Georgel
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2008-02-04T17:49:21Z
Airair
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'''Georgel''', de son vrai nom '''Georges Job''', né et mort à [[Paris]] ([[2 juillet]] [[1884]] - [[8 août]] [[1945]]), est un chanteur français.
Cet émule de [[Félix Mayol|Mayol]] débute aux [[Folies-Belleville]] en [[1903 en musique|1903]], il a tout juste dix-huit ans. Mayol lui apporte alors son soutien, un dévouement que Georgel n’oubliera jamais. Copiant d’abord son « Maître » en lui empruntant son répertoire et son style (coiffure à houppette, boutonnière), il s’essaiera plus tard dans le registre de [[Fragson]] avec des chansons comme ''Dans mon aéroplane'' ([[1908 en musique|1908]]). Ensuite il interprète son propre répertoire avec « ses tubes » : ''La Vipère du trottoir'', ''L’Épervier'' ou ''Le Dernier tango'' ([[1912 en musique|1912]]).<br>Mais ce sont surtout les chansons de [[Vincent Scotto]] qui vont le faire entrer dans la légende. Il chante notamment ''Ton cœur a pris mon cœur'', ''Caroline, Caroline'' et enfin il crée l’immortel ''Sous les ponts de Paris'' en avril [[1913 en musique|1913]].<br/ >Jusqu’au début des [[années 1930]], il obtiendra encore de nombreux succès. Il crée ''Où est-il donc ?'' en [[1925 en musique|1925]], chanson qui sera reprise, une dizaine d'années plus tard, par [[Fréhel (chanteuse)|Fréhel]] dans le film ''[[Pépé le Moko]]'' de [[Julien Duvivier]]. Il y aura encore ''Alaska'' et ''Visite nocturne'' en [[1926 en musique|1926]], ''Sans un'' en [[1929 en musique|1929]] et ''Les Marchands d’illusions'' en [[1930 en musique|1930]].<br/ >C’est lors de l’une de ses dernières représentations qu’il va à son tour donner un coup de pouce à un jeune débutant : [[Bourvil]].
== Lien externe ==
* {{fr}} [http://www.chanteurs.org Artistes disparus de la chanson francophone]
{{Portail musique}}
{{DEFAULTSORT:Georgel}}
[[Catégorie:Chanteur français]]
[[Catégorie:Chanteur francophone]]
[[Catégorie:Nom de scène]]
[[Catégorie:Naissance en 1884]]
[[Catégorie:Naissance à Paris]]
[[Catégorie:Décès en 1945]]