La France en action
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2008-06-05T18:18:54Z
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/* Têtes de liste de La France d'en bas en 2004 */
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'''La France en action''' (anciennement La France d'en bas) est un mouvement politique français créé en avril 2004 par [[Jean-Marc Governatori]], ancien chef d'entreprise [[Nice|niçois]], président de la Fédération "Agissons" (humanitaire et écologique).
Le mouvement obtint {{formatnum:266534}} suffrages aux élections européennes de juin 2004{{référence nécessaire}}.
Le mouvement comprend un bureau politique de 9 personnes, 100 délégations départementales et un Conseil National de 600 personnes. 10 % de ces personnes sont des handicapés physiques{{référence nécessaire}}.
La France en action se définit au-delà du clivage gauche-droite et pratique la non-appartenance . Ses axes prioritaires sont la protection de la [[biodiversité]], des animaux et de tous les [[écosystème]]s, la promotion d'une agriculture et d'une [[aliment biologique|alimentation bio]], des [[énergies renouvelables]], une nouvelle éducation , la liberté thérapeutique, l'acceptation de la [[médecine alternative]] au même titre que la médecine conventionnelle et l'égalité de remboursement des soins, une économie au service du vivant dégagée de l'obsession "croissantielle".
==Têtes de liste de La France d'en bas en 2004==
[[Jean-Marc Governatori]] était la tête de liste dans le Sud-Est.
L'ancienne P.-D.G. de la filiale française de [[Waterman (stylo)|Waterman]], [[Francine Gomez]], 71 ans, conduisait la liste de "La France d'en bas" dans le Sud-Ouest.
Le président des buralistes alsaciens Patrick Merck emmenait la liste dans l'Est et l'acteur [[Bernard Menez]] en Île-de-France.
Ludovic Rey-Robert, 39 ans, champion de ski paraplégique, était tête de liste dans l'Ouest ; Sylvie Fab, une militante écologiste de 25 ans, dans le Massif central-Centre et Jean-Paul Sueur, secrétaire général de l'Union pour la citoyenneté des handicapés, dans le Nord-Ouest.
Enfin, dans la circonscription Outre-mer, la liste de "La France d'en bas" était menée par Nadine Dabancens-Baillivet, une Guadeloupéenne de 45 ans qui milite pour la protection des animaux.
"La France d'en bas" est une association créée, en effet, en 2004, pour les élections régionales, à l'initiative d'un buraliste alsacien, Patrick Merck, ancien président de la chambre syndicale des buralistes du Bas-Rhin, en protestation contre la hausse du prix du tabac. L'association s'est alliée à Jean-Marc Governatori en 2004 pour se présenter aux élections européennes. En janvier 2005, la France d'en bas (au niveau national) est devenue La France en action. La France d'en bas continue d'exister, comme à ses débuts, en Alsace et sous l'égide de Patrick Merck. Leurs rapports sont trés bons.
Jean-Marc Governatori était candidat à l'[[élection présidentielle française de 2007]] mais n'a pas réussi à convaincre 500 maires de lui transmettre leurs signatures, mais il y a une polémique sur le fait qu'il ait obtenu ces signatures mais qu'elles n'aient pas été validées par le Conseil Constitutionnel{{référence nécessaire}}. [[Pierre Rabhi]] qui avait été pressenti pour représenter le mouvement avait décliné l'invitation{{référence nécessaire}}.
Huit petits candidats à cette élection ont rejoint Jean-Marc Governatori et fondé avec France en Action l'UCE (Union des Candidats Émergents). Parmi eux Christian Garino ([[Europe - Liberté]]), Alain Mourguy (Union Droite Gauche), Leila Bouachera, Yves Aubry, Daniel Lacroze-Marty (CESPRIMER), Robert Baud et Zakaria Ben Mlouka.
==Controverse==
Le 7 juin 2007, le député UMP [[Georges Fenech]], président de la commission d'enquête parlementaire sur les sectes et membre suppléant de la commission chargée de l'application de l'article 26 de la Constitution, affirme via l'AFP<ref>Dépêche d'agence, 07 juin 19:58 - PARIS (AFP)</ref>, sans toutefois y apporter la moindre preuve, que le parti est lié à des sectes comme la [[Scientologie]], le [[Mouvement raëlien]], [[Moon]] ou l'[[Ordre du temple solaire]] qui utiliseraient «le financement des partis politiques à l’occasion des élections» (en effet, les partis ayant au moins 1% des suffrages dans 50 circonscriptions recevront en moyenne 1,66 euro par voix). Jean-Marc Governatori a démenti formellement et compte «réclamer 10 millions d’euros par voie judiciaire»<ref>[http://www.lafranceenaction.com/legislatives/affaire_fenech/affaire_georges_fenech.htm M. Fenech, député UMP du Rhône, dénonce « les sectes » derrière les candidats de La France en Action<!-- Titre généré automatiquement -->]</ref>.
Aux Législatives du 10 juin 2007, la FEA a présenté 480 candidats et a recueilli à l'échelon national moins de 1% des voix{{référence nécessaire}}. Seuls 49 de ses candidats ont dépassé 1%, ce qui ne lui donne pas droit au financement public.
== Notes et références ==
<references />
==Voir aussi==
===Bibliographie===
* ''Vivre c'est possible'', Jean-Marc Governatori, éd. Le Courrier du Livre (2006)
* ''Santé Totale'', Emmanuel Ludot, éd. Le Courrier du Livre
*''Politique écologique = plein emploi'', Jean-Marc Governatori & Nathalie Calmé, éd. Jouvence
===Articles connexes===
* [[Décroissance]]
* [[Jean-Marc Governatori]]
===Liens externes===
*[http://www.lafranceenaction.com Site officiel]
*[http://actualite.aol.fr/france/politique/m-fenech-ump-denonce-la-presence-de-sectes-derriere-la-france-en-action-/452024/p-article_cat/article_scat/article_titre/article_id/article.html Plus d'informations sur la dépêche AFP du 7 juin 2007]
[[Catégorie :parti politique français]]