Théophile Marie Brébant
1466148
31528937
2008-07-12T19:29:11Z
86.203.62.208
/* Famille */
{{Infobox Personnalité militaire
| nom =Théophile Marie Brébant
| image =Théophile Marie Brébant.jpg
| tailleimage(en px) =200
| surnom ="Vieux brave" surnom que lui donnaient ses hommes au 117e RI (1937-1940)
| datedenaissance =[[24 mai]] [[1889]]
| lieudenaissance =[[Plésidy]], [[France]]
| datemortaucombat =
| lieumortaucombat =
| datededeces =[[20 février]] [[1965]]
| lieudedeces =[[Guingamp]], [[France]]
| ageaudeces =75
| paysdorigine ={{France}}
| allegeance =[[Image:Flag of France.svg|border|20px]] [[Armée française]]
| grademilitaire =[[Colonel]]
| arme =[[Infanterie]]
| annéedebutdecarriere =[[1908]]
| annéefindecarriere =[[1946]]
| conflit =[[Première Guerre mondiale]] <br> [[Guerre du Rif]] <br> [[Seconde Guerre mondiale]]
| commandement = Compagnie du [[48e régiment d'infanterie de ligne|48{{e}} R.I]] <br/> Compagnie du [[3e régiment étranger d'infanterie|R.M.L.E]] <br/> Compagnie du [[146e régiment d'infanterie de forteresse]] <br/> 2{{e}} Bataillon du [[117e régiment d'infanterie de ligne|117{{e}} R.I]]
| faitsdarmes =[[Bataille de la Marne]] <br> [[Bataille de Verdun]] <br> [[Bataille de France]]
| distinctionsprincipales=[[Légion d'honneur|Commandeur de la Légion d'honneur]] <br> [[Croix de guerre 1914-1918]] <br/> (4 citations dont 1 à l'ordre de l'armée) <br> [[Croix de guerre 1939-1945]] <br/> (6 citations à l'ordre de l'armée) <br> [[Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures|Croix de guerre des TOE]] <br/> (1 citation à l'ordre de la division)<br/>[[Croix du combattant]]
| hommage =une rue porte son nom à [[Guingamp]] et à [[Ploumagoar]]. Il est envisagé de baptiser une rue ou un espace vert à son nom au [[Mans]].
| autresfonctions =
| famille =
| legende =Colonel Brébant
}}
'''Théophile Marie Brébant''' ([[24 mai]] [[1889]] à [[Plésidy]] - [[20 février]] [[1965]] à [[Guingamp]], [[France]]) est un [[officier]] français qui participa à la [[Première Guerre mondiale]] à la [[Guerre du Rif]] et à la [[Seconde Guerre mondiale]]. Il termina sa carrière avec le grade de [[colonel]].
==Carrière==
Engagé le [[23 juillet]] [[1908]] jusqu'au [[14 juin]] [[1946]]. Il fut incorporé au cours de sa carrière dans les unités suivantes : [[48e régiment d'infanterie de ligne|48{{e}} RI]] · [[1er régiment étranger|1{{er}} REI]] · [[3e régiment étranger d'infanterie|3{{e}} REI]] · [[41e régiment d'infanterie de ligne|41{{e}} RI]] · [[146e régiment d'infanterie de forteresse|146{{e}} RI]] · [[117e régiment d'infanterie de ligne|117{{e}} RI]]
===La Première Guerre mondiale===
{{article détaillé|Première Guerre mondiale}}
Pendant la première guerre mondiale, il est commandant de compagnie et reçoit, durant la campagne, une blessure et deux citations.<ref>j.o n°13 du 16.06.1915</ref>"Cet officier est blessé grièvement le [[16 juin]] [[1915]] d'un éclat d'obus, puis brûlé par l'[[ypérite]] au bois de la tuilerie le [[31 juillet]] [[1918]] lors de l'attaque du bois du Plessier<ref>j.o n°198 du 15.08.1918</ref>. Au cours des opérations du [[30 mai]] au [[15 juin]] [[1918]], n'a cessé de se dépenser sans compter. Toujours sur la brèche, de jour comme de nuit communiquant à tous son énergie, exaltant le moral de ses hommes, faisant lui-même le coup de feu. Il a été un bel exemple pour sa [[compagnie (militaire)|compagnie]] qui, malgré de dures fatigues, a fourni un effort extraordinaire et causé à l'ennemi des pertes élevées"<ref>j.o ordre n.8568 du 24 Juillet 1918</ref>.
=== L'[[entre-deux-guerres]] ===
{{article détaillé|Guerre du Rif}}
Après la guerre, il est nommé comme [[capitaine]] dès le du [[15 mars]] [[1923]] au [[Maroc]], où il se fait remarquer le [[10 juillet]] [[1925]] dans la région de [[Fez]] avec la 3{{e}} compagnie du 3{{e}} régiment étranger (RMLE) en assurant la protection du flanc gauche menacé par les insoumis. Il n'a décroché qu'à 18 heures, donnant ainsi le temps nécessaire à la 2{{e}} compagnie de s'installer sur les nouvelles positions<ref>j.o le 01.01.1930</ref>. Il est présent au Maroc jusqu'au [[25 août]] [[1928]] affecté au 3{{e}} Etranger notifiée (service)<ref>j.o le 01.01.1930</ref>, puis réintégré en France au 41{{e}} régiment d'infanterie ([[Rennes]]) à compter du 21 septembre 1929, où il prend le commandement de la 6{{e}} compagnie jusqu'au 9 janvier 1934.
Le [[13 janvier]] [[1934]], il prend les fonctions de capitaine major de fortification au ''camp de Zimming'' au 146{{e}} régiment d'infanterie de forteresse ou il reçoit un témoignage de satisfaction du général commandant la région fortifié de [[Metz]]<ref>note n.2691 du 25/09/1935</ref> : {{citation bloc|Chargé de diriger les travaux d'organisation défensive sur la [[ligne Maginot]] sur la position de couverture, s'est donné à cette tâche avec un dévouement et ardeur dignes d'éloges ; a obtenu dans l'exécution le meilleur rendement}}.
===La Seconde Guerre mondiale===
{{Article détaillé| Bataille de France }}
Il est affecté au [[117e régiment d'infanterie de ligne|117{{e}} régiment d'infanterie]] (au [[Le Mans|Mans]]) le [[29 octobre]] [[1937]] commandant du 2{{e}} bataillon jusqu'au [[6 juin]] [[1940]]. Au déclenchement de la [[Seconde Guerre mondiale]], il commande un régiment qui est engagé dans la zone armée D le [[10 septembre]] [[1939]], où il a pour mission de tenir le village de [[Berny-en-Santerre]] avec le 2{{e}} bataillon du 117{{e}} du Mans qui se trouve réduit par les assauts des chars (3 divisions de [[panzer]]s plus une de réserve) et de l'infanterie ennemie. Il est alors cité à l'ordre de l'armée<ref>ordre n.1094 le [[26 septembre]] [[1942]]</ref>.
<ref>état des services n°28526/41 dérogation ministère de la défense 19.05.1994 n°-005768</ref>. Lors des combats qui se sont déroulés du [[25 mai]] au {{1er juin}}[[1940]], il s'est emparé, à la tête de son bataillon, d'un village tenu par l'ennemi en prenant directement le commandement.<ref>état des services n°28526/41 dérogation ministère de la défense 19.05.1994 n°-005768</ref>. Il a été cité quatre fois au cours de la guerre [[1914-1918]].
Il est prisonnier du [[6 juin]] [[1940]] au [[14 octobre]] [[1943]] en [[Allemagne]] à [[Hoyerswerda]], au camp d'[[Elsterhorst]] « Oflag IVD » en [[Silésie]] à la limite de la frontière germano-polonaise.<ref>état des services n°28526/41 dérogation ministère de la défense 19.05.1994 n°-005768</ref>. Il est soigné à l'hôpital du [[Val de Grâce]] le [[14 octobre]] [[1943]]. Du [[19 décembre]] [[1945]] au {{1er février}} [[1946]], il assure le commandement du camp de prisonniers d'officiers allemands à [[Mulsanne]] ([[Sarthe (département)|Sarthe]])<ref>{{lien web|url=http://pagesperso-orange.fr/bastas/pga/mulsan/403-2-2-46.htm|titre=Le camp d'officiers de guerre allemands
de Mulsanne1945-1947|site=pagesperso-orange.fr|consulté le=1 juillet 2008}}M</ref>.
Démobilisé à l'expiration de son contrat, il est rayé des contrôles le [[16 juin]] [[1946]] et se retire au Mans, 101 rue du Bourg Belé. Il est ensuite rayé des cadres de réserves de l'[[armée de terre (France)|armée de terre]] par décret du [[30 septembre]] [[1947]].
===Témoignages===
*''Recherche de témoignage'': par le commandant Pocard michel ancien du 117 R.I. président de l'amicale du même régiment du ([[le Mans|MANS]]) <ref>''revue de l'organe de l'amicale'' des 115{{e}} 315e 117{{e}} 317e 217{{e}} R.I. fondée en 1915, dans les tranchées par le sergent R.Clain, du 115{{e}}, au secteur des marquis).</ref>
* Ecrit par le lieutenant Jacques Eynaud De Faÿ de [[Solesmes (Sarthe)]] <ref>livre ''le solitaire de Bellefontaine'' les éditions du cèdre Paris - (archives [[château de Vincennes]]) le Lt Jacques Eynaud De Faÿ était le chef de la section des mitrailleuses, sous les ordres du commandant Brébant alors chef du 2{{e}} bataillon du 117{{e}} régiment d'infanterie du Mans, </ref> (frère de [[Jean Eynaud de Faÿ]])
:''1937-1940. Le Commandant Brébant était un homme sec, au visage buriné par le temps, la grande guerre et les campagnes de la [[légion étrangère]], connu pour sa sévérité, ses exigences sur la tenue, son besoin d'action, sa parole brève ses ordres précis, il en imposait à tous. Mais il était foncièrement bon, il avait comme surnom « vieux brave » et si entre soi on se permettait de l'appeler ainsi, c'est par sentiment respectueux d'amitié.''
* Ecrit par le Lieutenant Jacques Eynaud De Faÿ <ref> du livre ''le solitaire de Bellefontaine'les éditions du cèdre Paris - (archives [[château de Vincennes]]) le Lt Jacques Eynaud De Faÿ était le chef de la section des mitrailleuses, sous les ordres du commandant Brébant alors chef du 2{{e}} bataillon du 117{{e}} régiment d'infanterie du Mans, </ref>
:''« Cette génération d'officiers à donné à la France plus que leur vie, une grandeur d'âme.» ''
*Par Robert Levêque de [[Villeparisis]] , ''voir texte de témoignage (7-4 seconde guerre mondiale du ''[[117e régiment d'infanterie de ligne|117{{e}} R.I]])<ref>( ''Témoignage de Robert Levêque dans la revue du 117 R.I. typographie plon, 8 rue garancière Paris librairie Plon''. ''Monsieur Robert Levêque'' était un soldat dans la compagnie de transmissions du 117{{e}} R.I., appartenant au bataillon BREBANT (2{{e}} bataillon).</ref>:
:''De la bouche du commandant Brébant à son bataillon.''
:''« Nous allons nous battre, devant l’ennemi s'il y a un déserteur qui provoque la mort de son camarade, j’ai une balle pour lui dans mon revolver, si vous voyez que je fuis ou que je ne suis pas à la hauteur devant l’ennemi, abattez-moi. »''
:''Au début ses hommes ne l’appréciaient guère, certain disaient « dès les premiers accrochages avec l’ennemi la première balle serait pour lui » Voyant le courage de cet officier combattant l’ennemi avec un héroïsme d'un grand chef, galvanisant son bataillon, à chaque demande de sa part, concernant un volontaire pour allez de l’avant avec lui, ce n’était pas un, mais vingt, trente, quarante, cinquante qui se portaient volontaires. Le commandant était debout il portait ses yeux à ses jumelles, les balles lui sifflaient dessus, nous étions allongés avec le capitaine « mon commandant vous allez vous faire tuer. » Le commandant répliqua « mon capitaine si je me fais tuer vous viendrez me remplacer.» Toujours en avant des voltigeurs pour tirer ses câbles de transmissions le soldat Levêque, repéré par un avion mouchard ennemi, sur la demande du commandant les postes de transmissions ont été mis dans un puits, car les tirs de l’artillerie ennemi se rapproché, de plus en plus . Le [[soldat]] Levêque Robert a combattu avec l’héroïsme d’un ancien de la grande guerre, comme tous ses camarades du [[bataillon]] étant galvanisé par le commandant Brébant. « Nous nous allongions tellement bas que nous avions nos vareuses striées de marque de balles. J’ai un camarade qui m’a remplacé à l’endroit ou j’avais tiré des centaines de balles, les douilles étaient encore toutes chaudes, il a reçu entre les deux yeux une balle, il s’était marié il n’y avait pas si longtemps, pauvre de lui. J’ai dû certainement tué des Allemands ? « Si nous avions pu avoir les mêmes équipements que l’ennemi les données auraient changé, l’ennemi était étonné de voir la résistance acharnée du 117{{e}} RI.» Après plusieurs jours de combat, le commandant Brébant puis le reste de son bataillon se sont rendu faute de munitions, l’ennemi effaré par l’audace et le courage de cet officier puis de ces quelques soldats mal équipés. « actuellement moi je pense à [[bataille de Bazeilles|Bazeilles]] la dernière cartouche 1870.» L'ennemi a rendu hommage, au bataillon comme si s’était un de leur régiment de fer (régiment d'élite). Le commandant dit « soyez fière de vous de votre régiment, vous vous êtes bien battu, la tête haute, attacher vos vareuses, ils vont nous rendre les honneurs militaire. Honneur et respect à nos morts.»
Robert Levêque dit « ''Nous nous sentions invulnérables avec notre commandant, il aurait pu et dû finir général''».
==Famille==
Son frère Albert Marie Brébant né en 1898 à Ploumagoar un des plus jeunes engagés de la [[Marine nationale (France)|Marine nationale]] à 16 ans et demi<ref> j.o n°10 308/DEF/DAJ/AA4 du 16.04.1981 Marine Nationale </ref> a combattu pendant toute la première guerre mondiale et à reçu la croix de guerre avec plusieurs citations.
Son beau-frére, Hubert Mespléde né en 1903 et [[sous-officier]] de carrière, a reçu l'ordre honorifique, la [[Nichan Iftikhar]], puis la [[Médaille militaire]]<ref>'' Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur, bureau de la Médaille Militaire, 1 rue de Solférino 75700 Paris 07 SP.</ref>.
{{Boîte déroulante|titre=Certificats : de l'ordre de la Nichan Iftikhar puis de la Médaille militaire de l'adjudant/chef Mespléde hubert|contenu=
[[Image:Diplôme en arabe nichan-Itikar chevalier de 1e classe.jpg|Diplôme en arabe (chevalier de 1{{ère}} classe)|left|400px]]
[[Image:Image-Médaille nichan-Iftikar nichan-Iftikar1935 sergent-chef Mespléde hubert.jpg|right|Diplôme en français (chevalier de 1{{ère}} classe)|400px]]
[[Image:Diplôme de la Médaille militaire.JPG|right|400px]]
}}
==Hommage==
*On trouve aujourd'hui une rue au nom du « Colonel Brébant » à [[Guingamp]] et à [[Ploumagoar]].Il est envisagé de baptiser une rue où un espace vert à son nom au [[Mans]]<ref>Le Mans le Maire Jean-Claude Boulard Président de Le Mans Métropole, REF::DIPS 2724857 du 30 Novembre 2007</ref>.
== Décorations ==
[[Image:Medaille-legion-chevalier.jpg|50px]]*''Chevalier le 24 juillet 1918''
[[Image:Médaille d'officier de la légion d'honneur.jpg|50px]]*''Officier le 13 décembre 1938''
[[Image:Médaille l'égion d'honneur commandeur.jpg|50px]]*''commandeur le 17 janvier 1952''
*[[Légion d'honneur|Commandeur de la Légion d'honneur]]<ref>[[:Image:Diplôme de commandeur de la légion d'honneur du col. Brébant.JPG|Attestation de la Grande chancellerie de la Légion d'honneur au grade de commandeur ]]</ref> ''le 17 janvier 1952''
*[[Croix de guerre 1914-1918]] (4 citations dont 1 à l'ordre de l'armée)
*[[Croix de guerre 1939-1945]] (6 citations à l'ordre de l'armée)
*[[Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures|Croix de guerre des TOE]] (1 citation à l'ordre de la division)
*[[Croix du combattant]]
*[[Médaille coloniale]] avec agrafe : ''Maroc''
*[[Médaille commémorative de la guerre 1914-1918]] avec agrafe: ''Engagé volontaire''
*[[Médaille Interalliée 1914-1918]]
*[[Médaille commémorative de la guerre 1939-1945]] avec agrafe : ''France''
*[[Insigne des blessés militaires|Insigne des blessés militaires avec deux étoiles]] (2 fois blessé : le 16/06/1915 près d'[[Arras]] par éclat d'obus et le 31/07/1918 brûlure par de l'[[Gaz moutarde|ypérite]])
*[[Médaille de la Marne]]
*[[Médaille commémorative de la bataille de Verdun]] (1916)
*[[Médaille commémorative de la bataille de la Somme]] (1940)
{{Boîte déroulante|titre=Certificats : Citations et Chevalier de la Légion d'honneur|contenu=
[[Image:Cité A l'ordre de la brigade.jpg|thumb|left|250px|citation à l'ordre de la brigade le 16 octobre 1915 du lieutenant Brébant]].
[[Image:Cité a l'ordre de la division.jpg|thumb|left|250px|citation à l'ordre de la division le 24 juin 1918 du capitaine Brébant]].
[[Image:Portant nominations dans la légion d'honneur.jpg|thumb|left|250px|chevalier de la [[Légion d'honneur]], puis l'attribution de la [[Croix de guerre 1914-1918]] avec palme du capitaine Brébant, le 28 septembre 1918 ,signé [[Georges Clémenceau]]]]
[[Image:Citation à l'ordre de la région.jpg|thumb|right|250px|citation à l'ordre de la région du capitaine Brébant dans la région de Fez le 10 juillet 1925]].
[[Image:Cité A l'ordre de l'armée 1939 1945.jpg|thumb|right|250px|citations à l'ordre de l'armée le 26 juin 1940, puis l'attribution de la [[Croix de guerre 1939-1945]] avec palme du commandant Brébant]]
[[Image:Citation.jpg|thumb|right|250px| citations à l'ordre de l'armée le 31 juillet 1942, puis l'attribution de la [[Croix de guerre 1939-1945]] avec palme du commandant Brébant]]
}}
{| class="wikitable"
|-
|align="center" colspan="5" |'''Décorations militaires du Colonel Brebant'''
|-
|[[Image:Photo Croix de guerre recto.jpg|100px]]
|[[Image:Croix de guerre 39-45 col.Brébant.jpg|100px]]
|[[Image:T.O.E du col.Brébant .T (recto).jpg|100px]]
|valign="top" |[[Image:Croix de combattant col.Brébant.jpg|100px]]
|valign="top" |[[Image:Médaille coloniale du col.Brébant.T avec agraffe Maroc guerre du RIF(recto).jpg|100px]]
|-
|valign="top" | [[Croix de guerre 1914-1918]]<br>avec 4 citations : <br> 1 palme de bronze <br> 1 étoile de vermeil <br> 1 étoile d'argent <br> 1 étoile de bronze
|valign="top" |[[Croix de guerre 1939-1945]]<br>avec 6 citations : <br> 1 palme de bronze<br> 1 palme d'argent
|valign="top" |[[Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures|Croix de guerre T.O.E]]<br>avec 1 citation : <br> 1 étoile d'argent
|valign="top" |[[Croix du combattant]]<br> du Col. Brébant
|valign="top" |[[Médaille coloniale]]<br> du Cne Brébant
|}
==Gallerie photos==
<gallery>
Image:Commandant Brébant 1937.jpg|photo du commandant Brébant, commandant le 2{{e}} bataillon du 117 R.I. (le Mans 1937) avec son chien.
Image:DCB.JPG|Décorations du Colonel Brébant
Image:Médaille de la Marne.jpg|Diplôme décerné au lieutenant Brébant T. [[bataille de la Marne]].
Image:Diplome verdun du lieutenant Brébant.jpg|Diplôme décerné au lieutenant Brébant T. de [[Verdun (Meuse)|Verdun]].
Image:Inscription sur le livre d'or du col.Brébant.T.jpg| Incription du lieutenant Brébant T. sur le livre d'or dans la crypte du monument de la victoire, puis à la mairie de Verdun.
Image:Cérémonie militaire, le colonel Brébant recevant l'ordre de commandeur..jpg|Cérémonie militaire, le colonel Brébant recevant l'ordre de commandeur de la légion d'honneur.(17.01.1952)
Image:Le Mans avant la ceremonie.jpg|Colonel Brébant au [[Mans]] place de la république
Image:Colonel Brébant au Mans.jpg|Colonel Brébant au Mans
Image:Albert Marie Brébant.jpg|l'un des plus jeunes engagés de la Marine Nationale 1914/1918
Image:17.jpg|sergent Hubert Mespléde armée du Levant Syrie 1933
Image:Rue du colonel Brébant à Guingamp.jpg|Rue du colonel Brébant à Guingamp
Image:Tombe du colonel Brébant.jpg|Tombe du colonel Brébant à Ploumagoar (Côtes d'Armor).
Image:Tombe du colonel Brébant à ploumagear côte Darmor..jpg|Plaque portant le nom du colonel Brébant et de son épouse à Ploumagoar (Côtes d'Armor).
</Gallery>
== Notes et références ==
*[http://www.kerfent.com/colonelbrebant.htm colonel brebant]
*[http://www.kerfent.com/galeriecamp.htm camp de Zimming 146e R.I.F.]
*[http://duchezeau.cyrille.free.fr/archive_militaire.htm Archives militaires du Château de Vincennes]
*[http://pagesperso-orange.fr/bastas/pga/mulsan/403-2-2-46.htm Mulsanne dépot 403 (Sarthe 1946)]
<references />
{{Portail|France|histoire militaire}}
{{DEFAULTSORT:Brebant, Théophile Marie}}
[[Catégorie:naissance en 1889]]
[[Catégorie:Commandeur de la Légion d'honneur]]
[[Catégorie:Titulaire de la Croix de guerre 1914-1918]]
[[Catégorie:Titulaire de la Croix de guerre 1939-1945]]
[[Catégorie:Titulaire de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures]]
[[Catégorie:Militaire français]]
[[Catégorie:Militaire français du XXe siècle]]
[[Catégorie:Militaire français de la Première Guerre mondiale]]
[[Catégorie:Militaire français de la Seconde Guerre mondiale]]
[[Catégorie:Officier de Légion étrangère]]
[[en:Théophile Marie Brébant]]