Louis-Sébastien Mercier 280758 31809286 2008-07-23T06:08:23Z Jaucourt 66339 synt. {{Voir homonymes|Mercier}} {{Infobox Écrivain | nom = Louis-Sébastien Mercier | image = [[Image:Louis-SebastienMercier.jpg|230px]] | LégendePhoto = | pseudonyme = | naissance = [[1740]], [[Paris]] | décès = [[1814]], [[Paris]] | Activité = [[Écrivain]], [[dramaturge]] et [[Journaliste|publiciste]] | Nationalité = {{France}} | genre = | sujet = | mouvement = | influences = | a influencé = | Site officiel = | oeuvres principales = ''[[L'An 2440, rêve s'il en fut jamais|l’An 2440]]'', ''Tableau de Paris'' | séries = | éditeurs = | récompenses = }} '''Louis-Sébastien Mercier''', né le {{date|6|juin|1740}} à [[Paris]] où il est mort le {{date|25|avril|1814}}, est un [[écrivain]], [[dramaturge]], [[Journaliste|publiciste]] [[France|français]] Auteur prolifique, l’un des hommes dont la vie littéraire a été la plus active, Louis-Sébastien Mercier, qui s’appelait lui-même {{Guil|le plus grand livrier de France}}, est surtout connu pour son ''Tableau de Paris'' et ''[[L'An 2440, rêve s'il en fut jamais|l’An 2440]]'', publiés avant la [[Révolution française|Révolution]]. Il est également l’auteur de cinquante pièces de théâtre et de nombreux essais critiques. Mercier est issu d’une famille de la petite bourgeoisie. Son père, originaire de [[Metz]], était fabricant d’épées et marchand. Vers [[1765]], son goût pour le théâtre et les romans, ainsi que son amitié avec [[Claude Crébillon|Crébillon fils]], le décidèrent à vivre de sa plume. Il publia d’abord des [[héroïde]]s qui n’eurent point de succès, ce qui contribua sans doute à lui faire entreprendre plus tard une campagne contre les ouvrages en [[vers]]. Il écrivit alors quelques essais critiques sur le milieu littéraire et des récits. Nommé professeur de [[rhétorique]] à [[Bordeaux]], il quitta cette place et revint à Paris, fit des romans et des traductions qui restèrent dans l’obscurité, et il ne commença a acquérir quelque réputation que par des [[Drame (théâtre)|drames]] imités en partie de l’[[anglais]] et de l’[[allemand]]. Le [[Comédie-Française|Théâtre-Français]] ayant ajourné la représentation d’une de ses pièces, intitulée ''Natalie'', il rédigea un factum, à la suite duquel ses entrées lui furent retirées. Il poursuivit alors les comédiens devant les tribunaux et, pour soutenir lui-même sa cause, se fit recevoir [[Avocat (métier)|avocat]]. Ses adversaires trouvant le moyen d’entraver la procédure, le procès n’aboutit pas et Mercier dut faire imprimer ses pièces qui furent alors pour la plupart jouées en province et avec succès ; elles revinrent ensuite au [[Théâtre-Italien]], où quelques-unes d’entre elles obtinrent une grande vogue. En [[1781 en littérature|1781]], Mercier commença la publication, sans nom d’auteur, des deux premiers volumes de son ''Tableau de Paris'', document irremplaçable et témoignage pittoresque sur les mœurs de l’époque. Quelques personnes ayant été inquiétées à ce sujet par la police, il alla se déclarer lui-même au lieutenant général [[Jean-Charles-Pierre Lenoir|Lenoir]], puis il se réfugia dans la [[Canton de Neuchâtel|principauté de Neuchâtel]] en [[Suisse]] où il séjourna, de crainte d’être poursuivi en justice, de [[1781]] à [[1785]]. Il y travailla à son ''Tableau'', dont les derniers volumes furent publiés en [[1788 en littérature|1788]], et qui comptèrent finalement plus de mille chapitres en douze volumes. Dans l’intervalle, il fit encore paraître plusieurs ouvrages dramatiques et politiques, entre autres ''Mon bonnet de nuit'', et ''Mon bonnet du matin'', ouvrages dirigés principalement contre la littérature ancienne et contre les [[Littérature française du XVIIe siècle|écrivains français du {{s-|XVII|e|}}]]. En [[1770 en littérature|1770]], la publication de l’[[uchronie]], ''[[L'An 2440, rêve s'il en fut jamais|l’An 2440]]'' ([[Amsterdam]], 1770, in-8°, [[1786 en littérature|1786]], 3 vol. in-8°), est la réalisation des utopies que rêvait l’imagination de Mercier en éducation, en morale et en politique. On reconnut de la verve dans cet ouvrage d’anticipation, mais on le traita de folie ; et cependant la [[Révolution française|Révolution]] vint bientôt réaliser plusieurs des prophéties de Mercier. Il publia ensuite de nombreuses pièces de théâtre, drames historiques ou bourgeois, dont quelques-unes eurent un certain succès, notamment provincial. Dès lors, ses essais se firent plus polémiques. Au commencement de la [[Révolution française|Révolution]], il reparut à Paris et collabora à plusieurs journaux, notamment aux ''[[Annales patriotiques]]'', destinées à propager les idées révolutionnaires, dont il fut, avec [[Jean-Louis Carra]], le fondateur. Bientôt, rompant avec les jacobins, il ne craignit pas de les attaquer dans la feuille girondine ''la Chronique du mois''. Élu d’abord en [[1789]], puis élu député du département de [[Seine-et-Oise]] à la [[Convention nationale|Convention]] en [[1792]], il siégea parmi les modérés et vota en faveur de la détention de [[Louis XVI de France|Louis XVI]], pour le sursis et contre l’appel au peuple. Plus tard Robespierre ayant comparé ses collègues aux Romains, Mercier interrompit en criant : « Non, vous n’êtes pas des Romains, vous êtes l’ignorance personnifiée ! » Une autre fois, en combattant la proposition qui avait été faite à l’assemblée de ne point traiter avec l’étranger tant qu’il aurait le pied sur le sol français, Mercier demanda à ses collègues : « Avez-vous fait un pacte avec la victoire ? » [[Bazire]] répondit : » Nous en avons fait un avec la mort. » Après le triomphe de la [[Montagne]], Mercier protesta contre l’arrestation des [[Gironde (Révolution française)|Girondins]] et fut du nombre de ceux qui signèrent une protestation contre les actes de la journée du [[31 mai]] [[1793]]. Cette prise de position lui valut d’être arrêté et incarcéré, avec soixante-douze de ses collègues, plus d’un an. Rendu à la liberté par le [[9 Thermidor]], il reprit sa place dans l’assemblée. In [[1795]], il passa comme député du [[département du Nord]] au [[Conseil des Cinq-Cents]], et où il s’opposa au décret qui décernait les honneurs du [[Panthéon]] à [[René Descartes|Descartes]], qu’il accusait d’erreurs et dont il avait pourtant publié un éloge dans sa jeunesse. Il s’emporta aussi contre [[Voltaire]], qu’il accusa d’avoir détruit la morale. Enfin, dans une autre occasion, il fit le procès à la philosophie et s’éleva contre la diffusion de l’instruction dans les masses, ce qui lui valut le surnom de « singe de Jean-Jacques ». À partir de [[1798]], il se tint à l’écart de la politique. Ces contradictions ne furent pas les seules de Mercier : alors qu’il avait écrit contre la loterie, lorsqu’elle fut rétablie, il accepta, en [[1797]], une place de contrôleur de cette administration. Il s’en tira par un mot spirituel : « Depuis quand, dit-il, n’est-il plus permis de vivre aux dépens de l’ennemi ? » Il avait également écrit des diatribes contre les cercles et les académies et n’en devint pas moins membre de la seconde classe de l’[[Institut de France|Institut]] (Sciences morales et politiques) lors de sa création. « Placé plus haut, disait-il, j’y vois mieux. » Lors de la réorganisation de l’Institut, en [[1803]], il fut placé dans la [[Académie des inscriptions et belles-lettres|classe d’histoire et de littérature ancienne]]. Il disait que le premier consul l’y avait déporté. En sortant du Conseil des Cinq Cents, le [[20 mai]] [[1797]], il fut nommé professeur d’histoire aux [[École centrale (Révolution française)|écoles centrales]]. Il s’y occupa surtout de littérature et se plut à reproduire toutes les attaques qu’il avait dirigées autrefois contre les classiques. [[Locke]], [[Condillac]] et leurs disciples devinrent aussi le sujet de ses attaques, appelant les ''idéologues'' les ''idiots rogues'' ou les ''idiologues''. Les découvertes physiques ne lui inspiraient pas plus de respect : il attaqua même le système astronomique de [[Nicolas Copernic|Copernic]] et de [[Isaac Newton|Newton]], prétendant que la Terre est ronde et plate et que le Soleil tourne autour de ce plateau comme un cheval de manège. Il dénigra aussi les arts, appelant les statues des poupées de marbre. Il aurait voulu supprimer jusqu’au nom des [[Raphaël (peintre)|Raphaël]], des [[Corrège]], des [[Titien]], dont les œuvres, prétendait-il, avaient été si pernicieuses pour les mœurs. Il attaqua, pour comble de paradoxe, le rossignol, à qui il dit : « Tais-toi, vilaine bête » et exalta la grenouille. Il sе mêla aussi de [[physiognomonie]], et comme jaloux de la gloire de [[Lavater]], il prétendait tout simplement que l’on pouvait arriver à la connaissance de l’homme par la seule inspection des pieds. Il avait imaginé une bibliothèque française, où il plaçait [[Jean-François Marmontel|Marmontel]] et Letourneur, mais d’où il excluait [[Nicolas Malebranche|Malebranche]], ''[[les Provinciales]]'' et tout [[Jacques-Bénigne Bossuet|Bossuet]], « dont l’Histoire universelle n’est qu’un squelette chronologique sans vie et sans couleur ». Il n’aimait pas non plus les livres reliés et, lorsqu’il en achetait qu’il n’avait pu se procurer autrement, il leur cassait le dos et en faisait des brochures en les dépouillant des cartons qui les protégeaient. En [[1800 en littérature|1800]], Mercier donna une suite à son ''Tableau de Paris'', le ''Nouveau Paris'' (Brunswick [Paris], 1800, 6 vol. in-12), un ouvrage qui présente des détails intéressants, mais peut-être pas toujours exacts, sur les mœurs de la [[Révolution française|Révolution]]. En [[1801 en littérature|1801]], Mercier fit paraître sa ''Néologie'', vocabulaire de mots nouveaux ou à renouveler, dans lequel il s’élève contre le choix restreint des mots. « C’est la serpe académique, instrument de dommages, dit-il, qui a fait tomber nos antiques richesses ; et moi j’ai dit à tel mot enseveli : Lève-toi, et marche ! Quand Corneille s’est présenté à l’[[Académie française|Académie]] avec son mot invaincu, on l’а mis à la porte. Mais moi, qui sais comment on doit traiter la sottise et la pédanterie, je marche avec une phalange de trois mille mots, infanterie, cavalerie, hussards. S’il y a beaucoup de morts et de blessés dans le combat, eh bien, j’ai une autre armée en réserve, je marche une seconde fois ; car je brûle de culbuter tous ces corps académiques qui n’ont servi qu’à rétrécir l’esprit de l’homme. » Toujours acharné après les poètes du {{s-|XVII|e|}}, il conseillait aux littérateurs d’abandonner les vers pour la prose, dont la marche, plus libre, lui paraissait mieux se prêter aux inspirations poétiques. Il conseillait également aux écrivains de donner plus de liberté à la prose et de créer hardiment des mots nouveaux toutes les fois que ceux consacrés par l’usage leur paraîtraient insuffisante. Constant dans ses opinions républicaines, Mercier manifesta peu de gout pour le régime impérial. « Je ressemble au sicambre Clovis, écrivait-il à [[Jean-Baptiste-Claude Delisle de Sales|Delisle de Sales]], dans un moment de découragement ; aujourd’hui que mes rêves politiques se sont évanouis, je suis tenté de brûler ce que j’ai adoré, et d’adorer ce que j’ai brûlé. » Il admirait le génie de Napoléon ; mais il ne lui pardonna pas le [[18 brumaire]] et l’[[Premier Empire|Empire]], et s’exprima plusieurs fois à ce sujet avec une liberté de langage qui lui valut les admonestations du ministre de la police [[Anne Jean Marie René Savary|Savary]]. C’est ainsi qu’il avait appelé l’empereur « un sabre organisé ». On raconte dans les ''Mémoires'' publiés sous le nom de l’acteur [[Joseph-Abraham Bénard|Fleury]] une altercation entre Mercier et Savary, dans laquelle le ministre menaça de faire mettre l’écrivain à Bicêtre, ce dont Mercier le défia. « Je ne vis plus que pour voir comment tout cela finira » dirait-il. Mercier vit effectivement la fin de l’Empire, mais il mourut quelques jours après le retour des [[Bourbons (dynastie française)|Bourbons]]. Il avait encore fait partie de la députation de l’Institut qui alla complimenter le [[Charles X de France|comte d’Artois]]. Tombé malade, Mercier déclara qu’il allait rendre son corps à la nature. Les idées et le style de Mercier, esprit enthousiaste, original, ingénieux et féru de [[paradoxe]], associent chaleur et violence, finesse et étrangetés, éloquence et emphase, vues justes et hypothèses discutables. L’ouvrage qui a le plus servi à maintenir sa réputation est son ''Tableau de Paris'' ([[Neuchâtel]] et [[Amsterdam]], [[1781 en littérature|1781]]-[[1790 en littérature|1790]], 12 vol. in-8°), peinture des mœurs, des routines, où sont notés et stigmatisés les abus, les excès, les vices. C’est le {{s|XVIII|e|}} non des salons de la haute société ou des maisons de la bourgeoisie, que dépeint Mercier en moraliste et en observateur aigu, mais surtout du petit peuple sous toutes ses faces. [[Antoine Rivarol|Rivarol]] traita le ''Tableau de Paris'' d’« un ouvrage pensé dans la rue et écrit sur la borne; l’auteur a peint la cave et le grenier en sautant le salon. » Le succès en fut extraordinaire non seulement en France, mais aussi en [[Allemagne]], où Mercier fut regardé comme un écrivain de premier ordre. Des éditions abrégées en furent publiées (Paris, [[1853 en littérature|1853]] ; [[1862 en littérature|1862]], 2 vol. in-18). Suivant [[Charles Monselet|Monselet]] « tout le dix-huitième siècle est contenu dans le ''Tableau de Paris'', surtout le dix-huitième siècle de la rue ; il y a de tout, de tout ce qu’on ne voit pas ou tout ce qui fait détourner la tête. Aussi Mercier avait-il pour habitude de dire qu’il avait écrit avec ses jambes. » Mercier disait que [[Greuze]] et lui étaient deux grands peintres ; Greuze avait mis le drame dans la peinture, et lui la peinture dans le drame. « Indépendamment de mes pièces de théâtre, qui sont des peintures morales, ajoutait-il, j’ai fait le plus large tableau qui soit dans le monde.» Selon [[Louis Ratisbonne|Ratisbonne]], « l’ouvrage de Mercier ne méritait ni l’enthousiasme ni le mépris, ni le bruit ni l’oubli. L’observation, les traits fins y abondent ; malgré sa prolixité, il est intéressant et curieux à plus d’un titre. » Ce n’est pas un panorama pittoresque, tant s’en faut, et c’est plutôt le guide d’un moraliste que le vademecum d’un voyageur. L’archéologue et l’antiquaire y chercheraient vainement des documents […] ce n’est pas en historien, encore moins en architecte qu’il en parle, c’est en philosophe. Les mœurs, les coutumes, les contrastes, les extravagances, les excès, les abus, voilà l’inépuisable sujet que s’était proposé Mercier. » Les principaux ouvrages dramatiques de Mercier, dans lesquels il tâcha de mettre en pratique ses idées sur le théâtre, sont : ''Jenneval, ou le Barnevelt français'' ; ''l’Habitant de la Guadeloupe'' ; ''[[la Brouette du vinaigrier]]'' ; ''le Déserteur'' ; ''l’Indigent'' ; ''la Maison de Molière'' ; ''Jean Hennuyer, évêque de Lisieux'' ; ''Louis XI'', ''Natalie'' ; ''Olinde et Sophronie'' ; etc. Ses pièces ont été réunies sous le titre de ''Théâtre'' (Amsterdam, [[1778 au théâtre|1778]]-[[1784 au théâtre|1784]], 4 vol., in-8°). Il faut encore citer à part, comme faisant la physionomie littéraire de Mercier : l’''Essai sur l’art dramatique'', composé au moment où ses pièces n’avaient pas encore de succès ; c’est une attaque contre l’ancien théâtre et principalement contre [[Jean Racine|Racine]], une tentative de poétique nouvelle, tendant à ouvrir une voie nouvelle, à rejeter les fables et les règles anciennes, à produire sur la scène la société vivante, le peuple, la vie ordinaire. Présentées sous une forme violente et bizarre, ces idées soulevèrent toute la critique contre leur auteur. On a encore de Mercier : ''l’Homme sauvage'' ([[Amsterdam]], [[1767 en littérature|1767]], in-8°), roman qu’il prétendit plus tard avoir été imité par [[François-René de Chateaubriand|Chateaubriand]] dans ''[[Atala (Chateaubriand)|Atala]]'' ; ''Songes et visions philosophiques'' (Paris, [[1768 en littérature|1768]], in-12 ; [[1789 en littérature|1789]], 2 vol., in-18); ''Éloges et discours philosophiques'' (Amsterdam, [[1776 en littérature|1776]], in-8°); ''Mon bonnet de nuit'' (Neuchatel, [[1784 en littérature|1784]], 4 vol. in-8°) ; ''Portraits des rois de France'' (''Ibid.'' [[1785 en littérature|1785]], 4 vol. in-8°), réimpr. sous le titre d’''Histoire de France'' (Paris, [[1802 en littérature|1802]], 6 vol. in-8°) ; ''Fragments de politique, d’histoire et de morale'' (Paris, [[1793 en littérature|1793]], 3 vol. in-8°); ''Néologie, ou Vocabulaire de mots nouveaux, à renouveler, ou pris dans des acceptions nouvelles'' (Paris, [[1801 en littérature|1801]], 2 vol. in-8°) ; ''Jeanne d’Arc'', drame traduit de l’allemand de [[Friedrich von Schiller|Schiller]] ([[1802 en littérature|1802]], in-8°) ; ''Satire contre Racine et Boileau'' ([[1808 en littérature|1808]]); etc. Mercier a annoté ''Jean-Jacques Rousseau'' (Paris, [[1788 en littérature|1788]]-[[1793 en littérature|1793]], 38 vol. in-8°) et ajouté, comme [[pastiche]] littéraire, à ''[[Julie ou la Nouvelle Héloïse|la Nouvelle Héloïse]]'', une lettre écrite par M. de Volmar après la mort de Julie. == Œuvres == * ''Hécube à Pyrrhus, [[héroïde]]'', s.l. ([[1760 en littérature|1760]]) * ''Hypermnestre à Lyncée, héroïde'', s.l. ([[1762 en littérature|1762]]) * ''Canacée à Macarée et Hypermnestre à Lyncée, héroïdes nouvelles par l’auteur d’Hécube'', s.l. ([[1762 en littérature|1762]]) * ''Philoctète à Péan, son père, héroïde'', s.l. ([[1762 en littérature|1762]]) * ''Crizéas et Zelmine, poème'', s.l. ([[1763 en littérature|1763]]) * ''Épître d’Héloïse à Abailard, imitation nouvelle de Pope'', Londres ([[1763 en littérature|1763]]) * ''Médée à Jason, après le meurtre de ses enfants, héroïde, suivi d’un morceau tiré de Dante'', s.l. ([[1763 en littérature|1763]]) * ''Sénèque mourant à Néron, héroïde'', s.l. ([[1763 en littérature|1763]]) * ''Le Bonheur des gens de lettres, discours'', Bordeaux ([[1763 en littérature|1763]]) * ''Discours sur la lecture'', Paris ([[1764 en littérature|1764]]) * ''Saint-Preux à Wolmar après la mort de Julie, ou dernière lettre du roman de la Nouvelle Héloïse'', Paris ([[1764 en littérature|1764]]) * ''La Boucle de cheveux enlevée, poème héroï-comique de Pope, trad.'', Amsterdam ([[1764 en littérature|1764]]) * ''Héroïdes et autres pièces de poésie'', Paris ([[1764 en littérature|1764]]) * ''Calas sur l’échafaud à ses juges, poème'', s.l. ([[1765 en littérature|1765]]) * ''Éloge de René Descartes'', Genève et Paris, Chez la Vve Pierres ([[1765 en littérature|1765]]) * ''Le Génie, poème'', Londres et Paris ([[1766 en littérature|1766]]) * ''Discours sur les malheurs de la guerre et les avantages de la paix'', La Haye ([[1766 en littérature|1766]]) * ''Histoire d’Izerben, poète arabe, trad. de l’arabe'', Amsterdam et Paris, Cellot ([[1766 en littérature|1766]]) * ''Éloge de Charles V, roi de France surnommé Le sage'', Amsterdam ([[1767 en littérature|1767]]) * ''Les Amours de Chérale, poème en six chants, suivi du bon génie'', Amsterdam ([[1767 en littérature|1767]]) * ''Lettre de Dulis à son ami'', Londres et Paris, Vve Duchesne ([[1767 en littérature|1767]]) * ''L’Homme sauvage, histoire trad. de Pfeil'', Amsterdam ([[1767 en littérature|1767]]) * ''La Sympathie, histoire morale'', Amsterdam ([[1767 en littérature|1767]]) * ''Virginie, tragédie en cinq actes'', Paris, Vve Duchesne ([[1767 en littérature|1767]]) * ''Que notre Âme peut se suffire à elle-même, épître philosophique qui a concouru pour le prix de l’Académie française, en [[1768 en littérature|1768]]'', Londres ([[1768 en littérature|1768]]) * ''Contes moraux, ou les hommes comme il y en a peu'', Paris, Panckoucke ([[1768 en littérature|1768]]) * ''Songes philosophiques'', Londres et Paris, Lejay ([[1768 en littérature|1768]]) * ''Zambeddin, histoire orientale'', Amsterdam et Paris, Delalain ([[1768 en littérature|1768]]) * ''Fragments d’un éloge de Henri IV, roi de France'', Paris ([[1768 en littérature|1768]]) * ''Les Cerises, conte en vers'', Paris, Lejay ([[1769 en littérature|1769]]) * ''Jenneval ou le Barnevelt français, drame en cinq actes et en prose'', Paris ([[1769 en littérature|1769]]) * ''Le Déserteur, drame en cinq actes et en prose'', Paris, Lejay ([[1770 en littérature|1770]]) * ''Songes d’un hermite, à l’Hermitage de Saint-Amour'', Paris, Hardy ([[1770 en littérature|1770]]) * ''Olinde et Sophronie, drame héroïque en cinq actes et en prose'', Paris, Lejay ([[1770 en littérature|1770]]) * ''[[L'An 2440, rêve s'il en fut jamais]]'', Londres ([[1771 en littérature|1771]]) * ''Le Faux Ami, drame en trois actes en prose'', Paris, Lejay ([[1772 en littérature|1772]]) * ''L’Indigent, drame en quatre actes en prose'', Paris, Lejay ([[1772 en littérature|1772]]) * ''Jean Hennuyer, évêque de Lisieux, drame en trois actes'', Londres ([[1772 en littérature|1772]]) * ''Du Théâtre ou Nouvel essai sur l’art dramatique'', Amsterdam, E. van Harrevelt ([[1773 en littérature|1773]]) * ''Childéric, premier roi de France, drame héroïque en trois actes, en prose'', Londres et Paris, Ruault ([[1774 en littérature|1774]]) * ''Le Juge, drame en trois actes, en prose'', Londres et Paris, Ruault ([[1774 en littérature|1774]]) * ''[[La Brouette du vinaigrier]], drame en trois actes'', Londres et Paris ([[1775 en littérature|1775]]) * ''Nathalie, drame en quatre actes'', Londres et Paris, Ruault ([[1775 en littérature|1775]]) * ''Premier Mémoire par le Sieur Mercier contre la troupe des Comédiens français'', Paris, Vve Herissant ([[1775 en littérature|1775]]) * ''Mémoire à consulter et consultation par le Sieur Mercier contre la troupe des comédiens ordinaires du Roi'', Paris, Clousier ([[1775 en littérature|1775]]) * ''Molière, drame en cinq actes en prose, imité de Goldoni'', Amsterdam et Paris ([[1776 en littérature|1776]]) * ''Éloges et discours académiques qui ont concouru pour les prix de l’Académie française et de plusieurs autres académies, par l’auteur de l’ouvrage intitulé l’an deux mille quatre cent quarante'', Amsterdam ([[1776 en littérature|1776]]) * ''Jezzenemours, roman dramatique'', Amsterdam ([[1776 en littérature|1776]]) * ''Les Hommes comme il y en a peu et les Génies comme il n’y en a point, contes moraux orientaux, persans, arabes, turcs, anglais, français, etc., les uns pour rire, les autres à dormir debout'', Nouv. éd. Bouillon, impr. de la Soc. Typographique, Neuchâtel ([[1776 en littérature|1776]]) * ''Éloges et discours philosophiques'', Paris ([[1776 en littérature|1776]]) * ''Les Comédiens, ou le Foyer, comédie en un acte et en prose'', Paris, Successeurs de la Vve Duchesne ([[1777 en littérature|1777]]) * ''De la Littérature et des littérateurs suivi d’un Nouvel examen de la tragédie française'', Yverdon ([[1778 en littérature|1778]]) * ''Théâtre complet'', Amsterdam ([[1778 en littérature|1778]]) * ''La Vertu chancelante, ou la vie de Mlle d’Amincourt'', Liège et Paris ([[1778 en littérature|1778]]) * ''Le Campagnard, ou le Riche désabusé, drame en deux actes et en prose'', La Haye ([[1779 en littérature|1779]]) * ''Le Charlatan, ou le docteur Sacroton, comédie-parade en un acte, en prose'', La Haye et Paris, Vve Ballard et fils ([[1780 en littérature|1780]]) * ''La Demande imprévue, comédie en trois actes'', Paris, Vve Ballard et Vve Duchesne ([[1780 en littérature|1780]]) * ''Tableau de Paris'', Hambourg et Neuchâtel, S. Fauche ([[1781 en littérature|1781]]) * ''L’Homme de ma connaissance, comédie en deux actes et en prose'', Amsterdam et Paris, Vve Ballard et fils ([[1781 en littérature|1781]]) * ''Le Gentillâtre, comédie en trois actes et en prose'', Amsterdam et Paris ([[1781 en littérature|1781]]) * ''Le Philosophe du Port-au-Bled'', s.l. ([[1781 en littérature|1781]]) * ''Zoé, drame en trois actes'', Neuchâtel, Impr. de la Société typographique ([[1782 en littérature|1782]]) * ''Les Tombeaux de Vérone, drame en cinq actes'', Neuchâtel, Impr. de la Société typographique ([[1782 en littérature|1782]]) * ''La Destruction de la Ligue, ou la réduction de Paris, pièce nationale en quatre actes'', Amsterdam et Paris ([[1782 en littérature|1782]]) * ''L’Habitant de la Guadeloupe, comédie en quatre actes'', Neuchâtel, Impr. de la Société typographique ([[1782 en littérature|1782]]) * ''Portraits des rois de France'', Neuchâtel, Impr. de la Société typographique ([[1783 en littérature|1783]]) * ''La Mort de Louis XI, roi de France, pièce historique'', Neuchâtel ([[1783 en littérature|1783]]) * ''Montesquieu à Marseille, Lausanne, J.-P. Heubach et Paris, Poinçot ([[1784 en littérature|1784]]) * ''Mon Bonnet de nuit'', Neuchâtel, Impr. de la Société typographique ([[1784 en littérature|1784]]) * ''Charles II, roi d’Angleterre, en certain lieu, comédie très morale en cinq actes très courts, par un disciple de Pythagore'', Venise [i.e. Paris] ([[1784 en littérature|1784]]) * ''Les Hospices'', s.l. ([[1784 en littérature|1784]]) * ''L’Observateur de Paris et du royaume, ou Mémoires historiques et politiques'', Londres ([[1785 en littérature|1785]]) * ''Portrait de Philippe II, roi d’Espagne'', Amsterdam ([[1785 en littérature|1785]]) * ''Histoire d’une jeune Luthérienne'', Neuchâtel, Impr. Jérémie Vitel ([[1785 en littérature|1785]]) * ''[[L'An 2440, rêve s'il en fut jamais]]'', 2{{e}} éd. suivi de ''l’Homme de fer, songe'', Amsterdam ([[1786 en littérature|1786]]) * ''Les Entretiens du Palais-Royal de Paris'', Paris, Buisson ([[1786 en littérature|1786]]) * ''Notions claires sur les gouvernements'', Amsterdam ([[1787 en littérature|1787]]) * ''Songes et visions philosophiques'', Amsterdam et Paris ([[1788 en littérature|1788]]) * ''Tableau de Paris, nouv. éd. corrigée et augmentée'', Amsterdam ([[1788 en littérature|1788]]) * ''Les Entretiens du Jardin des Tuileries de Paris'', Paris, Buisson ([[1788 en littérature|1788]]) * ''La Maison de Molière, comédie en cinq actes et en prose'', Paris, Guillot ([[1788 en littérature|1788]]) * ''Lettre au Roi, contenant unprojet pour liquider en peu d’années toutes les dettes de l’État soulageant le peuple du fardeau des impositions'', Amsterdam et Paris, chez les Marchands de nouveautés ([[1789 en littérature|1789]]) * ''Adieux à l’année [[1789 en littérature|1789]]'', s.l.n.d. ([[1789 en littérature|1789]]) * ''Le Nouveau Doyen de Killerine, comédie en trois actes, en prose'', Paris ([[1790 en littérature|1790]]) * ''Réflexions très importantes sur les nouvelles élections des municipalités'', s.l. ([[1790 en littérature|1790]]) * ''De Jean-Jacques Rousseau considéré comme l’un des premiers auteurs de la Révolution'', Paris, Buisson ([[1791 en littérature|1791]]) * ''Adresse de l’agriculture à MM. de l’Assemblée nationale régénératrice de l’Empire français'', Paris, C.-F. Perlet ([[1791 en littérature|1791]]) * ''Fragments de politique et d’histoire'', Paris, Buisson ([[1792 en littérature|1792]]) * ''Fictions morales'', Paris, Impr. du Cercle social ([[1792 en littérature|1792]]) * ''Le Vieillard et ses trois filles, pièce en trois actes en prose'', Paris, Cercle social ([[1792 en littérature|1792]]) * ''Le Ci-Devant Noble, comédie en trois actes'', Paris, Impr. du Cercle social ([[1792 en littérature|1792]]) * ''Réflexions d’un patriote : Ie sur les assignats ; IIe sur les craintes d’une banqueroute nationale ; IIIe sur les causes de la baisse des changes étrangers ; IVe sur l’organisation de la garde nationale ; Ve sur les finances et impositions ; VIe sur les assemblées primaires ; VIIe sur les droits de patentes avec une Adresse aux Français'', Paris, Impr. H.-J. Janse ([[1792 en littérature|1792]]) * ''Les Crimes de Philippe II, roi d’Espagne, drame historique'', s.l. ([[1792 en littérature|1792]]) * ''Isotisme ou le bon génie, poème en prose suivi de la Sympathie, histoire morale'', Paris ([[1793 en littérature|1793]]) * ''Opinion de Louis Sébastien Mercier sur Louis Capet'', Paris, Impr. de Restif ([[1793 en littérature|1793]]) * ''Philédon et Prothumie, poème érotique suivi de fragments des Amours de Chérale'', Paris ([[1793 en littérature|1793]]) * ''Timon d’Athènes en cinq actes, en prose, imitation de Shakespeare'', Paris, Impr. T. Gérard ([[1794 en littérature|1794]]) * ''Fénelon dans son diocèse, pièce dramatique en trois actes et en prose'', Paris, marchands de nouveautés ([[1794 en littérature|1794]]) * ''Discours de L.-S. Mercier prononcé le 18 floréal sur René Descartes'', Paris, Impr. Nationale ([[1796 en littérature|1796]]) * ''Rapport fait au nom d’une commission spéciale sur l’enseignement des langues vivantes'', Paris, Impr. Nationale ([[1796 en littérature|1796]]) * ''Second Rapport fait au nom d’une commission spéciale sur l’enseignement des langues vivantes'', Paris, Impr. Nationale ([[1796 en littérature|1796]]) * ''Rapport et projet de résolution au nom d’une commission, sur la pétition des peintres, sculpteurs, graveurs, architectes, relativement au droit de patente'', Paris, Impr. Nationale * ''Motion d’ordre et discours sur le rétablissement d’une loterie nationale'', Paris, Impr. Nationale ([[1796 en littérature|1796]]) * ''Opinion de L.-S. Mercier sur les sépultures privées'', Paris, Impr. Bertrand-Quinquet ([[1796 en littérature|1796]]) * ''Hortense et d’Artamon, comédie en deux actes et en prose'', Paris, Cercle social ([[1797 en littérature|1797]]) * ''Le Libérateur, comédie en deux actes'', Paris, Cercle social ([[1797 en littérature|1797]]) * ''Opinion de L.-S. Mercier sur le message du Directoire, converti en motion, tendant à astreindre les électeurs au serment décrété pour les fonctionnaires publics'', Paris, Impr. Bertrand-Quinquet ([[1797 en littérature|1797]]) * ''Le Nouveau Paris'', Paris, Fuchs ([[1798 en littérature|1798]]) * ''Mon Dictionnaire'', s.l.n.d. ([[1798 en littérature|1798]]) * ''L’An deux mille quatre cent quarante, rêve s’il en fût jamais, suivi de L’homme de fer, songe'', Paris, Bresson et Casteret, Dugour et Durand ([[1799 en littérature|1799]]) * ''Néologie ou vocabulaire de mots nouveaux, à renouveler ou pris dans des acceptions nouvelles'', Paris, Moussard ([[1801 en littérature|1801]]) * ''Histoire de France, depuis Clovis jusqu’au règne de Louis XVI'', Paris, chez Cérioux et Lepetit jeune ([[1802 en littérature|1802]]) * ''Satyres contre les astronomes'', Paris, Terrelonge ([[1803 en littérature|1803]]) * ''Charité, Versailles, Ph.-D. Pierres'', Paris, Bossange, Masson et Besson ([[1804 en littérature|1804]]) * ''De l’Impossibilité du système astronomique de Copernic et de Newton'', Paris, Dentu ([[1806 en littérature|1806]]) * ''L’Apollon Pythique, ou des Arts matériellement imitatifs'', Paris ([[1806 en littérature|1806]]) * ''Satyres contre Racine et Boileau'', Paris, Hénée ([[1808 en littérature|1808]]) * ''La Maison de Socrate le sage, comédie en cinq actes, prose'', Paris, Duminil-Lesueur ([[1809 en littérature|1809]]) == Références == * Léon Béclard, ''Sébastien Mercier, sa vie, son œuvre, son temps ; d’après des documents inédits'', Paris, H. Champion, 1903, réimp. Hildesheim ; New York, G. Olms, 1982 * Jean-Claude Bonnet, ''Le Paris de Louis Sébastien Mercier : cartes et index topographique'', Paris, Mercure de France, 1994 * Jean-Claude Bonnet, ''Louis Sébastien Mercier (1740-1814) : un hérétique en littérature'', Paris, Mercure de France, 1995 * Élisabeth Bourguinat, ''Les Rues de Paris au {{s-|XVIII|e|}} : le regard de Louis Sébastien Mercier'', Paris, Paris Musées, 1999 * Paulette L. Castillo, ''Les Deux Paris de Louis-Sébastien Mercier'', Thèse d’honneur de 1977 de Smith College, Northampton. * Annie Cloutier, ''Savoirs de l’uchronie ; l’An 2440 (1771-1799) de Louis Sébastien Mercier, 1740-1814, ou les Lumières en question'', Mémoire de maîtrise de l’Université Laval, 2002 * Anne-Marie Deval, ''Sébastien Mercier, précurseur'', Thèse de l’Université de Californie à Los Angeles, 1968 * Louis de Bordes de Fortage, ''Sébastien Mercier à Bordeaux'', Bordeaux, Gounouilhou, 1918 * Gilles Girard, ''Inventaire des manuscrits de Louis-Sébastien Mercier conservés à la Bibliothèque de l’Arsenal'', Reims, Département de français de l’université, 1974 * Hermann Hofer, ''Louis-Sébastien Mercier précurseur et sa fortune : avec des documents inédits : recueil d’études sur l’influence de Mercier'', Munich, Fink, 1977 * Manal Kodeih, ''Topographies du savoir configurations du discours utopique chez Louis-Sébastien Mercier'', Mémoire de maîtrise de l’Université de Western Ontario, 1999. * Anne Le Fur, ''Le Paris de Louis Sébastien Mercier : cartes et index toponymique'', Paris, Mercure de France, 1994 * Mario Mormile, ''La Néologie révolutionnaire de Louis-Sébastien Mercier'', Rome, Bulzoni, 1973 * Manon Plante, ''Portrait de l’écrivain des lumières en promeneur urbain : savoirs et images de Paris chez Louis Sébastien Mercier (1740-1814) et Nicolas-Edme Restif de la Bretonne (1734-1806)'', Mémoire de maîtrise de l’Université Laval, 2004 * René Pomeau, ''L’Imaginaire d’anticipation de Louis-Sébastien Mercier à George Orwell'', Paris, Palais de l’Institut, 1998 * Enrico Rufi, ''Louis-Sébastien Mercier'', Paris, CNRS éditions, 1996 * Vincent Tardif, ''La Ville et la philosophie à la fin du {{s-|XVIII|e|}} : perception et représentation de Paris dans le « Tableau de Paris » de Louis-Sébastien Mercier'', Mémoire de maîtrise de l’Université Laval, 2004 * Yinsu Vizcarra, ''L’Économie de la perte, rebut et récupération dans le Tableau de Paris de Louis Sébastien Mercier et les Nuits de Paris de Rétif de la Bretonne'', Thèse de doctorat de l’Université Paris III, 2000 * Nedd Willard, ''La Moralité du théâtre de Louis-Sébastien Mercier'', Paris, [s.n.], 1955 * Nedd Willard, ''Le Génie et la folie au dix-huitième siècle'', Paris, Presses Universitaires de France, 1963 == Lien externe == *[http://gallica.bnf.fr/scripts/catalog.php?Auteur=%22mercier+louis+sebastien%22 Textes disponibles sur Gallica] == Source == {{Wikisourceauteur}} * [[Gustave Vapereau]], ''Dictionnaire universel des littératures'', Paris, Hachette, 1876, p. 1381 {{Portail|littérature|théâtre|Lumières|XVIIIe siècle}} {{DEFAULTSORT:Mercier, Louis-Sébastien}} [[Catégorie:Écrivain français du XVIIIe siècle]] [[Catégorie:Dramaturge français du XVIIIe siècle]] [[Catégorie:Journaliste français du XVIIIe siècle]] [[Catégorie:Essayiste français]] [[Catégorie:Académie des inscriptions et belles-lettres]] [[Catégorie:Député de la Convention nationale]] [[Catégorie:Membre du Conseil des Cinq-Cents]] [[Catégorie:Naissance en 1740]] [[Catégorie:Décès en 1814]] [[de:Louis-Sébastien Mercier]] [[en:Louis-Sébastien Mercier]] [[es:Louis-Sébastien Mercier]] [[nl:Sébastien Mercier]] [[pl:Louis-Sébastien Mercier]] [[pt:Louis-Sébastien Mercier]] [[ru:Мерсье, Луи Себастьен]] [[sk:Louis-Sébastien Mercier]] __NOTOC__