronotum, lequel porte une forme de ''W,'' fréquente chez la coccinelle asiatique Image:HarAxy ontwikkeling.jpg|Toutes les stades de développement Image:CoccinelleAsiatiqueLilleMai 2008.jpg|cannibalisme ; occasionnellement observé chez les larves </gallery> * Développement : Selon Hodek, 1973<ref>Hodek I. 1973. Life history and biological properties. In: Hodek I, editor. Biology of Coccinellidae, 70-76. The Hauge, Holland: Dr. W. Junk N. V., Publishers.</ref>, pour des individus biens nourris et maintenus à 26°C, La larve éclot (en moyenne) après 2.8 jours, le 1{{er}} stade dure 2.5 jours, le second 1.5 jour, le troisième 1.8 jour et le quatrièmes 4.4 jours. La chrysalide donne un adulte après 4.5 jours.<br />Les hivers doux et le réchauffement climatique pourraient favoriser l'espèces (mais plus que d'autres ?). En conditions expérimenales, il a en effet fallut 267.3 jours pour passer du stade œuf à l'adulte à 11.2°C (expérience faite aux États-Unis)<ref>LaMana ML, Miller JC. 1998. Temperature-dependent development in an Oregon population of Harmonia axyridis (Coleoptera: Coccinellidae). Environmental Entomology 27: 1001-1005.</ref>, et 231.3 jours à 10.5°C en France<ref>Schanderl H, Ferran A, Larroque M. 1985. Les besoins trophiques et thermiques des larves de la coccinelle Harmonia axyridis Pallas. Agronomie 5: 417-421.</ref> les larves étant plus petites lorsqu’elles se développent à basse température <ref>Kawauchi S. 1979. Effects of temperatures on the aphidophagous Coccinellids. Kurume University Journal 28: 47-52</ref>.<br />Le développement est accéléré si les aphidés (pucerons) sont abondants. Hukusima et Ohwaki (1972).<br />Les espèces d’aphidés consommés influent également sur la vitesse de développement des larves à tous les stades, ainsi que la fécondité de l’adulte<ref>Hukusima S, Ohwaki T. 1972. Further notes on feeding biology of Harmonia axyridis (Coleoptera: Coccinellidae). Research Bulletin of the Faculty of Agriculture, Gifu University 33: 75-82.</ref>. L’adulte vit normalement de 30 à 90 jours selon la température (EL-Sebaey et EL-Gantiry, 1999, Soares et autres., 2001), mais certains adultes ont vécus trois ans<ref>Savoiskaya GI. 1970b. Introduction and acclimatisation of some coccinellids in the Alma-Ata reserve. Trudy Alma Atinskogo Gosudarstvennogo Zapovednika 9: 138-162</ref>. == Connaissances scientifiques == En raison des espoirs qu’elle a suscité en matière de lutte intégrée contre les puçerons, c’est la coccinelle qui a été au {{s-|XX|e}} la plus étudiée dans le monde, d’abord en Asie et à partir d’échantillons de souches indigènes chinoises avec par exemple des publications de Hukusima et Kamei <ref>Hukusima S, Kamei M. 1970. Effects of various species of aphids as food on development, fecundity and longevity of Harmonia axyridis Pallas (Coleoptera: Coccinellidae</ref>. Research Bulletin of the Faculty of Agriculture, Gifu University 29: 53-66.), en 1970, Hukusima et Ohwaki<ref>Hukusima S, Ohwaki T. 1972. Further notes on feeding biology of Harmonia axyridis (Coleoptera: Coccinellidae). Research Bulletin of the Faculty of Agriculture, Gifu University 33: 75-82</ref> en 1972, Yasumatsu et Watanabe <ref>Yasuda H, Kikuchi T, Kindlmann P, Sato S. 2001. Relationships between attack and escape rates, cannibalism, and intraguild predation in larvae of two predatory ladybirds. Journal of Insect Behavior 14: 373-384</ref> en 1964, et à partir des années 1980 par des chercheurs européens et nord-américains (des aspects génétique et concernant sa place dans l’évolution à la dynamique de population en passant par ses capacités en matière de lutte biologique intégrée), puis pour ses impacts potentiels sur des espèces non-cible (dont coccinelles autochtones) quand certaines souches introduites se sont montrées très proliférantes. Cette espèce est scientifiquement plus connue que d'autres, mais on explique encore mal son caractère invasif. ==Aire de répartition== ==== Distribution indigène présumée ==== Elle est large ; des chaînes de l’[[Altaï]] à l'ouest à la côte Pacifique dans l'Est, et du [[Sibérie|Sud Sibérie]] au nord de la Chine méridionale <ref>Kuznetsov VN. 1997. Lady beetles of Russian Far East. Gainesville, FL: Memoir Seis Editor, CSE</ref> ====Distribution actuelle==== La première population repérée en [[Amérique du Nord]] date de [[1988]]<ref>Chapin JB, Brou VA. 1991. ''Harmonia axyridis'' (Pallas), the third species of the genus to be found in the United States (Coleoptera: Coccinellidae). Proceedings of the Entomological Society Washington 93: 630-635</ref>. Cette coccinelle s’est rapidement montrée invasive, colonisant dans les années 1980 une grande partie des États-Unis (hormis - au début des années 2000) - le [[Montana]], le [[Wyoming]] et quelques régions du sud-ouest des États-Unis (données non publiées citées par l'entomologiste RL Koch<ref>Department of Entomology, 219 Hodson Hall, 1980 Folwell Avenue, University of Minnesota, St. Paul, Minnesota 55108, USA </ref>, dans une bibliographie<ref>[http://www.insectscience.org/3.32/#gordon85 étude bibliographique]</ref> d'Octobre 2003). Elle semble en voie d'occuper la [[niche écologique]] de nombreuses espèces parmi les 475 espèces de [[Coccinellidae]] vivant du Mexique à l’Alaska <ref>Gordon RD. 1985. The Coleoptera (Coccinellidae) of America north of Mexico. Journal of the New York Entomological Society 93: 1-912</ref> ==Classement systématique== Après une histoire [[taxonomie|taxonomique]] mouvementée, cette coccinelle atypique est actuellement classée dans la tribu ''Coccinellini'' de la famille ''[[Coccinellidae]]'' après avoir été initialement (1773) nommée ''Coccinella axyridis Pallas''., puis, et/ou ''Coccinella bisex-notata Herbst'' 1793, ''Coccinella 19-sinata'' Faldermann 1835, ''Coccinella conspicua'' Faldermann 1835, ''Coccinella aulica'' Faldermann 1835, ''Harmonia spectabilis'' Falderman 1835, ''Coccinella succinea'' Hop 1845, ''Anatis circe'' Mulsant 1850, et ''Ptychanatis yedoensis'' Takizawa 1917. <br />On lui a découvert de nombreuses sous-espèces, polymorphismes et aberrations de couleurs (Korschefsky, 1932). Certaines souches ont fait l'objet d'élevages et de sélections pour produire des auxiliaires de l'agriculture, avec notamment des souches aptères et/ou particulièrement voraces (mais qui se sont ensuite montré agressives envers d'autres espèces que les pucerons, y compris d'autres coccinelles sauvages). En anglais, son nom commun et « multicolored Asian lady beetle » ou parfois « Halloween beetle »<ref>Mahr S. 1996. Know your friends: multcolored Asian ladybeetle. Midwest Biological Control News, Online. 2.</ref> en Amérique du Nord ; en raison du grand nombre d’individus qui se rassemblent pour la [[migration]] d’automne, fin octobre, à l'époque d'[[Halloween]] en Amérique du Nord. ==L'espèce et l'homme== Érigée en symbole de la [[lutte biologique]] contre les « ''ennemis des cultures'' » tels que les [[puceron]]s, la coccinelle asiatique a été importée de Chine dans tout l'hémisphère nord pour cet usage. Des essais d’utilisations contre les pucerons ont été faits en Amérique du nord dès la première guerre mondiale ; en [[1916]],<ref>Gordon RD. 1985. The Coleoptera (Coccinellidae) of America north of Mexico. Journal of the New York Entomological Society 93: 1-912</ref>, puis partout dans l'hémisphère nord. ==Espèce invasive ?== Après être restée discrète plusieurs décennies, elle s'est rapidement montré [[invasion biologique|invasive]]<ref>{{harv|texte=GISD, 2008|réf=ancrage_GISD}}</ref>, peut-être même à partir d'individus aptères et réputés ne pas pouvoir passer l'hiver. Par exemple ; en vente en Belgique depuis 1997, elle a colonisé la Flandre en quatre ans seulement. C'est un ''scénario'' qui s'est souvent répété en Europe et en Amérique du Nord. La vente des larves en a été stoppée en Belgique, mais la coccinelle asiatique est devenue la coccinelle la plus répandue à Bruxelles et en 2006-2007 elle a beaucoup progressé dans le nord de la France. [[Image:Harmonia axyridis01.jpg|thumb|right|250px|Différentes colorations de la coccinelle asiatique]] L’espèce s'est en fait répandue progressivement en Europe dans les années 2000. On la trouve de plus en plus, du nord au sud-est de la France<ref>Iperti G, Bertand E. 2001. Hibernation of Harmonia axyridis (Coleoptera: Coccinellidae) in South-Eastern France. Acta Societatis Zoologicae Bohemicae 65: 207-210</ref>, de l'Angleterre à la Grèce<ref>Katsoyannos P, Kontodimas DC, Stathas GJ, Tsartsalis CT. 1997. Establishment of Harmonia axyridis on citrus and some data on its phenology in Greece. Phytoparasitica 25: 183-191.</ref> et jusqu’en Amérique du Sud<ref>de Almeida LM, da Silva VB. 2002. First record of Harmonia axyridis (Pallas) (Coleoptera, Coccinellidae): a lady beetle native to the Palaearctic region. Revista Brasileira de Zoologia 19: 941-944</ref>. {{Référence nécessaire|Un site aux Etats-Unis conseille l'utilisation de la couleur pourpre qui ne lui plait pas.|date=20 février 2008}} ==Voir aussi== === Articles connexes === * [[Coléoptère]] * [[Agriculture raisonnée]] * [[Lutte intégrée]] * [[Espèce invasive]] * [[Invasion biologique]] ===Références taxonomiques=== * {{Catalogueoflife espèce|5167462|Harmonia axyridis|(Pallas, 1773)}} * {{ITIS|692602|''Harmonia axyridis'' (Pallas, 1773) }} * {{ADW|Harmonia_axyridis|''Harmonia axyridis'' }} * {{NCBI|115357|''Harmonia axyridis'' }} ==== Liens et documents externes==== {{Wiktionnaire|coccinelle|coccinelle}} * {{GISD|668|''Harmonia axyridis'' }} * [http://perso.orange.fr/vinc.ternois/cote_nature/Harmonia_axyridis/index.htm Observatoire sur le suivi en France de la Coccinelle asiatique] {{fr}} *[http://www2.ville.montreal.qc.ca/insectarium/toile/info_insectes/fiches/fic_fiche22_coccinelle.htm Coccinelle asiatique, sur la « toile des insectes du Québec »] {{fr}} * Gilles San Martin et all., ''la Coccinelle asiatique, Harmonia axyridis''. Dans ''Insectes'', n°135, 2005 - Pages 7 à 11. [http://www.inra.fr/opie-insectes/pdf/i136san_martin-et-al.pdf Lire le document pdf]{{fr}} * [http://www.koleopterologie.de/gallery/ Site consacré aux coléoptères, avec galerie d’image] {{de}} * [http://www.ladybird-survey.pwp.blueyonder.co.uk/H_axyridis.htm Site anglais sur cette coccinelle, avec cartographie des observations dans Londres] {{en}} * [http://www.insectscience.org/3.32/ Liens vers les articles d’auteurs ayant travaillé sur cette coccinelle, avec thèmes traités]. Koch RL. 2003. The Multicolored Asian Lady Beetle, Harmonia Axyridis: A Review of Its Biology, Uses in Biological Control, and Non-target Impacts. 16pp. Journal of Insect Science, 3:32, Available online: insectscience.org/3.32 {{en}} * [http://www.bba.de/mitteil/presse/030514.htm Site allemand ] {{de}} * [http://www.insectscience.org/3.32/Koch_JIS_3_32_2003.pdf étude sur l’usage agricole de cette coccinelle et ses impacts] (Journal of Insect Science, 20003) {{en}} * [http://www.cirrusimage.com/beetles_multicolored_Asian_ladybird.htm Aide au diagnostic et reconnaissance des larves et adultes mâle et femelle] {{en}} * [http://www.wildlifetrust.org.uk/cheshire/news_ladybird.htm Page du Wildlife Trust, invitant le public à contribuer au suivi de cette espèce]{{en}} ==Notes et références== {{Références}} [[Catégorie:Coléoptère (nom vernaculaire)]] [[Catégorie:Coccinellidé]] [[da:Harlekinmariehønen]] [[de:Asiatischer Marienkäfer]] [[en:Harmonia axyridis]] [[nl:Veelkleurig Aziatisch lieveheersbeestje]] [[nn:Harlekinmarihøne]] [[no:Harlekinmarihøne]] [[sv:Harlekinnyckelpiga]]