Jean-Baptiste Lully
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2008-07-24T04:12:29Z
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/* Biographie */
{{redirect|Lully}}
{{Infobox Musique (artiste)
| charte = classique
| nom = Jean-Baptiste Lully
| nom naissance = Giovanni Battista Lulli
| nom alias =
| image = [[Image:Jean-Baptiste Lully.jpeg|250px]]
| légende =
| naissance = [[28 novembre]] [[1632]] <br/>[[Florence]], [[Italie]]
| décès = [[22 mars]] [[1687]] (à 55 ans)
| décès lieu = [[Paris]], [[France]]
| années actives =
| genre = [[Musique classique]]
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| type voix =
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| ex membres =
| profession = [[Compositeur]]
}}
'''Jean Baptiste Lully''', né '''Giovanni Battista Lulli''' à [[Florence]] le [[28 novembre]] [[1632 en musique classique|1632]]<ref>PRUNIÈRE, Henry, LULLY: Biographie Critique Illustrée de douze planches hors texte, Les Musiciens Célèbres, Librairie Renouard, édition Henri Laurens, Paris </ref> et mort à [[Paris]] le [[22 mars]] [[1687 en musique classique|1687]], est un compositeur [[France|français]] d'origine [[Italie|italienne]], surintendant de la Musique de [[Louis XIV]].
Par ses dons de musicien et d'organisateur aussi bien que de courtisan et d'intriguant, Lully domina toute la vie musicale en France à l'époque du [[Roi-Soleil]]. Il fut à l'origine de plusieurs formes qu'il organisa ou conçut : la [[tragédie lyrique]], le grand [[motet]], l'[[Ouverture à la française|ouverture à la française]]. Son influence sur toute la musique européenne de son époque fut grande, et nombreux parmi les plus doués ([[Henry Purcell]], [[Georg Friedrich Haendel]], [[Johann Sebastian Bach]], [[Jean-Philippe Rameau]]) lui sont redevables à un titre ou un autre.
==Biographie==
Fils de Lorenzo di Maldo Lulli et de Catarina del Sera, dans une famille de meuniers toscans, il est remarqué vers [[1645]] par [[Roger de Lorraine]] (1624-1653), [[chevalier de Malte]] et [[duc de Guise]]. Arrivé en France l'année suivante<ref>''The New Grove baroque masters'' (1986) page 1</ref>, il entra comme garçon de chambre au service de [[Anne Marie Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier|la Duchesse de Montpensier (la Grande Mademoiselle)]], qui désirait parfaire ses connaissances de la langue italienne.
À l'âge de treize ans, manifestant de sérieuses dispositions pour la musique, il apprit le [[violon]], la [[guitare]], le [[clavecin]], se montra excellent [[danseur]] et rejoignit la ''Grande Bande des Violons du Roi'', composée de 24 instruments. En [[1653]], Lully dansa avec le roi dans le ''Ballet de la Nuit''.
Il obtint rapidement la direction d'un nouveau groupement : ''La Bande des Petits Violons''.
Parfait [[courtisan]] et homme d'affaires habile, il devint vite le premier compositeur de la cour, et ses airs et ballets consacrèrent sa réputation. Appuyé par [[Louis XIV]], il devint compositeur de la chambre, puis surintendant de la musique royale.
Naturalisé français en [[1661]], il épousa quelques mois plus tard Madeleine Lambert, dont le père, [[Michel Lambert]], dirigeait la musique chez [[Anne Marie Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier|Mademoiselle de Montpensier]]. Ils eurent six enfants, dont trois fils qui furent musiciens à leur tour ([[Louis Lully|Louis]], [[Jean-Baptiste Lully fils|Jean-Baptiste II]] et [[Jean-Louis Lully|Jean-Louis]]) et trois filles dont l'aînée, Catherine-Madeleine, épouse en 1684 [[Jean-Nicolas de Francine]], qui succédera à Lully à la tête de l'[[Académie royale de musique]].
À partir de [[1664]], Lully travailla régulièrement avec [[Molière]] (qui le surnommait « le paillard »), créant le genre de la [[comédie-ballet]], sans cependant renoncer aux [[ballet de cour|ballets de cour]]. Les pièces de ce dernier sont alors une combinaison de comédie, de ballet et de chant : ''[[L'Amour médecin]]'' en [[1665]], la ''Pastorale comique'' en [[1667]], ''[[George Dandin]]'' en [[1668]], ''[[Monsieur de Pourceaugnac]]'' en [[1669]], ''[[Le Bourgeois gentilhomme]]'' et sa turquerie. Mais en [[1671]] les deux hommes se fâchèrent et devinrent les pires ennemis.
En [[1672]], Lully acheta à [[Pierre Perrin (poète)|Perrin]] le privilège de l'[[Académie royale de musique]]<ref>Jean Gourret, ''[[Référence:Ces hommes qui ont fait l'Opéra|Ces hommes qui ont fait l'Opéra]]'', 1984, p. 26. </ref>. Comblé d'honneurs et de richesses, il composa alors approximativement une [[tragédie lyrique|tragédie en musique]] par an, éclipsant par la faveur dont il jouissait auprès du roi, tous les compositeurs dramatiques de son époque : [[Marc-Antoine Charpentier]], [[André Campra]], [[Louis-Nicolas Clérambault]]. Son [[librettiste]] favori était [[Philippe Quinault]].
En [[1681]], Lully atteignit l'apogée de sa carrière en devenant [[secrétaire du roi]].
Bien qu'il ait eu six enfants, il était connu et décrié par ses ennemis pour ses mœurs sodomites. Louis XIV avait en horreur ce qu'on nommait alors les « mœurs italiennes ». Aussi quand en [[1685]], les relations de Lully avec Brunet, un jeune page de la Chapelle, firent scandale, Lully perdit quelque peu de son crédit auprès du roi qui n'assista pas aux représentations de son dernier opéra, ''[[Armide (Lully)|Armide]]'', en 1686. Lully composa sa dernière œuvre complète, ''[[Acis et Galatée]]'', pastorale en forme d'opéra, pour la cour plus volage du [[Louis de France (1661-1711)|Grand Dauphin]], fils de Louis XIV.
La cause de sa mort fut particulière puisqu'elle intervînt lors d'une répétition avec ses musiciens du ''Te Deum'' qu'il devait jouer pour la guérison du roi. En effet, n'arrivant pas à obtenir ce qu'il voulait d'eux, Lully, d'un tempérament explosif, s'emporta et se frappa violemment le pied avec son « bâton de direction », une longue et lourde tige de fer dont on se servait à l'époque pour battre la mesure en la frappant au sol. La blessure s'infecta et Lully mourut quelques temps tard de la [[gangrène]] à Paris en [[1687]].
C'est principalement pour sa contribution à la musique religieuse et à la musique de scène que Lully nous est connu. Il restera dans l'histoire comme le véritable créateur de l'opéra français. Il composa 14 tragédies lyriques dont les plus belles sont peut-être ''[[Thésée (Lully)|Thésée]]'' (1675), ''[[Atys (Lully)|Atys]]'' (1676), ''[[Phaéton (Lully)|Phaéton]]'' (1683) et son chef-d'œuvre ''[[Armide (Lully)|Armide]]'' (1686). À l'aise aussi bien à l'église qu'au théâtre, il est l'auteur de plus de 20 grands [[motet]]s, dont le fameux ''[[Te Deum]]'' de 1677, ainsi que de 11 petits motets d'un style plus italianisant.
[[Image:Jean-Baptiste Lully by Antoine Coysevox.jpg|thumb|right|Buste par [[Antoine Coysevox]] sur la tombe de Lully à la [[basilique Notre-Dame-des-Victoires]] de Paris.]]
Admiré par les musiciens de son temps, il fut joué sans discontinuer jusqu'à la [[Révolution française|Révolution]] de 1789, et son influence fut immense en France sur ses compatriotes comme [[François Couperin]], [[Marin Marais]], [[Michel-Richard Delalande]], [[Jean-Philippe Rameau]], mais aussi dans l'Europe entière. Les gardiens de sa tradition alimentèrent en 1733 ce que l'on appela la
''[[Querelle des Lullystes et des Ramistes]]''. Certains de ses élèves contribuèrent au rayonnement de son style en dehors de la France: dans les pays germanique [[Georg Muffat]] (qui a d'ailleurs décrit dans les préfaces de ses éditions les pratiques de Lully pour l'instrumentation, l'ornementation, les coups d'archets et la discipline de l'orchestre), [[Johann Sigismund Kusser]] (qui portait en France le nom de Cousser), [[Johann Caspar Ferdinand Fischer]] et les italiens Vincenzo Albrici et [[Agostino Steffani]].
==Sa musique==
Lorsque Lully dressa son orchestre, il en fit le premier de l’Europe pour la discipline et le rythme. Il fit travailler lui-même les [[chanteur]]s, les [[danseur]]s, et régla tout dans son théâtre jusqu’au plus petit détail.
Cette volonté organisatrice se manifeste également dans son œuvre. Le musicien qu’est Lully nous apparaît surtout comme une intelligence très ferme : il suit un système de composition très étroitement défini, se laisse peu de liberté dans l’inspiration et donne une part restreinte au sentiment.
[[Jean-Laurent Le Cerf de La Viéville|Le Cerf de La Viéville]] nous dit que Lully « allait se former sur les tons de [[Marie Champmeslé|la Champmeslé]] ». Son souci principal est, en effet, d’imiter autant que possible dans son chant la déclamation des grands acteurs du {{XVIIe siècle}}, qui s’appliquaient surtout à respecter scrupuleusement la [[prosodie]]. Aussi Lully a-t-il soin, non seulement de placer toujours une note longue sur une syllabe accentuée, une note courte sur une syllabe non accentuée, mais encore de marquer un arrêt à la [[césure]] et à la [[rime]].
L’expression du sentiment est souvent faible chez Lully. Les plus heureux effets à ce point de vue sont tirés de la notation attentive des accents passionnés du discours, non de l’invention d’une ligne mélodique émouvante par elle-même. Mais dans les moments les plus pathétiques, son chant se contente souvent d’être gracieux, et surtout noble et symétrique. Ici les traditions du [[ballet]] exercent une influence sur sa musique : les formes carrées et nettement rythmées de la danse se retrouvent partout dans ses airs.
Mais où Lully excelle, c’est dans la [[musique descriptive]] : et c’est encore le fait d’un artiste plutôt intellectuel. Son ''air du sommeil'' dans ''[[Armide (Lully)|Armide]]'' (« ''Plus j'observe ces lieux'' »), par exemple, est un chef-d’œuvre. Cependant Lully n’est pas coloriste : il n’a que le dessin. Il ne s’intéresse pas au détail de l’harmonisation et de l’orchestration.
La partie de chant une fois trouvée, le reste n’est que du remplissage ; il écrit la basse et la fait réaliser par ses élèves.
Par l’établissement de ce système, Lully a joué un rôle considérable dans l’histoire de la musique instrumentale. C’est de lui que date, on peut le dire, l’orchestre moderne, avec son équilibre bien établi de sonorités, avec le quintette des instruments à cordes pour centre de gravité (Lully écrivait à cinq parties d’instruments).
==Catalogue==
Le [[Catalogue thématique|catalogue]] des œuvres de Lully a été réalisé par Herbert Schneider<ref>Chronologisch-Thematisches Verzeichnis sämtlicher Werke von Jean-Baptiste LULLY - Editions Hans Schneider - Tutzing - 1981 disponible à la Bibliothèque Nationale de Strasbourg</ref>. Les œuvres, classées de manière chronologique, sont désignées par les lettres LWV (Lully-Werke-Verzeichnis) suivit du numéro correspondant (de 1 à 80). La tragédie lyrique ''[[Armide (Lully)|Armide]]'' est ainsi désignée par LWV 71.
==Les tragédies lyriques==
{| class="wikitable"
|- {{ligne orange}}
|colspan="5" align="left"|<center>'''LISTE DES TRAGÉDIES LYRIQUES DE JEAN-BAPTISTE LULLY par ordre chronologique'''<center\>
|- bgcolor="#DFDFDF"
!LWV
!Titre
!Livret
!Première (date)
!Première (lieu)'''
|-
|49
|[[Cadmus et Hermione]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[27 avril]] [[1673]]
|[[Paris]], [[jeu de paume]] de [[Bel-Air (quartier parisien)|Bel-Air]]
|-{{ligne grise}}
|50
|[[Alceste, ou le Triomphe d'Alcide|Alceste ou le triomphe d'Alcide]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[19 janvier]] [[1674]]
|[[Paris]], [[jeu de paume]] de [[Bel-Air (quartier parisien)|Bel-Air]]
|-
|51
|[[Thésée (opéra)|Thésée]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[11 janvier]] [[1675]]
|[[Saint-Germain-en-Laye]]
|-{{ligne grise}}
|53
|[[Atys (opéra)|Atys]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[10 janvier]] [[1676]]
|[[Saint-Germain-en-Laye]]
|-
|54
|[[Isis (opéra)|Isis]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[5 janvier]] [[1677]]
|[[Saint-Germain-en-Laye]]
|-{{ligne grise}}
|56
|[[Psyché (opéra)|Psyché]]
|[[Thomas Corneille]] et [[Bernard Le Bouyer de Fontenelle]]
|[[19 avril]] [[1678]]
|[[Saint-Germain-en-Laye]]
|-
|57
|[[Bellérophon (opéra)|Bellérophon]]
|[[Thomas Corneille]] et [[Bernard Le Bouyer de Fontenelle]]
|[[31 janvier]] [[1679]]
|[[Paris]], [[Académie royale de musique]], [[théâtre du Palais-Royal]]
|-{{ligne grise}}
|58
|[[Proserpine (Lully)|Proserpine]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[3 février]] [[1680]]
|[[Saint-Germain-en-Laye]]
|-
|60
|[[Persée (opéra)|Persée]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[17 avril]] [[1682]]
|[[Paris]], [[Académie royale de musique]], [[théâtre du Palais-Royal]]
|-{{ligne grise}}
|61
|[[Phaéton (opéra)|Phaëton]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[6 janvier]] [[1683]]
|[[Versailles]], palais royal
|-
|63
|[[Amadis (opéra)|Amadis]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[18 janvier]] [[1684]]
|[[Paris]], [[Académie royale de musique]], [[théâtre du Palais-Royal]]
|-
|65
|[[Roland (opéra)|Roland]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[8 janvier]] [[1685]]
|[[Versailles]]
|-{{ligne grise}}
|71
|[[Armide (Lully)|Armide]]
|[[Philippe Quinault]]
|[[15 février]] [[1686]]
|[[Paris]], [[Académie royale de musique]], [[théâtre du Palais-Royal]]
|-
|74
|[[Achille et Polyxène (opéra)|Achille et Polyxène]]<ref>Lully composa l'ouverture et le premier acte, mais mourut avant de pouvoir achever le reste de la partition. [[Pascal Colasse]], son élève, composa le prologue et les actes manquants.</ref>
|[[Jean Galbert de Campistron]]
|[[7 novembre]] [[1687]]
|[[Paris]], [[Académie royale de musique]], [[théâtre du Palais-Royal]]
|}
== Discographie ==
* ''[[Alceste (Lully)|Alceste]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Jean-Claude Malgoire]] et La Grande Écurie et la Chambre du Roi, 3 CD, [[1994]].
* ''[[Amadis de Gaule|Amadis]]'', tragédie lyrique en cinq actes et prologue, [[Hugo Reyne]] et la Symphonie du Marais, [[Accord]], 3 CD, [[2006]].
* ''[[Armide (Lully)|Armide]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Philippe Herreweghe]], [[Harmonia Mundi]], 2 CD, [[1993]].
* ''[[Atys (Lully)|Atys]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[William Lincoln Christie|William Christie]] et [[Les Arts Florissants]], [[Harmonia Mundi]], 3 CD, [[1987]].
* ''[[Isis (opéra)|Isis]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Hugo Reyne]] et la Symphonie du Marais, Accord, 3 CD, [[2005]].
* ''[[Persée (Lully)|Persée]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Christophe Rousset]] et [[Les Talens Lyriques]], [[Naïve Records]], 3 CD, [[2001]].
* ''[[Phaéton (Lully)|Phaéton]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Marc Minkowski]] et [[Les Musiciens du Louvre]], Erato, 2 CD, [[1994]].
* ''[[Proserpine (opéra)|Proserpine]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Hervé Niquet]] et [[Le Concert spirituel]], [[Glossa]], 2 CD [[2007]].
* ''[[Psyché (opéra)|Psyché]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Paul O'Dette]], [[Stephen Stubbs]] et le [[Boston Early Music Festival]], CPO, 3 CD, [[2008]].
* ''[[Roland (opéra)|Roland]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Christophe Rousset]] et [[Les Talens Lyriques]], [[Naïve Records]], 3 CD, [[2006]].
* ''[[Thésée (opéra)|Thésée]]'', tragédie lyrique en cinq actes, [[Paul O'Dette]], [[Stephen Stubbs]] et le [[Boston Early Music Festival]], CPO, 3 CD, [[2007]].
* ''[[Acis et Galatée (Lully)|Acis et Galatée]]'', pastorale héroïque en trois actes, [[Marc Minkowski]] et [[Les Musiciens du Louvre]], DG, 2 CD, [[1996]].
* ''11 Petits Motets'', [[William Lincoln Christie|William Christie]] et [[Les Arts Florissants]], [[Harmonia Mundi]], 1 CD, [[1987]].
*''[[Le Bourgeois gentilhomme]]'', comédie ballet, [[Vincent Dumestre]], [[Le Poème Harmonique]], 2 DVD (Alpha Productions) [[2004]].
* ''Grands motets, vol. 1'', [[Hervé Niquet]] et [[Le Concert Spirituel]], [[Naxos (label)|Naxos]], 1 CD, [[1999]].
* ''Grands motets, vol. 2'', [[Hervé Niquet]] et [[Le Concert Spirituel]], [[Naxos (label)|Naxos]], 1 CD, [[1999]].
* ''Grands motets, vol. 3'', [[Hervé Niquet]] et [[Le Concert Spirituel]], [[Naxos (label)|Naxos]], 1 CD, [[2000]].
* ''Te Deum et Miserere'', [[Jean-François Paillard]], Erato, 1 CD, [[1976]].
==Bibliographie==
* Jérôme de La Gorce, ''Jean-Baptiste Lully'' - Fayard
== Au cinéma et dans la littérature ==
;Biographies
* Philippe Beaussant, ''Lully ou le musicien du soleil'', Paris, [[Gallimard]], 1992.
* Manuel Couvreur, ''Jean-Baptiste Lully : musique et dramaturgie au service du Prince'', Michel Vokar, 1992.
* Jérôme de La Gorce, ''Jean-Baptiste Lully'', Fayard, 2002.
* Vincent Borel, ''Baptiste'', roman, Sabine Wespieser éditeur, 2002.
;Films
* ''[[Molière (film, 1978)|Molière]]'', film d'[[Ariane Mnouchkine]] (1978) : Mario Gonzáles est Lully ;
* ''[[Le Roi danse]]'', film de [[Gérard Corbiau]] (2000) : [[Boris Terral]] est Lully face à [[Benoît Magimel]] (Louis XIV) ;
==Media==
{{Audio|LULLY Choeur des divinités de la terre et les eaux.mid|''Chœur des divinités de la terre et des eaux'', de ''Psyché'' (1678) - fichier midi}}
==Notes==
<references />
== Liens externes ==
{{commons|Jean-Baptiste Lully}}
* [http://cesar.org.uk/cesar2/people/people.php?fct=edit&person_UOID=175930 Ses œuvres et leurs représentations] sur le site [http://cesar.org.uk CÉSAR]
* [http://sites.estvideo.net/arp/catalogue.htm Catalogue complet des œuvres de Lully]
* [http://sitelully.free.fr Jean-Baptiste Lully]
* [http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2006/01/16_janvier_1987.html 16 janvier 1987 : création d'''Atys'' à l’Opéra-Comique de Paris]
* [http://www.musicologie.org/Biographies/lully.html musicologie.org] Notice biographique, catalogue des œuvres, partitions, bibliographie; discographie
* [http://icking-music-archive.org/ByComposer/Lully.php Partitions musicales gratuites disponibles sur WIMA]
* [http://sites.estvideo.net/arp/index.htm Partitions gratuites]
* {{IMSLP|id=Lully,_Jean-Baptiste|cname=Jean-Baptiste Lully}}
{{Début dynastie}}
{{Insérer dynastie
|couleur1=#F0D040
|couleur3=#F0D040
|nom=directeur de l'[[Opéra national de Paris|Académie royale de musique]]
|avant=[[Pierre Perrin (poète)|Pierre Perrin]] <br> et [[Robert Cambert]]
|après=[[Nicolas de Francine]]
|période=1672-1687}}
{{Fin dynastie}}
{{Portail|Opéra|musique classique|FGS}}
{{Lien BA|de}}
{{DEFAULTSORT:Lully, Jean-Baptiste}}
[[Catégorie:Compositeur baroque]]
[[Catégorie:Compositeur d'opéra]]
[[Catégorie:Compositeur français]]
[[Catégorie:Compositeur de ballet]]
[[Catégorie:Œuvre de Lully|*]]
[[Catégorie:Personnalité du XVIIe siècle]]
[[Catégorie:Molière]]
[[Catégorie:Naissance en 1632]]
[[Catégorie:Décès en 1687]]
[[ar:جون باتيست لولي]]
[[bg:Жан-Батист Люли]]
[[br:Jean-Baptiste Lully]]
[[ca:Jean-Baptiste Lully]]
[[ceb:Lully]]
[[cs:Jean-Baptist Lully]]
[[da:Jean-Baptiste Lully]]
[[de:Jean-Baptiste Lully]]
[[en:Jean-Baptiste Lully]]
[[eo:Jean-Baptiste Lully]]
[[es:Jean-Baptiste Lully]]
[[fi:Jean-Baptiste Lully]]
[[he:ז'אן-בטיסט לולי]]
[[hr:Jean-Baptiste Lully]]
[[hu:Jean-Baptiste Lully]]
[[is:Jean-Baptiste Lully]]
[[it:Jean-Baptiste Lully]]
[[ja:ジャン=バティスト・リュリ]]
[[ko:장 바티스트 륄리]]
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[[no:Jean-Baptiste Lully]]
[[oc:Jean-Baptiste Lully]]
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[[pt:Jean-Baptiste Lully]]
[[ro:Jean-Baptiste Lully]]
[[ru:Люлли, Жан Батист]]
[[sh:Jean-Baptiste Lully]]
[[sl:Jean-Baptiste Lully]]
[[sv:Jean-Baptiste Lully]]
[[th:ฌอง-แบ๊ปติสต์ ลุลลี่]]
[[zh:让-巴普蒂斯特·吕利]]