On sait par une lettre très touchante que Samuel et François sont encore à Paris dans la Cité en 1826. Tombés dans l'indigence et presque aveugles, ils vivent grâce à la pension qu'ils reçoivent de leurs cousins DuBois, Bovet et VAUCHER restés en Suisse.
L'image a été prise de La Gazette Drouot
-Vaucher frères, vers 1800, montre à cylindre en or à répétition des quarts et cadran tournant en émail blanc, diam. 5,8 cm. (est. 22 000 €)
Elle possède un mouvement demi-squelette en laiton doré gravé et acier avec des gongs serpentins en deux couleurs. Le réglage se fait par glisseur sur le pourtour, le blocage de la répétition s’effectuant sur la carrure. Deux sociétés Vaucher frères ont pu produire notre montre... La première a été fondée à la fin du XVIIIe siècle par Claude-Jean-Pierre, Jean-Jacques-Henri et Henry-Louis, trois des fils de David-Jean-Jacques-Henri Vaucher (1712-1786), horloger de talent installé à Fleurier, dans le canton suisse de Neufchâtel. À la fois fabricants et négociants, ses fils vont acquérir une excellente réputation en produisant des montres à complications et des pendulettes de voyage, vendues en Allemagne, en France et en Italie. La seconde est genevoise. Elle est peut-être le fait de Daniel et Pierre-François Vaucher, fils d’un horloger originaire également de Fleurier. On leur attribue des oeuvres de grande qualité, notamment des montres automates dites "bras en l’air". Ils meurent avant 1800, mais peuvent avoir eu des descendants. Il n’est pas exclu que les deux sociétés aient collaboré.
Origine: Fleurier (NE)
International Genealogical Index (R)
Jeanne Marie Petitpierre 1717
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