Ogobara Doumbo
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2008-06-29T00:56:43Z
Agaly
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/* Notes et références */
{{Ébauche|Mali}}
'''Ogobara Doumbo''' est un scientifique [[mali]]en spécialiste du [[paludisme]].
Né en [[1958]] à Koro, village [[Dogons|dogon]], Ogobara Doumbo a présenté deux thèses de médecine, une au [[Mali]] et une en [[France]]. Il a présidé pendant dix ans le département d’épidémiologie de la Faculté de Médecine de [[Bamako]]<ref> Le Professeur Ogobara Doumbo à coeur ouvert sur le paludisme, Nouvel horizon, mai 2007</ref>.
Il préside le [[Centre de recherche et de formation sur le paludisme]], un centre qui a entrepris en 2003 des essais cliniques d’un vaccin contre le paludisme.
Il est membre du conseil scientifique de l’[[Agence universitaire de la francophonie]].
Le 13 juin 2007, Ogobara Doumbo a reçu le [[Prix Christophe Merieux]]<ref> L’un des plus grands spécialistes du paludisme reçoit le Prix Christophe Merieux, panapress, 13 juin 2007</ref>.
== Notes et références ==
<references/>
{{Portail Mali}}
[[Catégorie:Scientifique malien|Doumbo, Ogobara]]
En fait, Ogobara Doumbo est né vers 1956 à Manteourou dans la commune rurale de Madougou, cercle de Koro. Son village (Manteourou) est situé à environ 60 km au Nord de Koro.
Le Pr Ogobara Doumbo, fils ainé de Feu Keguerem et de Yassama (dite Yayi) fit ses études primaires à Karakindé (25 Km Sud-Est de son village), puis à koro. Admis au DEF, il fréquentera le lycée Askia Mohamed de Bamako, où il obtint le Baccaulaureat, séries Sciences Biologiques. Il est alors orienté à l'Ecole Nationale de Médecine, où, il sort 4 ans après comme Médecin généraliste et affecté au compte de la fonction publique au centre de santé de Sélingué en qualité de Médecine-Chef.
Deux à 3 ans après, Ogo (pour les intimes) revient à l'Ecole de Médecine sous la supervision du Professeur de Parasitologie Phillippe Ranque. Ce dernier l'envoyera en specialicialisation en Parasitologie et le prepare à le remplacer à la tête du Département d'Epidémiologie des Affections Parasitaires.
Ogo devient en 1992 l'aggregé le jeune dans la sous région; il avait environ 36 ans, lorsqu'il se presentait au compte du CAMES (Conseil Africain et Malgache pour l'Enseignement Superieur)au concours d'Aggregation. Ses maîtres le commentaient comme un jeune ayant un dossier "en Béton". Aucune faille.
La même année, le Malaria Research and Training Center est né en collaboration avec les National Institut of Heath des Etats Unis (Louis Miller) et le Mali, sous la direction de 3 Professeurs de Rang magistral: Le Pr Amadou Diallo, le Pr Yeyia Tiémoko Touré et le Pr Ogobara K. Doumbo. La participation de l'Etat Malien comme le plus souvent énoncé reste enignatique; Personne n'a l'habitude de voir l'acte de création officielle du MRTC. D'ailleurs, quelques années après sa création, divergences surgissent dans la gestion des fonds. Le Pr Amadou Diallo est écarté, le Pr Touré se retire argant l'obtention d'une position à l'OMS. Ogo reste le seul maitre à bord. Avant le départ du Pr Touré, les divergences entre lui et Ogo étaient patentes et seraient les vraies raisons de son depart.
En 1997, Ogo s'envole en deuxièmes noces avec une de ses Etudiantes, Safiatou Niaré.
Le MRTC connaitra de réels succès, à en croire le nombre de publications, le nombre de PhD candidats, le nombre Msc, le nombre de collaborateurs. le MRTC grandit, grandit encore.
Après le depart du Pr Touré, le torchon commencera à brûler entre la section Entomo et la section Parsito. Beaucoup de problèmes surgissent dans la boîte.
Le mois d'Aout 2007, un préavis de licenciement en provenance du Rectorat de l*université de Bamako tombe au MRTC comme un tonnerre dans un ciel serein, même si dépuis quelques mois, le ciel n'était plus serein au MRTC. Les travailleurs qui se sentaient lésé vue la montagne de travail qu'ils faisaient à coté de leur traitement decide de se syndiquer ppur reclamer plus de droit: droit aux congés annuels, droit au week end, salaires, inscription à l'INPS, indenmité familiales. Ogo ne voyait pas cela d'un bon oeil.
Ces preavis de licenciements frappait à 80% les initiateurs de ce mouvement syndical et quelques uns qui "genaient".
Ogo prétend ne va être au courant de ces licenciements; Madame le recteur saisie, affirme avoir agit sur "Instructions". Jusque là, les choses ne sont pas claires, le MRTC continue son petit bonhomme de chemin; les commentaires vont bon train. D'aucuns disent que c'est Ogo qui est à labase de ces lettres et aurait donné des millions à Madame le recteur et son Staff pour faire "le salle boulot"; ainsi lui Ogo ne pourrait pas être accusé; d'autres pensent que c'est deux de ses lieutenants en complicité avec certains du NIH qui se sont debarassés des personnes "genantes".