Paul Stapfer 928804 25479012 2008-01-28T22:03:27Z Stanlekub 25071 [[Projet:Liens vers les pages d'homonymie|Correction lien vers page d’homonymie]] ([[Hauteville House]] > [[Hauteville House (maison)]]) '''Paul Stapfer''' ([[Paris]], [[14 mai]] [[1840]] - [[Bordeaux]], [[7 janvier]] [[1917]]) est un [[écrivain]] et critique [[France|français]]. [[Image:Stapfer_1885_Cl.jpg|thumb|200px|right|<center>Paul Stapfer en 1885</center>]] == Biographie == Paul Stapfer est le sixième de neuf enfants d'une vieille famille protestante d'origine [[suisse]]. Son père, Charles-Louis ([[Berne]], [[1799]] - [[Paris]], [[1880]]) est ingénieur des Ponts et Chaussées. Sa mère, Marie Suzanne Louise, est née Monod (Paris, [[1809]] - Paris, [[1886]]) et est d'origine [[Canton de Vaud|vaudoise]]. Il fait ses études secondaires au lycée Bonaparte à Paris. En classe de seconde il obtient un 2{{e}} prix de thème grec. Études au Collège Sainte-Barbe où il suit les cours de dissertation française du philosophe '''[[Étienne Vacherot]]''' (1809-[[1897]]). Il obtient sa licence de lettres classiques en [[1860]]. Il commence une carrière précaire de professeur "privé". Il devient, pour une courte période, précepteur du fils de l'homme d'État [[William Henry Waddington|William Waddington]]. Autour de [[1865]] il est le précepteur des petits-enfants de l'historien et homme politique [[François Guizot]] avec lequel plusieurs membres de sa famille sont liés depuis deux générations. Il publie son premier essai, ''Petite comédie de la critique littéraire'' à compte d'auteur en [[1866]]. Il part s'installer à [[Guernesey]] pour parfaire son anglais et est ''French master'' au Collège royal Elizabeth de [[Saint-Pierre-Port]] de [[1866]] à [[1870]]. Il s'y lie d'amitié avec le futur critique anglais '''[[George Saintsbury]]''' (1845-1933). Il noue des relations avec [[Victor Hugo]] qui le reçoit à [[Hauteville House (maison)|Hauteville House]] à partir d'octobre [[1866]] et qu'il reverra encore à Paris un an après le retour en [[France]] de l'illustre exilé. Cette relation donnera lieu à plusieurs ouvrages sur l'œuvre et la personne du poète. Il quitte Guernesey pour Paris en 1870 et il soutient en [[Sorbonne]] au mois d'avril une thèse de lettres classiques sur [[Laurence Sterne]] et une thèse latine sur '''[[Bacon]]'''. Il fréquente '''[[Guillaume Guizot]]''' (1833-1892), fils de l'historien, qui vient d'obtenir la suppléance de la chaire de littérature française au Collège de France. Il professe quelque temps à Paris un cours libre de littérature. Le {{1er décembre}}[[ 1874]], il est chargé du cours de littérature étrangère à la Faculté des lettres de Grenoble. Il devient professeur titulaire en [[1876]]. Il épouse le [[6 février]] [[1879]] Alice Lavallée (née en 1843), fille d'un ancien représentant à l'[[Assemblée constituante]] devenu [[notaire]]. Le [[26 octobre]] [[1881]] il passe de la chaire de littérature étrangère (essentiellement anglaise et allemande) à celle de littérature française. Il est nommé professeur de littérature française à la Faculté des lettres de [[Bordeaux]], où il a demandé son transfert, le [[16 août]] [[1883]], faisant échec au célèbre critique [[Émile Faguet]]. Il est nommé doyen de cette Faculté le [[20 novembre]] [[1890]] et son décanat sera encore renouvelé deux fois, jusqu'en novembre [[1899]]. Il est fait chevalier de la [[Légion d'honneur]] en [[1895]]. Il est suspendu pour six mois de ses fonctions de doyen par le ministre de l'Instruction publique (arrêté ministériel du 25 juillet 1898) pour avoir, le 23 juillet, manifesté publiquement, quoique à mots couverts, son opinion en faveur du capitaine [[Alfred Dreyfus]] dans son discours aux obsèques du recteur '''[[Auguste Couat]]''' qu'il avait connu à [[Grenoble]]. Cela lui vaudra d'être dénoncé par '''[[Maurras]]''' et soutenu par [[Georges Clemenceau|Clemenceau]]. (On trouvera la relation d'une partie de ces événements dans la 2{{e}} série de ses ''Réputations littéraires'', 1901). De juin à octobre [[1898]], il publie, sous le pseudonyme de '''[[Michel Colline]]''' — afin de ne pas courir le risque d'une révocation, ses ''Billets de la Province'' dans le journal ''Le Siècle''. Il reprend son enseignement le [[10 janvier]] [[1899]]. Doyen honoraire, désormais en retraite de l'Enseignement, il publie encore une vingtaine d'ouvrages de plus en plus tournés vers les questions philosophiques et religieuses. Paul Stapfer s'éteint à Bordeaux le [[7 janvier]] [[1917]]. Il ne laisse aucune descendance. == Bibliographie complète == {{bibliographie à wikifier}} Établie pour la première fois par Éric Chams. Chaque section est classée par ordre chronologique. '''<center>I - LIVRES</center>''' '''<center>II - TEXTES IMPRIMÉS</center>''' '''<center>III - ARTICLES</center>''' '''<center>IV - PRÉFACES</center>''' '''<center>V - ÉCRITS SUR PAUL STAPFER</center>''' === Livres === *<small> PETITE COMÉDIE DE LA CRITIQUE LITTÉRAIRE, ou Molière selon trois écoles philosophiques. Paris, Michel-Lévy frères, 1866. In-12, 371 p.</small> *<small> CAUSERIES GUERNESIAISES, édition accompagnée de dix lettres en anglais sur des sujets littéraires. Le Lièvre (Guernesey) et Saint-Jorre (Paris), 1869. In-8, 436 p.</small> *<small> LAURENCE STERNE, SA PERSONNE ET SES OUVRAGES, étude biographique et littéraire, précédée d’un fragment inédit de Sterne. Thèse. Paris, Thorin, 1870. In-8, 318 p. (2{{e}} édition : 1881).</small> *<small> CAUSERIES PARISIENNES. Paris, Sandoz et Fischbacher, 1872. In-18, 438 p.</small> *<small> L’ANTIQUITÉ GRECQUE ET LATINE DANS LES ŒUVRES DE SHAKESPEARE (tome I de Shakespeare et l’Antiquité).. Paris, Sandoz et Fischbacher, 1879.</small> *<small> VARIÉTÉS MORALES ET LITTÉRAIRES. Paris, Fischbacher, 1881. In-12, 348 p.</small> *<small> ÉTUDES SUR LA LITTÉRATURE FRANÇAISE MODERNE ET CONTEMPORAINE. Paris, Fischbacher, 1881. In-12.</small> *<small> GOETHE ET SES DEUX CHEFS-D’ŒUVRE CLASSIQUES. Paris, Fischbacher, 1882. In-12. (2{{e}} édition : 1886).</small> *<small> LES TRAGÉDIES ROMAINES DE SHAKESPEARE. Paris, Fischbacher, 1883. In-12, 337 p.</small> *<small> DRAMES ET POÈMES ANTIQUES DE SHAKESPEARE. Paris, Fischbacher, 1884. In-12.</small> *<small> MOLIÈRE ET SHAKESPEARE. Paris, Hachette et Cie, 1880. In-12, 388 p. (2{{e}} édition : 1886).</small> *<small> RACINE ET VICTOR HUGO. Paris, Armand Colin et Cie, 1886. In-12, 330 p. (10{{e}} édition : 1922).</small> *<small> SHAKESPEARE ET LES TRAGIQUES GRECS. (tome III de Shakespeare et l’Antiquité). Paris, Lecène et Oudin, 1888. In-12, 378 p. (2{{e}} édition, revue et corrigée : 1888).</small> *<small> RABELAIS, sa personne, son génie, son œuvre. Paris, Armand Colin et Cie, 1889. In-12, 521 p.</small> *<small> DES RÉPUTATIONS LITTÉRAIRES, essais de morale de l’histoire, 1{{e}} série. Paris, Hachette et Cie, 1893. In-12, 400 p.</small> *<small> MONTAIGNE. Paris, Hachette et Cie, 1895. In-12, 205 p.</small> *<small> LA FAMILLE ET LES AMIS DE MONTAIGNE, causeries autour du sujet. Paris, Hachette et Cie, 1895. In-12.</small> *<small> LA GRANDE PRÉDICATION CHRÉTIENNE EN FRANCE, Bossuet, Adolphe Monod. Paris, Fischbacher, 1898. In-8, 471 p.</small> *<small> BILLETS DE LA PROVINCE (sous le pseudonyme de Michel Colline). Stock, 1898.<br /> In-12.</small> *<small> ÉTUDES SUR GOETHE. Paris, Armand Colin, 1901. 291 p.</small> *<small> VICTOR HUGO ET L’AFFAIRE DREYFUS, discours prononcé à Pessac-sur-Dordogne le 24 juin 1900. Paris, Ollendorff, 1901.</small> *<small> DES RÉPUTATIONS LITTÉRAIRES, essais de morale de l’histoire, 2{{e}} série. Paris, Fischbacher, 1901. In-12.</small> *<small> VICTOR HUGO ET LA GRANDE POÉSIE SATIRIQUE EN FRANCE. Paris, Ollendorff, 1901. In-12, 349 p.</small> *<small> L’ART ET LA MATIÈRE CHEZ M. ANATOLE FRANCE, étudiés dans son « Histoire contemporaine ». 1904.</small> *<small> PARADOXES ET TRUISMES D’UN ANCIEN DOYEN. Paris, Fischbacher, 1904.<br /> In-12.</small> [[Image:Victor Hugo à Guernesey Stapfer 1905.jpg|thumb|175px|right|]] *<small> VICTOR HUGO À GUERNESEY, souvenirs personnels. Paris, Société française d’imprimerie et de librairie, 1905. in-12, 253 p. <small>'''Réédition avec appareil critique établi<br /> par Eric Chams en préparation'''</small>.</small> *<small> QUESTIONS ESTHÉTIQUES ET RELIGIEUSES. Félix Alcan, 1906. In-8, 208 p.</small> *<small> SERMONS LAÏQUES ou propos de morale et de philosophie. Paris, Fischbacher, 1906. 279 p.</small> *<small> ÉTUDES SUR GOETHE (Goethe et Lessing, Goethe et Schiller, Werther, Iphigénie<br /> en Tauride, Hermann et Dorothée, Faust). Paris, Armand Colin, 1906. In-12.</small> *<small> VERS LA VÉRITÉ, Sully Prudhomme, Pascal, le nouveau Christianisme. Foyer solidariste de Saint-Blaise, 1909. In-12, 313 p.</small> *<small> RÉCRÉATIONS GRAMMATICALES ET LITTÉRAIRES. Paris, Armand Colin, 1909. 284 p.</small> *<small> HUMOUR ET HUMORISTES [Fielding, Richter, A. France, comtesse M. de Noailles]. Paris, Fischbacher, 1911. In-12, 249 p.</small> *<small> L’INQUIÉTUDE RELIGIEUSE DU TEMPS PRÉSENT. Paris, Fischbacher, 1911.</small> *<small> PETITS SERMONS DE GUERRE prêchés dans le Temple de Mansle (Charente)<br /> du 4 août au 4 octobre 1914. Paris, Fischbacher, 1914.</small> *<small> DERNIÈRES VARIATIONS SUR MES VIEUX THÈMES. Paris, Fischbacher, 1914.<br /> In-8, 296 p.</small> *<small> LES LEÇONS DE LA GUERRE. Paris, Fischbacher,1915. 179 p.</small> *<small> CE QUI EST VRAI TOUJOURS. Paris, Fischbacher, 1916.</small> *<small> L’UNION DANS LA FOI ET LA LIBERTÉ, lettre aux protestants de France. Paris, Fischbacher.</small> *<small> SHAKESPEARE AND CLASSICAL ANTIQUITY. Traduction du français par Emily J. Carey. Londres, C. K. Paul & Co, 1880. 193 p.</small> *<small> LES ARTISTES JUGES ET PARTIES : Causeries guernesiaises, Causeries parisiennes. Paris, Fischbacher.</small> === Textes imprimés === *<small> CONFÉRENCE DU REZ-DE-CHAUSSÉE, Des idées morales dans la tragédie, travail lu à la séance du 7 mars 1862. Versailles, imprimerie du Cerf, 1863. In-16,<br /> 50 p.</small> *<small> ALFRED DE MUSSET, conférence. Guernesey, Imprimerie Lelièvre, 1868. In-8,<br /> 28 p.</small> *<small> QUALIS SAPIENTIÆ ANTIQUÆ LAUDATOR QUALIS INTERPRES FRANCISCUS BACONUS EXSTITERIT. Paris, Thorin, 1870. In-8, 83 p. (Thèse de doctorat).</small> *<small> LA POÉTIQUE DE SIR PHILIP SIDNEY, lecture de réception faite le 10 mars 1876 à l’Académie delphinale par M. Stapfer et réponse de M. Vaison. Grenoble, imprimerie Prudhomme-dauphin & Dupont, 1877. In-8, 35 p.</small> === Articles === *<small> BACON ET L’ANTIQUITÉ. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE, XLII''. (Lausanne), 1871, pp. 161-182 et 426-458.</small> *<small> VICTOR HUGO À HAUTEVILLE-HOUSE. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'' (Lausanne), août 1871, pp. 481-511.</small> *<small> LA POÉSIE FRANÇAISE CONTEMPORAINE. ''TEMPS'', 28 mars 1873.</small> *<small> LES DERNIERS OUVRAGES DE VICTOR HUGO. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'', (Lausanne), 1884, pp. 225-243.</small> *<small> D’UN POINT DE VUE DE RESSEMBLANCE ENTRE RABELAIS ET VICTOR HUGO. ''ANNALES DE LA FACULTÉ DES LETTRES DE BORDEAUX ET DES UNIVERSITÉS DU MIDI, n° 006'', 1884, pp. 84-88.</small> *<small> VICTOR HUGO. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'' (Lausanne), 1886, n° 30 et 31, pp. 225-246, 514-540 ; pp. 18-41, 296-331.</small> *<small> DEUX GRANDS POÈTES ENNEMIS : VICTOR HUGO ET RACINE. ''REVUE BLEUE'', 15 mai 1886, pp. 641-651.</small> *<small> LE GRAND CLASSIQUE DU ROMAN ANGLAIS : HENRY FIELDING. ''REVUE DES DEUX-MONDES'', 15 septembre 1890, pp. 412-454.</small> *<small> QU’EST-CE QUE LE PUBLIC ? ''LA GRANDE REVUE'', 1{{er}} juin 1899.</small> *<small> AGRIPPA D’AUBIGNÉ ET VICTOR HUGO. ''REVUE BLEUE'', 12 janvier 1900, pp. 487-492, 686-692.</small> *<small> LOIS DE L’IMAGINATION POÉTIQUE ET SATIRIQUE DE VICTOR HUGO. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'', Lausanne, n°17, 1900, pp. 449-484.</small> *<small> LES BÊTES, LES CHOSES ET LA NATURE DANS LA POÉSIE SATIRIQUE DE VICTOR HUGO. ''REVUE DES COURS ET CONFÉRENCES'', 3 mai 1900, pp. 301-321.</small> *<small> NAPOLÉON LE GRAND ET NAPOLÉON LE PETIT DANS LA POÉSIE SATIRIQUE DE VICTOR HUGO. ''REVUE DES COURS ET CONFÉRENCES'', 31 mai 1900, pp. 513-523.</small> *<small> VICTOR HUGO ET LA SATIRE LYRIQUE. ''GRANDE REVUE n°2'', 1{{er}} juin 1900,<br /> pp. 562-592.</small> *<small> LES IDÉES LITTÉRAIRES DE VICTOR HUGO ET LA SATIRE DES PÉDANTS. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'' (Lausanne), n°19, juillet 1900,<br /> pp. 67-91.</small> *<small> DE L’INJURE POÉTIQUE ET ÉLOQUENTE. L’INJURE CHEZ VICTOR HUGO. ''GRANDE REVUE'', 1{{er}} septembre 1900.</small> *<small> VICTOR HUGO ET LA GRANDE POÉSIE SATIRIQUE. ''REVUE'', 15 juin 1901.</small> *<small> VICTOR HUGO À GUERNESEY. ''REVUE DE PARIS'', 1{{er}} et 15 septembre, 1{{er}} et 15 octobre 1904, pp. 113-136 ; pp. 390-414 ; pp. 560-586 et 854-878.</small> *<small> VICTOR HUGO À GUERNESEY. ''CORRESPONDANT DE GIDS'', n°4, 1905,<br /> pp. 176-183.</small> *<small> L’HÉRÉSIE D’UN LIBRE CROYANT. ''PAGES LIBRES'', 30 mars 1907, n°326.</small> *<small> LA PRESSE PROTESTANTE. ''PAGES LIBRES'', 2 novembre 1907, n° 357.</small> *<small> SULLY PRUDHOMME. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'' (Lausanne), avril, mai, juin 1908.</small> *<small> PASCAL. ''REVUE DES DEUX-MONDES'', 15 novembre 1908.</small> *<small> VICTOR HUGO ET LA SATIRE LYRIQUE. ''GRANDE REVUE, n°40'', 1909.</small> *<small> TAINE, LOGIQUE ET CONSCIENCE CHEZ UN PENSEUR SINCÈRE. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'' (Lausanne), n°61,<br /> juillet 1911, pp. 5-38.</small> *<small> SOIS BON. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE'' (Lausanne),<br /> juin 1914.</small> *<small> LE MOT « BOCHE ». ''LE TEMPS'', 17 avril 1915.</small> *<small> QUESTIONS DE CONSCIENCE. ''BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE ET REVUE SUISSE, n°237'' (Lausanne), septembre 1915.</small> *<small> VICTOR HUGO DANS L’INTIMITÉ. ''QUINZAINE PROTESTANTE'' (Strasbourg),<br /> 1{{er}} juin 1935.</small> === Préfaces === *<small> GOETHE : LES SOUFFRANCES DU JEUNE WERTHER, traduction nouvelle par Mme Bachellery. Paris, Jouaust, Librairie des Bibliophiles, 1886.</small> *<small> GOETHE : FAUST, traduction d’Albert Stapfer. Paris, Jouaust, 1885.</small> *<small> Henry BORDEAUX : MADAME DE WARENS D'APRÈS DE NOUVEAUX DOCUMENTS. La Grande Revue, 1900.</small> === Écrits sur Paul Stapfer === *<small> Gabriel AUDIAT : STAPFER, RACINE ET VICTOR HUGO. ''POLYBIBLION n°50'', 1887, pp. 438-440.</small> *<small> Ph. D. : VICTOR HUGO ET SES DERNIERS CRITIQUES (ERNEST DUPUY, PAUL STAPFER, ÉMILE FAGUET). ''LE FRANÇAIS'', 2 et 16 septembre 1887.</small> *<small> René DOUMIC : VICTOR HUGO ET SES RÉCENTS CRITIQUES (Ch. Renouvier,<br /> E. Rigal, P. Stapfer). ''REVUE DES DEUX-MONDES'', 15 août 1901, pp. 930-941.</small> *<small> Henry DARTIGUE : PAUL STAPFER, 1840-1917. Paris, 1918. 72 pp.</small> *<small> Georges SAINTVILLE : UN HUMORISTE MORALISTE, pages choisies dans l'œuvre de Paul Stapfer et précédées d'une introduction. Paris, Fischbacher, 1918. 330 pp.</small> *<small> Fortunat STROWSKI : VICTOR HUGO ET SON TÉMOIN : PAUL STAPFER. ''QUOTIDIEN'', 22 janvier 1935.</small> {{portail littérature}} {{DEFAULTSORT:Stapfer, Paul}} [[Catégorie:Écrivain français du XIXe siècle]] [[Catégorie:Écrivain français du XXe siècle]] [[Catégorie:Naissance en 1840]] [[Catégorie:Décès en 1917]] [[en:Paul Stapfer]]