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    <title>Georges Vacher de Lapouge</title>
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      <contributor>
        <username>Attis</username>
        <id>113119</id>
      </contributor>
      <comment>/* Travaux */ corr wiki</comment>
      <text xml:space="preserve">Le comte '''Georges Vacher de Lapouge''', né le [[12 décembre]] [[1854]] à [[Neuville-de-Poitou]] ([[département de la Vienne|Vienne]]) et mort le [[20 février]] [[1936]] à [[Poitiers]] ([[département de la Vienne|Vienne]]), est un [[anthropologie|anthropologue]] [[France|français]]. [[Magistrat]] puis [[bibliothécaire]], il est un théoricien de l'[[eugénisme]] et une figure de l'[[sociologie|anthroposociologie]].

==Carrière==
Né à [[Neuville-de-Poitou]] en 1854, Georges Vacher de Lapouge perd son père à l'âge de douze ans. Ne fréquentant pas l'école primaire, il apprend à lire et écrire auprès de sa mère. Élève au [[collège]] des [[Compagnie de Jésus|jésuites]] de [[Poitiers]] en octobre 1866 puis au [[Lycée en France|lycée]] - où Louis Liard, son professeur, lui fait découvrir [[Herbert Spencer]] et [[Charles Darwin]] - de 1868 à 1872, il devient ensuite étudiant en droit et reçoit la médaille d'or le [[29 novembre]][[1877]] pour une étude de 750 pages, ''De la pétition d'hérédité'', présentée au concours de doctorat de la faculté de droit de Poitiers.

[[doctorat|Docteur]] en droit en 1879, sa thèse porte sur la ''Théorie du patrimoine en droit positif généralisé''.  Commençant alors une carrière de magistrat, il est nommé substitut à [[Niort]] (1879-1880), [[Procureur de la République (France)|procureur de la République]] au [[Le Blanc (Indre)|Blanc]] (1880-1881) et à Chambon (1881-1883). Lisant alors de nombreux ouvrage sur les [[sciences naturelles]] et la [[Théories de l'évolution|théorie de l'évolution]], il n'en reste pas moins attaché aux principes républicains et, président du Cercle de la Ligue d'Enseignement du Blanc, n'hésite pas à prononcer, le [[6 février]] [[1881]], une conférence intitulée « Du rôle de l'instruction chez les peuples libres », où il fait encore l'éloge du progrès des [[Lumières (philosophie)|Lumières]].

Ne se jugeant pas fait pour la [[magistrature]], il démissionne en mai 1883 et s'installe à [[Paris]], où il subsiste en donnant des cours particuliers. Préparant l'[[Agrégation en France|agrégation]] de droit, il suit simultanément les cours de l'[[École pratique des hautes études]], section d'[[histoire]] et de [[philologie]], où il étudie l'[[assyrien]], l'[[Égyptien ancien|égyptien]] et l'[[hébreu]], de l'[[École du Louvre]], où il s'intéresse à l'[[égyptologie]], de l'[[Institut national des langues et civilisations orientales|École des langues orientales]], où il apprend le [[Langues chinoises|chinois]] et le [[japonais]], du [[Muséum de Paris|Muséum]] et de l'[[École d'anthropologie]] de 1883 à 1886.

Ayant échoué à l'[[Agrégation en France|agrégation]] en 1884, il commence à publier ses recherches dans des revues savantes à partir de 1885-1886, qu'il s'agisse de la ''Revue générale du droit, de la législation et de la jurisprudence'' (1885-1886), de la ''Nouvelle revue historique de droit français et étranger'' (1886) ou de la ''Revue d'anthropologie'' (1886), où il diffuse la pensée eugéniste de [[Francis Galton]].

Nommé en 1886 sous-bibliothécaire à l'[[Université de Montpellier]], il y donne, à partir du [[2 décembre]], et grâce à l'appui de Liard, alors directeur de l'enseignement supérieur, un cours libre d'anthropologie à la faculté des sciences, où il développe ses idées sur la théorie de l'hérédité et les sélections sociales&lt;ref&gt;Le premier cours porte sur « L'anthropologie et la science politique ».&lt;/ref&gt;. En 1887 et 1888, ses cours sont publiés dans la ''Revue d'anthropologie''. Toutefois, il ne parvient pas à faire crééer une chaire d'anthropologie dont il soit le titulaire, et son cours est supprimé en octobre 1892. En effet, son militantisme socialiste gêne : il est candidat socialiste aux élections municipales depuis 1888, il a fondé la section de Montpellier du [[Parti ouvrier français]] de [[Jules Guesde]] en 1890, et il collabore au ''Messager du Midi'' puis à ''la République du Midi''&lt;ref&gt;Pierre-André Taguieff, « [http://www.persee.fr/showPage.do;jsessionid=C33CE42EADDB1E38BDE5341E5AA8637A.vesta?urn=mcm_1146-1225_2000_num_18_1_1219 Sélectionnisme et socialisme dans une perspective aryaniste. Théories, visions et prévisions de Georges Vacher de Lapouge (1854-1936)] », ''Mil neuf cent, revue d'histoire intellectuelle'', n° 18 « Eugénisme et socialisme », 2000, p. 14.&lt;/ref&gt;. Enfin, le {{1er mars}} [[1893]], le laboratoire d'anthropologie de [[Montpellier]] est fermé.

Lapouge parvient alors à se faire nommer [[bibliothécaire]] en chef à l'[[université de Rennes]], où il demeure jusqu'en 1900. Puis il prend la tête de la [[bibliothèque]] de l'[[université de Poitiers]], et ce, jusqu'à sa retraite en 1922.

Défenseur d'un [[socialisme]] [[sélection naturelle|sélectionniste]] et [[race aryenne|aryaniste]], impliquant une nouvelle morale et s'inspirant des philosophies de la nature dérivées du darwinisme, en particulier celle d'[[Ernst Haeckel]], il défend une [[religion|religion civique]] et [[panthéisme|panthéiste]] du vital et du solaire dépassant les idéaux [[ascétisme|ascétiques]] et [[individualisme|individualistes]] issus du [[christianisme]]. Proche de [[René Worms]], père de la [[sociologie]] biologique, il publie de nombreux articles dans la ''Revue internationale de sociologie'', que celui-ci a créée en 1893.

Ses idées reçoivent un accueil bienveillant d'auteurs comme [[George Bernard Shaw]]&lt;ref&gt;Lettre de Shaw à Brewer, citée dans Daniel J. Kevles, ''Au nom de l'eugénisme'', p. 275&lt;/ref&gt;, [[Édouard Drumont]]&lt;ref&gt;Drumont parle, le [[23 mai]] [[1896]], dans ''La Libre parole'', de ''Les Sélections sociales'' comme d'« un des livres les plus remarquables de ce temps ».&lt;/ref&gt; ou [[Georges Sorel]]&lt;ref&gt;En juin 1896, dans un article non signé paru dans ''le Devenir social'', Georges Sorel félicite l'auteur « de son courage et de son originalité ».&lt;/ref&gt; mais sont aussi très sévèrement critiquées dans le milieu scientifique, en particulier parmi les [[sociologie|sociologues]] [[Émile Durkheim|durkheimiens]]&lt;ref&gt;Pierre-André Taguieff, « [http://www.persee.fr/showPage.do;jsessionid=C33CE42EADDB1E38BDE5341E5AA8637A.vesta?urn=mcm_1146-1225_2000_num_18_1_1219 Sélectionnisme et socialisme dans une perspective aryaniste. Théories, visions et prévisions de Georges Vacher de Lapouge (1854-1936)] », ''Mil neuf cent, revue d'histoire intellectuelle'', n° 18 « Eugénisme et socialisme », 2000, p. 23-25. Opposés aux anthroposociologues, Célestin Bouglé en 1897, Arsène Drumont en 1898, Léonce Manouvrier en 1899, Henri Pierre en 1902 font paraître une critique des théories de Lapouge.&lt;/ref&gt;. Définitivement disqualifié à partir de 1902 auprès du monde universitaire du français par les critiques des durkheimiens et des [[Affaire Dreyfus|dreyfusards]], Lapouge perd en 1902 tout espoir d'obtenir une chaire d'anthropologie. À partir de 1902-1903, déconsidéré scientifiquement et politiquement, il ne peut plus publier ses recherches que dans des revues étrangères, américaines ou allemandes. Neuf articles paraissent ainsi de 1904 à 1909 dans la revue ''Woltmann''. Réunis en volume, ils sont publiés chez Rivière en 1909 sous le titre ''Race et milieu social. Essais d'anthroposociologie''.

En mars 1909, candidat à la chaire d'anthropologie du [[Muséum de Paris]], il publie un résumé de ses travaux scientifiques recensant 87 publications de 1880 à 1909. Mais sa candidature, comme à chaque fois, est rejetée.

Faisant des adeptes à l'étranger, Lapouge est élu en décembre 1920 membre correspondant, en France, de la Galton Society, fondée à [[New York]] en mars 1918. De même, lors du second congrès international eugénique, qui se tient à New York du [[22 septembre|22]] au [[28 septembre]] [[1921]], il est invité à faire une communication sur « La race et les populations mélangées ». Plus tard, il est invité par la leader féministe Margaret Sanger au sixième congrès international du mouvement « Birth Control » - mouvement néo-malthusien -, qui se tient à New York en mars 1925. Engagé en faveur du contrôle des naissances, il traduit en français et fait paraître chez Payot en 1926 ''The Passing of the Great Race'' (1916), ouvrage de son ami et correspondant [[Madison Grant]], président depuis 1922 de l'Immigration Restriction League, qui considère l'immigration comme une menace pour la survie de la race blanche. Enfin, de 1927 à 1934, il publie de nombreux articles dans les revues eugénistes anglo-saxconnes, l’''Eugenics Review'' de [[Londres]] et l’''Eugenicals News'' de New York.

Côté allemand, il noue en mars 1927 des relations avec Hans F. K. Günther (1891-1968), théoricien [[völkisch]] des races europénnes, il donne des articles à ''die Sonne'', une revue völkisch et eugéniste fondée en 1924. De même, jusqu'en 1934, il entretient une correspondance avec [[Ludwig Schemann]], dont il a fait la connaissance lors de son adhésion à la Gobineau-Vereinigung en 1898. Enfin, il est en relation constante avec l'Anneau Nordique (Nordischer Ring), organisation mystico-raciste fondée en 1926 par Paul Schultze-Naumburg, où il retrouve Schemann.

Ambivalent face au [[nazisme]], il se sent flatté de l'application politique de ses idées racistes, eugénistes et collectivistes mais dénonce la dénaturation de ses principes sélectionnistes. Le [[12 mai]] [[1935]], dans une lettre à la veuve de son disciple Du Pont, il s'interroge sur [[Adolf Hitler|Hitler]] : « L'avenir dira si la politique de croquemitaine de ce grand homme ne peut aboutir qu'à d'effroyables exterminations et à la fin des meilleurs ».

Il s'éteint quelques mois plus tard, en février 1936, à l'âge de 81 ans, dans une indifférence presque générale. Ses théories connaissent un bref renouveau en France sous l'[[Europe sous domination nazie|Occupation]], avec les travaux des doctrinaires racistes et eugénistes [[René Martial]] (1873-1955)&lt;ref&gt;Benoît Larbiou, « René Martial, 1873-1955. De l’hygiénisme à la raciologie, une trajectoire possible », ''Genèses'', n° 60, 2005/3, p. 98-120.&lt;/ref&gt; et [[George Montandon]] (1879-1944)&lt;ref&gt;Éric Mazet, « [http://louisferdinandceline.free.fr/indexthe/antisem/montandon.htm Céline et Montandon] », article revu et complété, publié initialement en décembre 1993, troisième volet de ''Céline et les maudits''.&lt;/ref&gt;.

Marié à Marie-Albertine Hindré, il est le père de Claude Vacher de Lapouge (1886-1963).

==Travaux==
[[Darwinisme social|Darwin]]iste convaincu et persuadé que le sort du monde repose sur la victoire des aryens sur les juifs, il publie en 1899 le texte de ses cours sous le titre: ''L'[[Aryens|Aryen]], son rôle social'', sous-titré « cours libre de science politique, professé à l'Université de Montpellier (1889-1890) », qui a fourni les éléments fondateurs de l'[[antisémitisme]] [[Nazisme|nazi]]. 

À partir de ses travaux d'[[anthropologie]], il a théorisé scientifiquement sa vision [[racialisme|raciale]] et [[racisme|raciste]] du monde. Il oppose la race blanche, [[race aryenne|aryenne]], [[dolichocéphale]], porteuse de grandeur, à la race [[:wikt:brachycéphale|brachycéphale]], « inerte et médiocre ». Classant et hiérarchisant les [[race humaine|races humaines]], il détermine plusieurs types en Europe :
* l’''Homo europeus'', grand blond (anglo-saxon ou nordique), [[protestantisme|protestant]], dominateur et créateur ;
* l’''Homo alpinus'', représenté par l'[[Auvergne|Auvergnat]] et le [[peuples turcs|Turc]], « parfait esclave craignant le progrès » ;
* l’''Homo contractus'', ou méditerranéen, enfin, incarné par le [[Naples|Napolitain]] et l'[[Andalousie|Andalou]], appartenant aux races inférieures&lt;ref&gt;Alain Policar, professeur de l'[[université de Limoges]], [http://classiques.uqac.ca/contemporains/policar_alain/bougle_et_metaphysique_heredite/bougle_metaphysique_heredite.pdf « Science et démocratie : Célestin Bouglé et la métaphysique de l’hérédité »], 1999, p. 8.&lt;/ref&gt;.

La typologie raciale de Lapouge étant de nature zoologique, il propose, pour désigner une communauté constituée d’éléments de races différences mais partageant une même culture, d'employer le terme « [[ethnie]] »&lt;ref&gt;Alain Policar, professeur de l'[[université de Limoges]], [http://classiques.uqac.ca/contemporains/policar_alain/bougle_et_metaphysique_heredite/bougle_metaphysique_heredite.pdf « Science et démocratie : Célestin Bouglé et la métaphysique de l’hérédité »], 1999, p. 9.&lt;/ref&gt;, mot qu'il est, selon André Béjin, le premier à utiliser&lt;ref&gt;André Béjin, « Le Sang, le sens et le travail : Georges Vacher de Lapouge darwiniste social, fondateur de l’anthroposociologie », ''Cahiers internationaux de Sociologie'', volume LXXIII, 1982, p. 325-343.&lt;/ref&gt;. Ainsi, à ses yeux, les Juifs ne sont pas une race mais une « nationalité »&lt;ref&gt;Georges Vacher de Lapouge, ''Les Sélections sociales'', Paris, Albert Fontemoing, 1896, p. 139.&lt;/ref&gt; ou une « race ethnographique »&lt;ref&gt;Georges Vacher de Lapouge, ''L’Aryen. Son rôle social'', Paris, Albert Fontemoing, 1899, p. 465.&lt;/ref&gt;.

Convaincu comme [[Arthur de Gobineau|Gobineau]] de l'importance du facteur racial dans l'évolution d'une civilisation, il insiste sur l'infériorité physiologique et psychologique des métis et le risque d'extinction de la race représenté par le métissage, mais il précise que le phénomène de l'hérédité est « compliqué par le jeu simultané de la sélection dont Gobineau n’avait point idée. D’une manière fort active, celle-ci intervient sous d’innombrables formes pour éliminer la race des vainqueurs et bientôt même des métis »&lt;ref&gt;Georges Vacher de Lapouge, « Lois de la vie et de la mort des nations », ''Revue internationale de sociologie'', n° 6, juin 1894, p. 425.&lt;/ref&gt;.

Il a également introduit dans la langue française, en 1886, le terme « eugénique », comme traduction du substantif anglais « eugenics » proposé trois ans plus tôt par [[Francis Galton]]&lt;ref&gt;Voir Georges Vacher de Lapouge, « L’Hérédité », ''Revue d’anthropologie'', 3{{e}} série, tome I, 1886, p. 515, et Francis Galton, ''Inquiries into Human Faculty and its Development'', Londres, Mac Millan, 1883.&lt;/ref&gt;.

Opposé comme Darwin au bellicisme, Lapouge considère que, si la guerre est un facteur de sélection « chez les peuples peu civilisés », les plus faibles succombant les premiers, au contraire, dans les guerres modernes, « la chance d’être éliminé par une mort prématurée n’est encourue que par les individus les plus sains, les plus aptes »&lt;ref&gt;Georges Vacher de Lapouge, &quot;Les sélections sociales&quot;, Revue d’anthropologie, 16e année, 3e série, 1887, p. 523-525&lt;/ref&gt;. Prévoyant les guerres futures, dans un monde où « les nations deviennent colossales et l’univers trop petit », il considère que le militarisme des nations européennes de la fin du dix-neuvième siècle compromet l'avenir du continent au profit de l'Amérique et de l'Extrême-Orient&lt;ref&gt;André Bejin, [http://www.stratisc.org/strat_056_BJIN.html « Guerre et sélection d'Ernst Haeckel à Corrado Gini »]&lt;/ref&gt;.

Pour [[Pierre-André Taguieff]], « racialiste et raciste, il est résolumment et conséquemment anti-nationaliste ; eugéniste, il n'est ni nataliste ni néo-malthusien », « partisan enthousiaste de l'amélioration indéfinie de l'espèce humaine, il ne croit qu'à la toute-puissance de l'hérédité, place tous ses espoirs dans les pouvoirs régénérateurs de la sélection volontaire des procréateurs, et dénonce les illusions de ceux qui font confiance à l'éducation et à l'action du milieu social pour &quot;perfectionner&quot; ou remodeler l'homme; matérialiste et scientiste, il ne croit pas au dogme du Progrès et se classe plutôt parmi les prophètes de la décadence fatale et finale&lt;ref&gt;Pierre-André Taguieff, « [http://www.persee.fr/showPage.do;jsessionid=C33CE42EADDB1E38BDE5341E5AA8637A.vesta?urn=mcm_1146-1225_2000_num_18_1_1219 Sélectionnisme et socialisme dans une perspective aryaniste. Théories, visions et prévisions de Georges Vacher de Lapouge (1854-1936)] », ''Mil neuf cent, revue d'histoire intellectuelle'', n° 18 « Eugénisme et socialisme », 2000, p. 7-8.&lt;/ref&gt;. »

Il est par ailleurs l'auteur de ''Les Sélections sociales'', sous-titré « cours libre de science politique, professé à l'Université de Montpellier (1888-1889) ». Un autre ouvrage, ''Le Sémite, son rôle social'', reprenant le cours de 1890-1891, n'a jamais été jamais publié, non plus que ''Contre la morale'' et ''La plus grande conscience'', dont les manuscrits ont disparu.

== Å’uvres ==
* ''Essais de droit positif généralisé. Théorie du patrimoine'', Paris, E. Thorin, 1879, 129 p.
* ''Études sur la nature et sur l'évolution historique du droit de succession. Étude première. Théorie biologique du droit de succession'', Paris, E. Thorin, 1885, 42 p.
* ''Les Sélections sociales, cours libre de science politique professé à l'Université de Montpellier, 1888-1889'', Paris, A. Fontemoing, 1896, 503 p.
* ''L'Aryen, son rôle social, cours libre de science politique, professé à l'Université de Montpellier (1889-1890)'', Paris, A. Fontemoing, 1899, 569 pages.
* ''Race et milieu social : essais d'anthroposociologie'', Paris, M. Rivière, 1909, 396 p. 

== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===
* [[Pierre-André Taguieff]], ''La Couleur et le sang'', Paris, Mille et une nuits, 2002.
* Frédéric Monneyron, ''L'Imaginaire racial'', Paris, L'Harmattan, 2004
* Jean-Marie Augustin, « Georges Vacher de Lapouge (1854-1936) aux origines de l'eugénisme », ''Revue générale de droit médical'', n° 21, décembre 2006, p. 109-132.

=== Liens internes ===

* [[Hérédité]]
* [[Eugénisme]]
* [[Racisme]]
* [[Arthur de Gobineau]]
* [[Gustave Le Bon]]
* [[Jules Soury]]
* [[Jean Rostand]]

===Liens externes===

* [http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&amp;cpsidt=13473405 L'Anthropologie de Georges Vacher de Lapouge: Race, classe et eugénisme ]
* [http://www.stratisc.org/PN5_BJIN.html Position géographique, race et puissance maritime chez Gobineau et Vacher de Lapouge]
* [http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article300 Les débuts du racisme pseudo-scientifique]

==Sources==
*Pierre-André Taguieff, « [http://www.persee.fr/showPage.do;jsessionid=C33CE42EADDB1E38BDE5341E5AA8637A.vesta?urn=mcm_1146-1225_2000_num_18_1_1219 Sélectionnisme et socialisme dans une perspective aryaniste. Théories, visions et prévisions de Georges Vacher de Lapouge (1854-1936)] », ''Mil neuf cent, revue d'histoire intellectuelle'', n° 18 « Eugénisme et socialisme », 2000, p. 7-51
*Alain Policar, professeur de l'[[université de Limoges]], [http://classiques.uqac.ca/contemporains/policar_alain/bougle_et_metaphysique_heredite/bougle_metaphysique_heredite.pdf « Science et démocratie : Célestin Bouglé et la métaphysique de l’hérédité »], 1999

==Notes et références==
&lt;references /&gt;

{{Portail|sociologie|France|Poitou-Charentes}}

{{DEFAULTSORT:Vacher de Lapouge, Georges}}

[[Catégorie:Anthropologue français]]
[[Catégorie:Eugénisme]]
[[Catégorie:Racisme]]
[[Catégorie:Antisémitisme]]
[[Catégorie:Personnalité du Parti ouvrier français]]
[[Catégorie:Personnalité de la SFIO]]
[[Catégorie:Naissance en 1854]]
[[Catégorie:Décès en 1936]]

[[en:Georges Vacher de Lapouge]]
[[pl:Georges Vacher de Lapouge]]
[[pt:Georges Vacher de Lapouge]]
[[sk:Georges Vacher de Lapouge]]
[[sv:Georges Vacher de Lapouge]]</text>
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