Géographie du Québec 34647 31475991 2008-07-10T19:04:10Z Charitybernhard 206220 /* Liens externes */ ajout d'une Palette de sujets québécois {{article principal|Québec}} Le '''Québec''' occupe une position dominante dans l'est du continent [[Amérique du Nord|nord-américain]]. D'une superficie de {{NaU|1667441|km²}}<ref>selon les données de l'[[Institut de la statistique du Québec]]. [[Statistique Canada]] donne le chiffre de {{NaU|1542056|km²}}, qui est inférieur de {{NaU|8|%}} au chiffre du [[gouvernement du Québec]], en raison d'une méthode de calcul différente.</ref>, il est approximativement de la même taille de l'[[Iran]], le 18{{e}} pays le plus étendu au monde, trois fois plus grand que la [[France]] métropolitaine <ref name="courville">[[Serge Courville]], ''Le Québec: Genèses et mutations du territoire'', Les Presses de l'Université Laval, coll. Géographie historique, Québec, 2000 {{ISBN|2-7637-7710-4}}, p. 9</ref>{{,}}<ref name="ethier">Chantal Éthier (textes), Martine Provost (textes) et Yves Marcoux (photographies), ''Québec, terre de contrastes'', Les Éditions de l'Homme, Montréal, 2004 {{ISBN|2-7619-1877-0}}, p. 14</ref> ou cinq fois plus grand que le [[Japon]]<ref name="ethier"/>. Il partage une frontière avec quatre états du nord-est des [[États-Unis]] — l'[[New York (État)|État de New York]], le [[Vermont]], le [[New Hampshire]] et le [[Maine (État)|Maine]] —; trois provinces [[Canada|canadiennes]] — [[Terre-Neuve]], le [[Nouveau-Brunswick]] et l'[[Ontario]]; en plus d'une frontière maritime avec le territoire du [[Nunavut]]. Vu de l'espace, le Québec se démarque par l'abondance de ses cours d'eaux. Le Québec dispose d'une des plus importantes réserves d'eau douce du monde<ref name="boisclair">Québec (2002). ''[http://www.menv.gouv.qc.ca/eau/politique/politique-integral.pdf L'eau. La vie. L'avenir. Politique nationale de l'eau]''{{pdf}}. {{ISBN|2-550-40074-7}}. page 5.<br/>Avec {{NaU|990|km³/an}} d’eau renouvelables, excluant les lacs et l'eau souterraine, le Québec dispose de {{NaU|3|%}} du total mondial de cette ressource.</ref>, qui occupe {{NaU|12|%}} de sa superficie totale<ref name="L'interatlas">''L'interatlas: Les ressources du Québec et du Canada'', Centre d'études en enseignement du Canada, Centre éducatif et culturel, Montréal, 1986 {{ISBN|2-7617-0317-0}}, p. 39</ref>. Pas moins d'un demi-million de [[lac]]s<ref name="boisclair"/> — dont 30 d'une superficie supérieure à {{NaU|250|km²}} — et {{formatnum:4500}} [[rivière]]s<ref name="boisclair"/> déversent leurs torrents dans l'[[Océan Atlantique|Atlantique]] par le [[Golfe du Saint-Laurent]] et dans l'[[océan Arctique]], par les [[baie (géographie)|baie]]s de [[Baie James|James]], [[Baie d'Hudson|d'Hudson]] et [[Baie d'Ungava|d'Ungava]]. Si le Québec est vaste, il est en revanche très inégalement peuplé. En 2006, pas moins de {{formatnum:1873971}} personnes s'agglutinaient dans les 498 km² de l'[[île de Montréal]] (pour une densité de {{NaU|3761.6|hab./km²}}), seulement {{formatnum:40637}} Québécois habitaient la région du [[Nord-du-Québec]], qui compte pourtant pour {{NaU|43|%}} du territoire<ref>Québec. Institut de la statistique du Québec (2007). ''[http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/societe/demographie/dons_regnl/regional/203.htm Évolution et distribution de la population par région administrative, superficie et densité, Québec, 1971-2006]''. Page consultée le 18 août 2007.</ref>. === Géologie === [[Image:Map of Quebec-fr.png|right|thumb|400px|Carte du Québec.]] Le Québec dispose d'un sous-sol riche en minéraux. Des roches [[précambrien]]nes du [[Bouclier canadien]] forment plus de {{NaU|90|%}} du territoire<ref name="hocq">Hocq, Michel, coord. (1994). ''Géologie du Québec''. Québec : Publications du Québec. p. 3.</ref>. Cet immense [[Plateau (géographie)|plateau]] forme la presque totalité du territoire québécois au nord du [[fleuve Saint-Laurent]], à l'exception d'une mince bande de territoire à l'extrémité nord, les basses-terres de l'Arctique qui ceinturent la [[baie d'Hudson]]. [[Image:Parc Omega.jpg|215px|left|thumb|Parc Oméga, près de [[Montebello (Québec)|Montebello]], dans l'[[Outaouais (Québec)|Outaouais]] québécois.]] La moitié de la douzaine de provinces géologiques du Bouclier canadien sont représentées dans la géologie québécoise. Il y a d'abord la ''province du Supérieur'', dont la datation fait remonter sa création à l'[[Archéen]] supérieur (de 2,5 à 2,85 milliards d'années). Cette région d'une superficie de {{NaU|2000000|km²}}, dont {{NaU|600000|km²}} au Québec, est renommée pour ses gisements de [[cuivre]], de [[nickel]], de [[fer]] et d'[[argent]]<ref name ="hocq"/>. Les régions de l'[[Abitibi]] et du [[Pontiac (municipalité régionale de comté)|Pontiac]] sont deux exemples représentatifs de cette formation géologique. Les deux régions portent les marques de leur rencontre avec les régions plus au sud. Les roches volcaniques de ces deux régions {{citation|ne représentent plus que des restes médiocres de fonds marins juxtaposés}}<ref>Hocq, Michel et Pierre Verpaelst (1994). ''Les sous-provinces de l'Abitibi et du Pontiac'', dans Hocq, Michel, coord. (1994). ''Géologie du Québec''. Québec : Publications du Québec. p. 3.</ref> le long de [[faille]]s ou de discordances, écrivent Michel Hocq et Pierre Verpaelst, dans une [[monographie]] consacrée à la géologie québécoise publiée par le gouvernement du Québec en [[1994]]. La plus jeune province précambrienne, dite ''de [[Grenville (Québec)|Grenville]]'' — du nom d'une municipalité des [[Laurentides (région administrative)|Laurentides]], dans le sud-ouest du Québec —, est venue s'ajouter au noyau du [[craton]] nord-américain il y a un milliard d'années. Le Grenville traverse le Québec du nord-est au sud-ouest et se poursuit jusqu'au sud-est des [[États-Unis]]<ref>''ibid, p. 5</ref>. Cette région, qui s'étend sur {{NaU|600000|km²}} au Québec, est reconnue pour ses gisements de fer-titane, de minéraux industriels comme le [[silice]], le [[graphite]], les [[silicate]]s d'[[alumine]] et ses pierres de taille, dont le [[granite]]<ref>''ibid'', p. 6.</ref>. [[Image:Monteregian Hills from space.jpg|thumb|215px|left|Trois collines montérégiennes, les [[mont Saint-Hilaire|monts Saint-Hilaire]], [[mont Rougemont|Rougemont]] et [[mont Yamaska|Yamaska]], entourés de la plaine du Saint-Laurent, le {{citation|jardin du Québec}}.]] On retrouve des [[roche sédimentaire|roches sédimentaires]] [[paléozoïque]]s au sud du fleuve<ref>Brisebois, Daniel et Joël Brun (1994). ''La plate-forme du Saint-Laurent et les Appalaches'', in Hocq, Michel, coord. ''Géologie du Québec'', ''op. cit.'', p. 95.</ref>, qui forment un arc de cercle se terminant avec l'imposante [[Gaspésie|péninsule gaspésienne]], et constituent un maillon des [[Appalaches]], qui s'étend sur plus de {{NaU|2500|km}}, de Terre-Neuve à l'[[Alabama]]<ref>''ibid'', p. 104.</ref>. Les Appalaches ont été formées au cours de trois phases [[orogénèse|orogéniques]] — les orogénèses ''taconienne'', ''acadienne'' et ''alléghanienne'' —, sur une période d'environ 200 millions d'années, du [[Cambrien]] au [[Dévonien]]. Elles résultent de la fracturation du supercontinent [[Gondwana]], le long d'une grande zone de fracture ou ''[[rift]]'' qui a donné naissance à l'[[océan Iapetus]], à la fin du [[Protérozoïque]]<ref>''ibid'', p. 113.</ref>. À l'est les monts [[Chic-Chocs]] occupent la majeure partie de la Gaspésie; son point culminant est le [[mont Jacques-Cartier]] ({{NaU|1268|m}}<ref name="elevation">Canada. Statistique Canada (2005, 2 février). ''[http://www40.statcan.ca/l02/cst01/phys03_f.htm Principales élévations selon la chaîne ou la région]''. Page consultée le 18 août 2007.</ref>). Dans le sud, le mont Gosford, situé près de la [[frontière canado-américaine|frontière américaine]], s'élève à {{NaU|1192|m}}<ref name="elevation"/>. Enfin, il y a ce que le géographe [[Henri Dorion]] appelle {{citation|le jardin du Québec}}<ref name="sites">Dorion, Henri, Yves Laframboise, Pierre Lafond (2007). ''Le Québec, 50 sites incontournsbles''. Montréal : Éditions de L'Homme. {{ISBN|2-7619-2368-2}}. p. 15.</ref>, la plate-forme du Saint-Laurent, dont les basses terres ont été formées de [[sédiment]]s apportés aussi récemment qu'à la fin de la [[Glaciation du Wisconsin|glaciation wisconsinienne]], il y a moins de {{NaU|20000|ans}}. Elle s'étend de [[Gatineau]] à [[La Malbaie]] et jusqu'à la faille Logan, dans une trajectoire en arc qui va du [[lac Champlain]] à l'[[Île aux Coudres]], en passant par [[Saint-Hyacinthe]] et [[Québec (ville)|Québec]]<ref>''Brisebois, Daniel et Joël Brun (1994). ''op. cit.'', p. 100.</ref>. Cette étroite bande de terre — qui a vu naître et croître la [[Nouvelle-France]], aux {{sp|XVII|e|et|XVIII|e|s}} — forme une [[plaine]] propice à l'[[agriculture]]. Une série de [[colline]]s d'origine [[pluton (géologie)|plutonique]], les [[Collines montérégiennes]] ont fait leur apparition au [[Crétacé]]. Alignées sur un axe est-ouest allant d'[[Oka]] à [[Mont Mégantic|Mégantic]], ces collines sont le résultat d'[[intrusion]]s de [[Magma (géologie)|magma]]s {{Lh|Alcalin|alcalin}}s<ref>ibid, p. 110.</ref>. {{Clr}} === Hydrographie === [[Image:BuckelwalTadoussac.jpg|thumb|200px|left|Les [[baleine à bosse|baleines à bosse]] remontent le fleuve Saint-Laurent jusqu'à [[Tadoussac]].]] [[Image:Rupert North Road 1.JPG|thumb|200px|left|La rivière Rupert.]] Les [[cours d'eau du Québec]] constituent probablement l'une de ses plus importantes richesses et sont une caractéristique fondamentale des [[paysage]]s québécois. Il compte 430 [[bassin versant|bassins versants]] majeurs — dont 100 d'une superficie supérieure à {{NaU|4000|km²}}<ref>Québec. Ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs. ''[http://www.mddep.gouv.qc.ca/eau/bassinversant/bassins/index.htm Liste des bassins versants]''. Page consultée le 18 août 2007.</ref> —, qui relèvent de quatre grands systèmes hydrographiques : le Saint-Laurent, la baie James, la baie d’Hudson et la baie d’Ungava<ref name="boisclair"/>. Le demi-million de [[lac]]s<ref name="boisclair"/> — dont 30 d'une superficie supérieure à {{NaU|250|km²}} — et les {{formatnum:4500}} [[rivière]]s<ref name="boisclair"/> du Québec occupent {{NaU|12|%}} du territoire}}. Le plus important est sans aucun doute [[fleuve Saint-Laurent]], l'un des plus importants d'[[Amérique du Nord]]<ref>Canada. Environnement Canada (2007, 15 juin). ''[http://www.qc.ec.gc.ca/CSL/INF/inf027_f.html Connaissez-vous les bassins versants du Canada?]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref>{{,}}<ref>Québec. Développement durable, Environnement et Parcs (2003). ''[http://www.mddep.gouv.qc.ca/eau/eco_aqua/fleuve/qualite90-03/st-laurent.htm Le Saint-Laurent - La qualité des eaux du fleuve 1990-2003]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref> et l'un des 15 plus importants au monde par sa longueur et l'étendue de son bassin hydrographique. Il prend sa source dans les [[Grands Lacs (Amérique du Nord)|Grands Lacs]], aboutit à un vaste estuaire, le [[golfe du Saint-Laurent]], pour finalement se jeter dans l'[[Atlantique]]. Long de {{NaU|1,200|km}} depuis le [[lac Ontario]] jusqu'à l'Île d'Anticosti<ref>Québec. Commission de toponymie du Québec (2007). ''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/topos/carto.asp?Speci=121375&Latitude=49,66666&Longitude=-64,5&Zoom=1700 Fleuve Saint-Laurent]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref>, c'est l'une des plus grandes voies navigables du monde et le principal axe fluvial du continent nord-américain<ref>Québec (2007, 28 mars). ''[http://www.gouv.qc.ca/portail/quebec/pgs/commun/portrait?lang=fr&id=pgs.portrait.geographie.territoire&location=pgs%2Fportrait%2Fgeographie%2Fterritoire Territoire]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref>. Le fleuve rétrécit d'abord à [[Québec (ville)|Québec]] puis la navigation est rendue difficile par les [[rapides de Lachine]]. La construction du [[canal Lachine]] au {{XIXe siècle}}, puis celle de la [[voie maritime du Saint-Laurent]] entre [[1952]] et [[1959]] ont permis de permettre à des villes comme [[Duluth]] ([[Minnesota]]) et [[Thunder Bay (Ontario)]] de disposer d'un accès à l'océan [[Atlantique]]. D'ouest en est, ses principaux [[affluent]]s québécois sont les [[rivière des Outaouais|rivières des Outaouais]], [[rivière Richelieu|Richelieu]], [[rivière Saint-Maurice|Saint-Maurice]], [[Chaudière]], [[rivière Saint-François|Saint-François]], et [[rivière Manicouagan|Manicouagan]]. Le [[Lac Saint-Jean]], d'une superficie de {{NaU|1041|km²}}, deux fois celle de l'[[Île de Montréal]] alimente le [[rivière Saguenay|Saguenay]], qui se jette dans le Saint-Laurent à Tadoussac. Au [[Nord-du-Québec]], les bassins de [[la Grande Rivière]], de la [[rivière Rupert]] et de la [[Grande rivière de la Baleine]] sont particulièrement connues pour leur potentiel [[hydroélectrique]] et les gigantesques [[Réservoir (lac)|réservoir]]s créés lors de la construction des deux phases du [[projet de la Baie-James]]. Le [[lac Mistassini]] et le [[lac à l'Eau Claire]], les deux plus grands lacs naturels du Québec, alimentent l'[[océan Arctique]]. ===L'environnement=== ====Climat==== [[Image:Chasse neige.jpg|thumb|220px|right|La ville de Québec reçoit en moyenne 312 cm de neige par année.]] Quatre [[saison]]s très contrastées se succèdent au Québec, dont un [[printemps]] doux et bref et un [[automne]] frais et coloré. Les saisons les plus marquées restent l'[[été]] et l'[[hiver]]. Les étés sont [[Transfert thermique|chauds]] et souvent très [[Humidité relative|humide]]s. Les hivers sont [[froid]]s, plutôt longs et [[neige]]ux, et très humides eux aussi. Ces saisons sont très contrastées, les températures pouvant atteindre parfois les {{NaU|35|[[degré Celsius|°C]]}} en été<ref>CRIAC (2007, 5 avril) ''[http://www.criacc.qc.ca/climat/suivi/ete06/temp_f.html Température estivale 2006]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref>, et descendre parfois sous la barre des {{NaU|-40|°C}} en hiver<ref>CRIAC (2007, 28 mars) ''[http://www.criacc.qc.ca/climat/suivi/hiver_temp_f.html Température hivernale 2006-2007]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref>. La période d'enneigement a une durée d'environ quatre mois (au sud, à [[Montréal]]) à six mois (au nord, à [[Radisson]]). La quantité de neige tombée pendant cette période à [[Sept-Îles]] ({{NaU|412|cm}})<ref>CRIAC (2006, 12 décembre). ''[http://www.criacc.qc.ca/villes/tableau_f.asp?id_station=7047910&regroup=sud Indicateurs et normales climatiques pour la station de SEPT-ILES A]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref>, [[Québec (ville)|Québec]] ({{NaU|312|cm}})<ref>CRIAC (2006, 12 décembre). ''[http://www.criacc.qc.ca/villes/tableau_f.asp?id_station=7016294&regroup=sud Indicateurs et normales climatiques pour la station de QUÉBEC/JEAN LESAGE INTL A]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref> ou à Montréal ({{NaU|217.5|cm}})<ref>CRIAC (2006, 12 décembre). ''[http://www.criacc.qc.ca/villes/tableau_f.asp?id_station=7025250&regroup=sud Indicateurs et normales climatiques pour la station de MONTRÉAL/PIERRE ELLIOTT TRUDEAU INTL A]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref> est quand même supérieure à celle d'une ville nordique comme [[Helsinki]], qui est située au 60{{e}} parallèle<ref>Finnish Meteorological Institute. ''[http://www.fmi.fi/weather/climate_6.html Climate in Finland | Normal period 1971-2000]''. Page consultée le 16 août 2007.</ref><!--, [[Moscou]]{{refnec}}, ou encore [[Oslo]]{{refnec}}-->. En général, c'est le vent qui refroidit davantage les températures et provoque parfois de la {{citation|[[poudrerie (canadianisme)|poudrerie]]}} (neige très fine emportée par le vent). Les villes de la [[Gaspésie|péninsule gaspésienne]] ainsi que les villes côtières de la [[Côte-Nord]] profitent de l'[[Effet modérateur de la mer|effet modérateur de l'océan]] sur les températures extrêmes et jouissent d'un hiver un peu plus doux et d'un été plus frais. ====Les biomes==== {{...}} === Notes et références === {{references|colonnes=2}} ===Liens externes=== {{Palette de sujets québécois}} {{Portail|Québec|Canada}} [[Catégorie:Géographie du Québec|*]] [[en:Geography of Quebec]] [[sv:Quebecs geografi]]